Vous n'êtes pas identifié(e).
J'ai également adoré Ted et très peu apprécié cet Albert Est A L'Ouest. Sorti d'un kaméo sympa c'est effectivement très lourd et surtout très long...
Hors ligne
pas du tout d'accord ! ALBERT A L'OUEST est très "frais" et se regarde vraimentau 13eme degré... en plus il a l'originalité de se dérouler au far west tout en étant très comtemporain. et les guests sont très appréciables (spécial dédicace à Charlize )
ma collection de Blu Ray
(en cours...) dont 344 steelbook / ??digibook / ?? 3D
Hors ligne
Clement1138 a écrit :kkalmaa a écrit :Albert a l'ouest.
Autant j'ai pas aimé Ted ,autant j'ai trouvé ce film réussi divertissant , drole avec des images de l'ouest sublimes bien rendu en hd.
A revoir avec plaisir.Moi bien client de TED, autant celui la je l'ai trouvé ringard et gras (pas dans le sens drole du terme).
Comme quoi
Zut, moi, j'ai adoré TED vraiment, j'ai trouvé ça excellent (en VO, je pense que ça doit moins bien passé cet humour lourd en VF surtout avec le doublage français et la voix de Joe Star) et donc, j’espérais passer un excellent moment aussi avec ce dernier film que je compte voir prochainement mais du coup, ça me refroidit tout ça.
TED passe très bien en VF. Concernant Albert à l'Ouest j'ai bien aimé mais il est juste un peu trop long à mon goût
Hors ligne
Tous les goûts sont dans la nature
Donner coup pour coup, dédain pour dédain, trépas pour trépas, il pour il, bosse pour bosse! Faite de vous une terreur pour votre adversaire, et quand il aura eu ce quil mérite, il y réfléchira à deux fois avant de recommencer. Ainsi vous vous faites respecter durant toute votre vie, et votre esprit (votre esprit immortel) ne vivra pas dans un paradis intangible, mais dans les cerveaux de ceux dont vous aurez gagné le respect.
Hors ligne
Me revoilà pour la 2e semaine de mon Cinémarathon (1 semaine, 4 films, un point commun) avec un thème radicalement différent de John Hugues : "Le cinéma d'épouvante entre 2012 et 2013" :
Sinister (2012)
Sinister laisse un sentiment mitigé. Original mais pas surprenant pour un sou, il ne fait pas non plus peur avec ses 3-4 jump scares et boucher les noirs dans une image déjà très sombre n'est pas spécialement le bon choix esthétique, juste une sorte d'esbroufe pour faire monter l'angoisse. A part ça, belle montée en puissance, histoire bien fichue et réalisation plutôt routinière. Bon point pour Ethan Hawke et le son pourvu de tous les bruitages chelous dans la scène arrière.
Mamá (2013)
Mamá... magnifique ! Outre la géniale bande son, la mise en scène est absolument superbe, réglée au millimètre pour faire apparaître à l'image exactement ce qui était prévu de la façon dont c'était prévu. Chaque plan est donc très étudié et le jeu des actrices, notamment des deux petites, est époustouflant. Adapté du court-métrage éponyme, le film a bien brodé autour pour servir un scénario certes pas des plus originaux mais émouvant et poétique tout en gardant une tension croissante jusqu'au dénouement. Coup de cœur !
Conjuring : Les Dossiers Warren (2013)
Très sympa ce Conjuring : Les Dossiers Warren avec une belle première partie intrigante et une seconde on ne peut plus classique et condensé mais vraiment forte. Variations bien jouées des techniques de prises de vue, jeux de lumière intéressants, silences bienvenus, bonne distribution – mais ça sert à quoi d'avoir mis autant de gamins qui servent à rien ? – et pas de jump scares intempestifs. Enfin un vrai et bon film de fantôme !!
