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J'ai le droit de vivre
C'est très bien vu, les cadrages sont top et le casting est bon.
Mais la dernière partie m'a paru de trop, à mon sens le film aurait gagné en intensité à s'arrêter un peu plus tôt.
J'avais beaucoup aimé mais il faudrait que je le revois. Je suis biaisé car fan de Sylvia Sidney. Henry Fonda m'a rarement déçu. Un bon Fritz Lang qui a selon moi parfois été surestimé. Le secret derrière la porte étant un exemple de mauvais film à mon avis.
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Le Mariage de Mademoiselle Beulemans
Un film muet de Julien Duvivier se situant principalement dans une brasserie belge où un jeune parisien vient se former. Cela commence par une sorte de dépliant touristique pittoresque passant en revue les grandes villes belges. Un tour de force d'adapter une pièce de théatre sans pouvoir recourir aux dialogues. D'où le nombre plus conséquent qu'à l'habitude d'intertitres. L'histoire ne présente que peu d'intéret. Par contre des plans de groupe réussis et déja la cinématographie d'un bal. Une musique d'accompagnement composée dans les années 2000s appropriée et entrainante. Les bonus de présentation n'apportent pas grand-chose. A l'inverse, l'extra sur la restauration que je passe d'ordinaire m'a impressionné. La qualité de l'image est bluffante pour un titre de cette époque. La raison étant que les bobines de 35 mm ont été retrouvées à l'exception d'une en 9,5mm. La différence choque mais heureusement cette dernière dure moins de 6mn (sur 96mn).
Steve Jobs
Certainement pas pour les nuls. Pas d'introduction des personnages, des dialogues débités à une telle allure que cela en devient saoulant. Pratiquement impossible à suivre pour un spectateur comme moi n'ayant que des connaissances élémentaires de cette marque (aucun produit Apple) et de la carrière de Steve Jobs. Pour comprendre et apprécier ce film, il faut s'être documenté au prélable car le moins que l'on puisse dire c'est qu'il ne s'agit pas d'une biographie initiatique. Les discussions de type stratégie d'entreprise ont plus retenu mon attention. J'imagine qu'elles sont relativement vérifiables car pour certaines faisant partie du domaine public. En revanche, la relation père/fille m'a mis mal à l'aise pour au moins deux raisons. Premièrement étant intime, sa véracité doit être questionnable. Et secondairement même sous l'angle de la fiction, elle ne m'a guère intéressé car de nature "psychiatrique" (très américain). Je retiendrai malgré tout la performance d'acteurs de Michael Fassbender et Kate Winslet, leur présence à l'écran et leur dualité. Le bonus "making-off" contient des entrtiens avec réalisateur, scénariste, acteurs, etc.. pour une fois intéressants. Ils justifient leur approche par un "l'art n'est pas du journalisme". Le film se veut subjectif mais je trouve significatif que les noms des personnages réels cités comme ayant participé aux répétitions correspondent aux scènes apparaissant comme authentiques.
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J'ai le droit de vivre
J'avais beaucoup aimé mais il faudrait que je le revois. Je suis biaisé car fan de Sylvia Sidney. Henry Fonda m'a rarement déçu. Un bon Fritz Lang qui a selon moi parfois été surestimé. Le secret derrière la porte étant un exemple de mauvais film à mon avis.
J'avoue avec un poil de honte que c'était le premier Fritz Lang que je voyais. Il faut dire que ma culture cinématographique de cette époque est surtout axée sur le français (sans être immense non plus), je n'ai commencé la découverte des anciens films US que récemment.
C'est pourquoi je trouve cette collection Make my day très intéressante car la présentation de JB Thoret permet de mieux appréhender l'œuvre et de la replacer dans son contexte. Même si je n'achète pas tous les numéros, elle m'a permis de belles découvertes de cette époque ou du cinéma italien qui m'était également inconnu. Et même pour les films que j'ai moins appréciés, j'ai la sensation d'avoir agrandi ma culture. ^^
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Trues lies
L'exemple typique d'un bon remake. Il reprend les bases de la Totale en poussant les curseurs à fond comme savent très bien le faire les blockbusters américains.
Certes je lui préfère quelques parties du film français, notamment les personnages de Michel Boujenah et d'Eddy Mitchell. Mais pour le reste, c'est un réussite. Un poil long peut-être, mais le rythme ne baisse pas donc ce n'est au final pas dérangeant.
