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X files saison 1 , très bonne première saison qui met en place la série et présente les personnages , très belles images en HD
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Birdman :
Quelle ironie qu'un tel film sois passé a la postérité en raflant 4 statuettes dans le temple de la suffisance et du politiquement correct. Birdman m'a instantanément fait penser au Map to the Stars de David Cronenberg a la différence notable que celui ci ne se contente pas de charger l'industrie cinématographique avec un cynisme délirant mais réussit le prodige de la réduire a echelle humaine avec beaucoup de brio. Le St. James Theatre est une fourmilière ou l'artiste se fourvoie a croire que l'expression de l'art est autre chose que de l'égotisme confinant a l'obsession. Riggan Thomson (Michael Keaton brillantissime) en est l'exemple parfait et en fera l'ultime expérience lors de cet incroyable brainstorming de deux heures durant lesquelles nous pourrons cheminer derrière la caméra virevoletante d'Alejandro Gonzales Inarritu prouvant a qui veut l'entendre que l’authenticité d'une oeuvre ne se mesure pas a sa popularité mais a la force et la détermination qu'y mettra son auteur. Le film voit également la renaissance de fabuleux premiers plans sous employés ou ringardisés par l'industrie elle même (Michael Keaton, Edward Norton, Naomi Watts, Zach Galifianakis ou la jeune Emma Stone qui trouve enfin un role a la hauteur de son incroyable talent) et rien que pour cela, Innaritu doit etre loué.
Avant de conclure, il est je crois essentiel de préciser l'incroyable importance des œuvres citées tout au long du métrage pour en expliquer l'essence. Qu'il s'agisse de l'épitaphe de Raymond Carver qui ouvre le film, les références a Icare qui expriment parfaitement la trajectoire de Riggan Thomson ou La pièce qu'il monte (What We Talk About When We Talk About Love) Les clés du récit sont presque toutes la et c'est ce qui fait de Birdman une œuvre non seulement profonde mais hautement intelligible. Le final très ouvert peut apparaitre comme le seul maillon faible de cet édifice d'une impressionnante maitrise, beaucoup auraient d'ailleurs préféré une conclusion plus franche mais j'ai malgré tout réussi a m'en faire une idée assez précise (elle pourra bien sur évoluer après d'autres visionnages) : [spoiler]L'obsession de Thomson pour l’œuvre de Carver se ressent non seulement parce qu'il fut le déclencheur de son envie d'etre acteur mais aussi car sa vie en a épousé les thématiques principales. Adapter What We Talk About When We Talk About Love n'était qu'une projection de ses manques et de sa recherche laborieuse de l'amour de soi et des autres. Les tirades finales de la pièce sont d'ailleurs équivoques : "Pourquoi je dois toujours quémander pour avoir un peu d'amour" "Je prie le ciel pour devenir un autre, n'importe qui mais un autre" et "Je n'existe pas, je suis pas la" Comme Mark Shiner lui avait suggéré, il a apporté la vérité sur scène en se suicidant mais seuls les gens qui l'aiment vraiment on su saisir la portée de cet acte tandis que le public et la critique n'y auront vu qu'une occasion de plus pour lui coller une étiquette. Cette fois ci : Le "Super-réalisme"
D'un point de vue plus personnel, ce suicide manqué marque tout de même une forme d’accomplissement. Non seulement il est défiguré et n'est donc plus physiquement le Riggan Thomson de Birman (qui est d'ailleurs muet quand il le voit sur les chiottes) Mais il est également parvenu a se séparer de son égo d'acteur raté. Son visage exprime enfin de la félicité. La métaphore de la nuée d'oiseaux noir qui s'éloignent et la musique qui s'ensuit tendent a exprimer un sentiment de paix intérieure. Birdman ne jacasse plus, il a été remplacé par le chant naturel des oiseaux. Cependant, la batterie se remet a jouer car tel Icare, Riggan s'est tout de même brulé les ailes par orgueil, il a raté sa sortie comme le personnage cité dans la pièce de Carver et n'a plus aucun moyen d’échapper a la chute inexorable qui l'attend. Cependant, il a gagné l'amour de sa fille qui préfère sourire a son âme libérée plutôt que garder les yeux sur son cadavre. On peut alors ressortir l'épitaphe de Carver :
"And did you get what
you wanted from this life, even so?
I did.
And what did you want?
To call myself beloved, to feel myself
beloved on the earth."
La boucle est bouclée[/spoiler]
En conclusion, Innaritu est parvenu avec Birdman a nous parler autant d'amour de l'art que d'art d'aimer en offrant sur un plateau d'argent le premier rôle a toute une galerie d'acteurs proprement époustouflants. Que grâce lui soit rendue pour cette brillante démonstration de CINEMA.