Oculus (The Mirror) (2013)
Extra cet Oculus et Karen Gillan n'y est pas étrangère. Pour une fois, l'originalité est bel et bien là et la mise en scène se joue des personnages autant que des spectateurs pour allier habilement passé et présent, réalité et illusion. Le scénario est bien ficelé et surprenant mais le final arrive trop vite et laisse en suspens tout un pan d'histoire. Au moins, l'accent est mis sur le principal et l'intelligence de l'héroïne fait plaisir à voir par rapport à la connerie habituelle des personnages dans ce type de films. Il en restera un cerveau embrouillé et quelques scènes choc dont une avec James Lafferty qui se fait trop rare depuis la fin des Frères Scott.
Conclusion
Je n'avais pas vu ce genre de films depuis très très longtemps hormis La Dame en Noir au ciné parce que ce n'est pas ce que je préfère et le soir, j'avais peur de ne pas arriver à dormir après O:) Finalement, aucun ne m'a effrayé alors j'imagine que les choses changent en vieillissant ]:D J'ai dormi comme un bébé avec toutes ces images de fantômes dégueulasses mais chacun des films est angoissant à sa manière : malsanité, obscurité, suggestion, horreur brute, etc. Bref, c'était géant, surtout Mamá, et une petite déception pour Sinister.
Dernière modification par GregBond007 (13-03-2015 14:11)
Hors ligne
Sympa tes retours Greg
Hors ligne
Sympa tes retours Greg
Merci svan
Hors ligne
Sympa effectivement ces retours.
Je te conseille la maison des ombres
http://www.blurayenfrancais.com/blu-ray … u-ray.html
J'aime bien ton idée de thème, j'ai toujours essayé mais pas réussi
BREF pour les intimes.
www.blurayenfrancais.com
www.blurayenfrancais.com/forum
www.ultra-hd-blu-ray.fr
Hors ligne
La Maison des Ombres, c'était un peu le bonus de la semaine si j'avais le temps mais je le réserve donc pour une seconde fournée plus tard. C'est du tout bon si tu l'as mis en coup de coeur.
Hors ligne
Je confirme, très bien La maison des ombres
Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin.
Hors ligne
Avec L'Orphelinat, ils devraient bien aller ensemble ]:D
Hors ligne
Je te conseille également pour ta deuxième fournée Le pensionnat, film thaïlandais très émouvant
Dernière modification par yannickv (13-03-2015 14:46)
Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin.
Hors ligne
Merci, je ne connaissais pas. Mais il n'a pas l'air facilement trouvable, uniquement vendu par des tiers hors de prix
Dernière modification par GregBond007 (13-03-2015 15:14)
Hors ligne
10 euros neuf sur le site de Wildside
ou 4,80 euros d'occasion à la FNAC ou 6,85 euros sur priceminister (frais d'envoi compris)
Dernière modification par yannickv (13-03-2015 15:21)
Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin.
Hors ligne
Passé un bon moment en regardant ce film
Superbe image, très propre, pas de défaut...
Vraie VF en DD 5.1, pas de bonus
C'est désespérant de trouver ce genre de film en import, blu ray sorti en 2013 chez Touchstone
Dernière modification par Philippe (16-03-2015 23:49)
.
Hors ligne
1h50 de pur bonheur...comme d'hab' après ce visionnage de ce "classique" devenu culte !
on a beau connaître par cœur les répliques on se poile un max ! IMHOTEPH !!!!!!
ma collection de Blu Ray
(en cours...) dont 344 steelbook / ??digibook / ?? 3D
Hors ligne
SPLASH. Import avec vf .bonus
La qualité est au rendezvous .image contrastée belle colorimetrie pas de grain . Une redecouverte .
*** SALLE DEDIEE HOCINEMA 35 m2 4K DOLBY ATMOS / SONY VPL-VW5000ES / LUMAGEN PRO4K 4242 full18 / CINEMASCOPE 3,80Mètres / OPPO BDP103EU multirég. / OPPO 203EU multireg. / DENON AVR X6400H / NAD 216THX / JAMO THX ONE IN WALL / BUTTKICKER / RTI FUTRONIX / 8250 blurays***
Hors ligne
SPLASH import australien
blu ray de bonne qualité, belle image et des bonus comme le making of, l'audition des acteurs
.