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Les Tueurs de la lune de miel (ST anglais uniquement)
Âmes sensibles s'abstenir. Terrifiant, dérangeant car crédible et d'ailleurs tiré d'un fait-divers réel. Juste un avertissement, le sentiment d'inconfort se transforme progressivement en angoisse puis en horreur graphique ou suggérée. Il fallait un indépendant pour oser sortir ce film en 1970. Seuls peut-être quelques films japonais ou russes étaient allés aussi loin dans l'effroi et ce dans un contexte plus "tolérable", celui de la guerre. Ici, la trame criminelle ne fait qu'accroître la tension. Un réalisme cru ou l'humour même noir n'a pas sa place. Vraiment une curiosité marquante. Incidemment, le réalisateur d'un seul film. Le premier bonus relate l'historique du film par des entretiens de deux acteurs et de l'éditeur. On y apprend que Martin Scorsese avait tourné plusieurs scènes mais a finalement été renvoyé. D'autres extras mentionnent les remakes nettement moins bon parait-il "Alleluia" et "Coeurs perdus" avec John Travolta, Jared Leto et Salma Hayek.
Le grand jeu.
Un biopic particulier dans la mesure où il ne concerne pas une personnalité connue. Je me suis donc moins posé de questions sur la véracité de l'histoire. Cette absence de remise en cause permanente m'a permis de rentrer plus facilement dans l'intrigue que j'ai trouvée en grande partie équilibrée. Si l'on omet une scène finale avec Kevin Costner totalement inutile, le récit se révèle plausible car suffisemment autocritique. La voix off facilite la compréhension de l'histoire. Elle justifie les retours en arrière tout en attirant l'attention du spectateur sur les éléments qui se révèleront d'importance. Une connaissance approfondie du poker n'est pas requise. Un divertissement efficace incarné avec conviction par son actrice principale Jessica Chastain. Le bonus d'entretiens vaut la peine surtout en raison des éclairages apportés par le réalisateur et scénariste Aaoron Sorkin assez franc (le rôle "risqué" de Kevin Costner) et la réelle Molly Bloom.
Dernière modification par Manu1544 (25-06-2023 10:22)
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La plage
Un américain rencontre son voisin de chambre d'hôtel qui lui parle d'une plage paradisiaque et inconnue.
L'américain partage l'information avec un couple de français. A 3, ils décident de s'y rendre sans preuve de son existence.
J'ai bien accroché au début, la fin du film m'a quelque peu ennuyé (à partir des morsures).
En bonus, scènes coupées, fin alternative et 2 clips musicaux.
Les oliviers de la justice
Film en noir et blanc de 1962
Un fils qui a vécu son enfance en Algérie et habitant en France, y retourne pour voir son père malade. Dès le début du film, on nous raconte que le père mourra le lendemain.
Pas d'intrigue, pas d'histoire, des flashback sur l'enfance du personnage principal. C'est tourné à la fin de la guerre d'Algérie, avec des acteurs non professionnels.
L'image est belle et bien restaurée, il faut aimer voir les passants regarder la caméra à tout bout de champ.
Inutile de dire que je n'ai pas aimé.
Éternel insatisfait.
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La plage ce n'était pas vraiment ce à quoi je m'attendais !
2160 films DVD depuis 2002 dont 1652 Blu-ray , 591 UHD dont 270 Dolby Vision , 428 Steelbooks et 150 3D depuis juillet 2008.
OLED Panasonic LZ2000 65 "+ Panasonic UB820 & UB450 + Denon X3700H 7.1.2
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https://m.media-amazon.com/images/I/71q … SY445_.jpg
Trues lies
L'exemple typique d'un bon remake. Il reprend les bases de la Totale en poussant les curseurs à fond comme savent très bien le faire les blockbusters américains.
Certes je lui préfère quelques parties du film français, notamment les personnages de Michel Boujenah et d'Eddy Mitchell. Mais pour le reste, c'est un réussite. Un poil long peut-être, mais le rythme ne baisse pas donc ce n'est au final pas dérangeant.
le remake et l'original sont tellement pas comparables que je les vois carrément comme 2 films différents.. j'aime beaucoup les 2...