Dernière modification par langeikki (13-03-2016 18:15)
Membre du C.A.S (Comité Anti-Steelbook) "I wanted to rub the human face in its own vomit and force it to look in the mirror"
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X files saison 1 , très bonne première saison qui met en place la série et présente les personnages , très belles images en HD
Et tu verras la suite est encore mieux (au moins jusqu'à la saison 4), certains épisodes sont franchement anthologiques !
TV : LG50PK250 - Platine Panasonic DMP BD-35 - HC 7.1 Marantz SR5003 - HiFi Marantz PM8003+Marantz CD6005 - Vidéoprojecteur Optoma HD141X+Lumène Embassy 240
1295 blu-ray et 742 DVDs
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Oui vu des épisodes sur m6 y a longtemps
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Pas trop exigent, toi t'es indulgent en tous cas...!
Tu avais joué au jeu?
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C est avec c est avec Jesse Metcalfe ?!
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Je l ai vu dans Dallas 2012 et smallvillepas trop accroché avec lui
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Robert et robert.
Les bons et les méchants .
2 belles séances de bon cinéma en compagnie de Dutronc Villeret Denner Jobert...
Belle restauration.
Brooklyn therapie . Comédie trés tonique.on ne s'ennuie pas.
*** SALLE DEDIEE HOCINEMA 35 m2 4K DOLBY ATMOS / SONY VPL-VW5000ES / LUMAGEN PRO4K 4242 full18 / CINEMASCOPE 3,80Mètres / OPPO BDP103EU multirég. / OPPO 203EU multireg. / DENON AVR X6400H / NAD 216THX / JAMO THX ONE IN WALL / BUTTKICKER / RTI FUTRONIX / 8250 blurays***
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Le Hobbit la bataille des cinq armées - version longue : je finis donc cette trilogie sur une petite déception car sur 2h40 de film seulement 15min de Smaug, un Sauron dont on se demande pourquoi on l'a foutu là, et ensuite une bataille qui part en freestyle (avec un Legolas dopé à l'EPO) avec tous les clichés possibles et inimaginables... Et là les CGI étaient tellement présentes qu'on croirait regarder un jeu vidéo...
Donc à voir en mangeant du popcorn car côté émotion c'est plutôt raté.
Côté image et son rien à redire sauf que l'image est tellement belle qu'on remarque les CGI comme le nez sur le milieu de la figure.
Dernière modification par TiCanaillou (13-03-2016 00:10)
TV : LG50PK250 - Platine Panasonic DMP BD-35 - HC 7.1 Marantz SR5003 - HiFi Marantz PM8003+Marantz CD6005 - Vidéoprojecteur Optoma HD141X+Lumène Embassy 240
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J'ai pensé comme toi concernant les CGI, mais ça permet d'apprécier encore + LSDA
3799 films/saisons en BD dont 334 BD 3D ; 281 DB ; 450 SB
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Vu pas mal de choses ces 3 derniers jours :
Vice-Versa : 2ème vision en VF. Enchanté une nouvelle fois par ce bijou signé Pixar. Un must du niveau de Toy Story, Wall-e ou Ratatouille.
BR UK au top avec VFF et des bonus pas top hormis les 2 courts métrages animés (pas écouté le commentaire audio)
Le Déshonneur d'Elisabeth Campbell Enquête sur une base militaire suite au meurtre de la fille du Général, candidat à la vice-présidence. Avec John Travolta et Madeleine Stowe. Le film accumule tous les poncifs du genre et tout le monde semble être venu payer ses impôts. Rien d'exceptionnel ... d'un autre côté avec Simon West à la mise en scène ]:D
Vu en DVD
Point Limite Zéro (Vanishing Point) Un des films fondateurs du Nouvel Hollywood. A revoir dans son contexte. Le tout a considérablement vieilli mais se suit avec un certain plaisir. Bien aimé la BO très 70's
Bonne surprise au niveau du BR. Belle image avec des couleurs chaudes et un joli grain d'époque.
Bonus en HD, très intéressant.
Point Break, le remake. Très agréablement surpris alors que je ne m'attendais à rien de bon. On garde le squelette de l'original en poussant jusqu'au bout le trip écolo-philosophique.
Bien sur ça n'a pas le charme de l'original et l'acteur qui joue Utah a le charisme d'une huitre mais l'ensemble reste très correct.