Hors ligne
God Bless America :
Abordant le sujet de l'individu en guerre contre la société, God Bless America vise plus précisément la sacro sainte liberté d'expression qui aux USA est bardée de protections contre tout et n'importe quoi mais évidement pas contre la connerie humaine. Revenue récemment au sein du débat public a l'occasion d’événements dramatiques, on notera que la causticité du film a ce sujet est réelle même si parfois elle se voit diluée par la critique acerbe des dérives égocentriques, préjugés nauséabonds et des divertissements abrutissants qui forment le ciment de la nouvelle Amérique. Même si le film a une mise en scène relativement simpliste, ses dialogues sentencieux le font briller et même jubiler en portrayant un gentil réac. et une vraie (fausse) rebelle qui exprimeront leur marginalité en oubliant les frustrations qui les consument dans un déluge de sang a mi chemin entre la pochade rigolarde et le drame cynique. Moins virtuose que Tueurs Nés mais probablement beaucoup plus ancré dans une réalité fantasmée par nombre des citoyens d'un monde dont ils ne comprennent plus l'évolution (toujours plus crade) God Bless America est un exutoire pour spectateur averti mais surtout c'est un film réussi, qui rit jaune aussi bien des désespérants que des désespérés.
NE FAITES PAS CA CHEZ VOUS !!!
quoi que.....
Dernière modification par langeikki (18-03-2015 16:51)
Membre du C.A.S (Comité Anti-Steelbook) "I wanted to rub the human face in its own vomit and force it to look in the mirror"
Hors ligne
Albator : Corsaire de l'Espace :
Albator c'est une icône, un grand brun ténébreux et pirate de surcroit. Défenseur de la veuve et de l'orphelin, lucide, sauvage, courageux et dont l'ombre autant que la silhouette inspirent la crainte et l'admiration. Tout du moins c'est l'image que j'en m'en suis fait et c'est dans cet état d'esprit que j'ai démarré mon visionnage. Premier constat : c'est beau (les Vaisseaux, les personnages) c'est sombre (intrigues politiques et atmosphère de fin du monde) et..... c'est Japonais (comment tout complexifier alors que tout est si simple ) On va passer volontiers sur le scénario qui est un bouffeur de twists insupportable et sur l'animation qui est sublime, a l'image de ce que Shinji Aramaki avait également fait sur l'un de mes films favoris : Applessed.
La ou ca vaut la peine de s’appesantir c'est sur le caractère friable de l’œuvre qui nous est proposée, trop rentrée, pas assez épique (Ou est la flamboyance, la mélancolie et la désespérance que la situation implique ?) Ce film ressemble a une partie d’échec grand cadre malheureusement parasitée par les péripéties du triangle Yama / Esra / Nami qui nuisent beaucoup au rythme de l'ensemble. Tout comme dans le Godzilla de Gareth Edwards, l’icône est reléguée au second plan et le film demeure donc frustrant surtout quand la trame semblait devoir accoucher d'un meilleur produit. Reste un univers correctement appréhendé par Shinji Aramaki qui bien qu'en recadrant le caractère et le graphisme des principaux protagonistes de la franchise a fait du bon boulot. La ou le bat blesse, c'est que la greffe des nouveaux personnages est trop voyante pour produire une parfaite assimilation.
Le film demeure sympa, plastiquement irréprochable mais je suis curieux de savoir si cette impression supportera un second visionnage. Réponse dans quelques mois...
Dernière modification par langeikki (18-03-2015 19:17)
Membre du C.A.S (Comité Anti-Steelbook) "I wanted to rub the human face in its own vomit and force it to look in the mirror"
Hors ligne