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Razzia sur la chnouf
Un Gabin/Ventura sans surprise bonne ou mauvaise. Seuls les dialogues d'Auguste le Breton apporte une touche d'originalité: un argot pas toujours compréhensible mais pittoresque. Un rythme soutenu mais un suspens limité car on se doute de ce qui va arriver aux personnages. Le film se veut un playdoyer contre la drogue comme l'intertitre de départ l'annonce. Il en expose tous les aspects des trafficants aux consommateurs en passant par la police. La dépendance aux substances y est montrée avec insistance mais également humanité. Une attention inattendue mais bienvenue. Un film par ailleurs assez quelconque. Peut-être nouveau à l'époque mais tellement rabattu aujourd'hui. Un long bonus un peu fourre-tout d'abord sur la drogue puis sur Henri Decoin.
Le Temps du châtiment
Pas le meilleur John Frankenheimer mais convenable néanmoins. Une alternance d'extérieurs à New-York et de scènes tournées en studio. Les premiers étant de loin les plus réussis. Ils dynamisent le film car le procès manque d'intensité dramatique, peut-être en raison de son traitement très classique. Manifestement un sujet social qui intéressait Burt Lancaster puisque c'est lui et sa maison de production qui l'avaient suggeré. Un film mineur mais pas déplaisant ne serait-ce que pour ses acteurs incluant également Shelley Winters et Telly Savalas en policier pré Kojak. Un bonus sur les débuts de carrière du réalisateur.
Dernière modification par Manu1544 (26-06-2023 08:22)
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Scénario classique du feel good movie musical, typique des années 90.
Mais il rempli tout à fait son objectif, le casting est plutôt bon, c'est bien rythmé avec un poil d'humour.
Sentiment un peu mitigé sur ce film. L'action est très bonne, assez bien filmée et le héros est charismatique.
Il y a donc tout pour en faire un film jouissif à la Taken. Mais l'histoire est alambiquée sans véritable raison. On en ressort avec un sentiment d'inachevé car le film donne l'impression de ne pas répondre à toutes les questions et c'est assez dommage.
Le mini making of pendant le générique de fin n'est pas sans rappeler les films de Jackie Chan.
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Scénario classique du feel good movie musical, typique des années 90.
Mais il rempli tout à fait son objectif, le casting est plutôt bon, c'est bien rythmé avec un poil d'humour.
Un troisième épisode serait en pourparlers après le flop du 2.
J'aime bien cette comédie et sa suite.
Éternel insatisfait.
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Echec à Borgia
Un film de cape et d'épée dont l'action se situe et a été effectivement tournée en Italie avec Tyrone Power et Orson Welles. De bons prémisses malheureusement que partiellement concrétisés. Orson Welles vole toutes les scènes où il apparait. Cependant elles sont rares. Le caractère féminin n'a aucune consistance. Restent une bataille, un siège et quelques duels. Cela ne suffit pas à constituer un film. Dommage une occasion manquée. Un bonus sur les films historiques d'Henry King qui donne des idées. A signaler une restauration très médiocre qui a du influé sur mon jugement de ce titre.
Jugatsu
Désastreux. Je pensais avoir touché le fond avec Violent Cop. Non. Rien à sauver à part le tout début: un base-ball parodique. Sinon, le vide sidéral. L'histoire est si mince que le cinéaste s'est senti obligé de rajouter un interlude à Okinawa, prétexte à des scènes de violence et de sex. Du pur remplissage sans cohérence aucune. Une suite de scénettes qui semblent toutes improvisées. Je me demande 1) comment j'ai pu regarder jusqu'au bout 2) si Hana-Bi n'était pas le seul film correct de Takeshi Kitano en tant que réalisateur 3) ce que d'autres y trouvent car c'est peu dire que le bonus ne m'a pas éclairé sur ce sujet.
Dernière modification par Manu1544 (27-06-2023 08:24)
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Jugatsu
Désastreux. Je pensais avoir touché le fond avec Violent Cop. Non. Rien à sauver à part le tout début: un base-ball parodique. Sinon, le vide sidéral. L'histoire est si mince que le cinéaste s'est senti obligé de rajouter un interlude à Okinawa, prétexte à des scènes de violence et de sex. Du pur remplissage sans cohérence aucune. Une suite de scénettes qui semblent toutes improvisées. Je me demande 1) comment j'ai pu regarder jusqu'au bout 2) si Hana-Bi n'était pas le seul film correct de Takeshi Kitano en tant que réalisateur 3) ce que d'autres y trouvent car c'est peu dire que le bonus ne m'a pas éclairé sur ce sujet.