Robocop 2 Oulala que ça a mal vieilli. Autant le 1er reste un fleurons de la SF des années 80, autant celui-ci a considérablement vieilli plombé par un scénario incohérent et fourre-tout (et dire que c'est Frank Miller qui est crédité alors que son scenario original a été vidé de sa substance).
Pour moi le film est du niveau des mauvais Chuck Norris ou Bronson.
Agréablement surpris par le BR dont l'image est très bonne et le son idem.
Le Secret de la Pyramide Dernier scénario de Chris Colombus pour la team Spielberg (après Gremlins et les Goonies), c'est pour moi une des meilleures adaptation de Sherlock Holmes bien que non adapté de Sir Conan Doyle.
La copie HD diffusé par Arte ce soir était superbe et m'a permis de redécouvrir ce petit bijou qui n'a pas pris une ride
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Pour le dernier Point Break, c'est pas la grosse daube redoutée, mais en dehors de quelques cascades/scenes de sport assez impressionnante, et de superbes décors à certains moments, il faut avouer que c'est tres bas de gamme.
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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Pour moi le film est du niveau des mauvais Chuck Norris ou Bronson.
Il n'existe pas de mauvais Charles Bronson (l'acteur le plus méconnu de toute l'histoire du cinéma)!
A film should be viewed as it was intended, with the voice of the real actors... If you cannot understand the language spoken, learn to read
- ma collection blu-ray -
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@Mr Blue,
ici on ne met que les visionnages de BD, car après, ça tente et on ne le trouve pas dans son format favori
BREF pour les intimes.
www.blurayenfrancais.com
www.blurayenfrancais.com/forum
www.ultra-hd-blu-ray.fr
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Le Secret de la Pyramide ...
La copie HD diffusé par Arte ce soir était superbe et m'a permis de redécouvrir ce petit bijou qui n'a pas pris une ride
Ah bon, tu l'as trouvé superbe ?
Je l'ai trouvé un peu terne, il faudrait que je retrouve le DVD je ne me souviens plus trop de la qualité de l'image.
Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin.
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Take Shelter :
Je n'avais pas encore vu ce film qui a priori fait l'unanimité. J'ai trouvé l'ambiance et le jeu d'acteurs excellents.
Je ne saurais juste pas dire si j'ai aimé la fin ou non (meme si j'attendais exactement ça au fur et à mesure que le récit progressait)
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the walk
alors franchement, ce film n'est pas pour moi
je me suis ennuyé. j'aurais préféré l'histoire vrai de mon vendeur de kebab
SPOILER
on n'apprend quoi ?
que le mec est tellement fou qu'il serait prèt a tuer pour monter sur son fil ?
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the walk
alors franchement, ce film n'est pas pour moi
je me suis ennuyé. j'aurais préféré l'histoire vrai de mon vendeur de kebabSPOILER
on n'apprend quoi ?
que le mec est tellement fou qu'il serait prèt a tuer pour monter sur son fil ?
Ton spoiler ne fonctionne pas, meme si ce n'est pas vraiment un spoiler.
Sinon tu n'es peut etre pas sensible à ce genre d'art ... d'autres ne sont pas sensibles aux pilotes automobile par exemple, ou aux sportifs de l'extreme ... Les gars qui font du surf dans des endroits juste impossible.
Par exemple le documentaire "The art of flight" parlent de ces gens, et meme si je ne m'y intéresse pas on les comprend je trouve.
Je comprends que t'ais pas accroché, mais faut pas déconner, Zemeckis a fait assez d'efforts pour nous intéresser et montrer la passion du bonhomme et nous la transmettre. Pas sur qu'un vendeur de Kebab soit si intéressant
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ca reste un avis perso bien sur
et oui je maintien nul. comme des films que moi j'aime et que d'autre trouve a chier j'accepte
comme dit "ce film n'est pas pour moi"
je m'attendais un peu a The Extremisis ou autre pas a un mi film mi docu a suivre un gars qui marche sur un fil
et je suis sur qu'avec tous les kebab de France au moins un, a une histoire qui pourrait être adapté en film lol
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Je voulais pas dire que ton avis n'avait pas sa place. Je respecte totalement. Je disais que c'était surtout une question d'affinité avec l'art pratiqué.
Je reprends un autre exemple : Staight outta Campton, sur les rappeurs Dr. DRE etc ... le film est vraiment bon, mais tout le film on te répète que les gars sont des génies .... j'avais du mal quoi.
Quand on est hermétique à l'univers du film c'est pas simple de se raccrocher à quelque chose.
Sinon dans the Walk, il y a le coté Twin Towers que j'ai trouvé emouvant personnellement en dehors de juste la performance de Philippe Petit
Dernière modification par Clement1138 (16-03-2016 12:07)
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