Ce n'est pas forcément le plus simple d'accès du réalisateur, mais j'ai souvenir qu'il m'avait plus celui-ci.
Par contre pour ta question 2), effectivement Hana-bi est sublime mais à mon sens il y en a plusieurs autres très bons, voire géniaux de Kitano : Achille et la tortue, Zatoichi, Dolls, Sonatine, mais surtout A scene at the sea et l'été de Kikujiro.
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Supprimé car c'était du 4K. Désolé pour le dérangement BluRayAttitude.
Dernière modification par pingouinal (27-06-2023 14:26)
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Ici c'est les BD pas les 4K. Y a une rubrique dernier visionnage 4K !
2160 films DVD depuis 2002 dont 1652 Blu-ray , 591 UHD dont 270 Dolby Vision , 428 Steelbooks et 150 3D depuis juillet 2008.
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Le Mystère de la Tour Eiffel
Film de Julien Duvivier muet mais avec des bruitages. Rocambolesque mais beaucoup trop long, un hommage aux serials. Un bon tiers du film aurait du être coupé. Par contre, il vaut le coup pour la poursuite avion/voiture et surtout pour les vingt dernières minutes avec l'ascension de la Tour Eiffel. Je n'ai pas besoin de 3D et de CGI pour souffrir du vertige. J'ai du enlever mes lunettes à certains moments car le flou m'était plus supportable. Je recommande rarement de ne pas voir un film en entier mais ici des extraits suffiront. Ils permettront de se rendre compte de ce qui pouvait être réalisé déja à cette époque (1928). Deux courts bonus sans intéret.
Le Vol du Phoenix
Anticipant les films catastrophes des années 70s mais plus riche que la moyenne. Certes le côté. qui va survivre, qui va y passer existe. Cependant Robert Aldrich a toujours soigné ses seconds rôles sans tomber dans le manichéisme ou la morale du genre les méchants doivent disparaître et les bons s'en sortir. D'ailleurs la plupart des personnages montrent des faiblesses et se révèlent très humains. Ici, pas de super héros mais des gens ordinaires incarnés paradoxalement mais avec justesse par une pléiade de vedettes dont James Stewart et Hardy Krüger dans une place centrale inattendue. Un bonus sur la filmographie de qualité du réalisateur. Sur les treize que j'ai vus (en étant sélectif), un seul m'a franchement déçu (le grand couteau). Un éclectisme incroyable. Il a tourné de tout (western, policier, guerre, horreur, aventure, drame) souvent avec brio. Il n'y a que ses comédies que j'évite car poussives selon les critiques.
Dernière modification par Manu1544 (28-06-2023 11:41)
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Le grand jeu.
Un biopic particulier dans la mesure où il ne concerne pas une personnalité connue. Je me suis donc moins posé de questions sur la véracité de l'histoire. Cette absence de remise en cause permanente m'a permis de rentrer plus facilement dans l'intrigue que j'ai trouvée en grande partie équilibrée. Si l'on omet une scène finale avec Kevin Costner totalement inutile, le récit se révèle plausible car suffisemment autocritique. La voix off facilite la compréhension de l'histoire. Elle justifie les retours en arrière tout en attirant l'attention du spectateur sur les éléments qui se révèleront d'importance. Une connaissance approfondie du poker n'est pas requise. Un divertissement efficace incarné avec conviction par son actrice principale Jessica Chastain. Le bonus d'entretiens vaut la peine surtout en raison des éclairages apportés par le réalisateur et scénariste Aaoron Sorkin assez franc (le rôle "risqué" de Kevin Costner) et la réelle Molly Bloom.
Le nom des personnalités qui ont fréquenté le cercle de jeu, n'ont pas étés cité dans le film pour préserver leur anonymat.
J'ai lu le livre de Molly Bloom et il est excellent.
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Le film est excellent.
Jessica Chastain avait été dans celui la et Miss Sloane coup sur coup, et je trouve les 2 géniaux. Meme une petite préférence pour Miss Sloane je pense ...
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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Le film est excellent.
Jessica Chastain avait été dans celui la et Miss Sloane coup sur coup, et je trouve les 2 géniaux. Meme une petite préférence pour Miss Sloane je pense ...
Jessica chastain est mon actrice favorite. Miss Sloane est génial également. Pour ma part, je trouve sa filmographie très bonne, pas parfaite mais il y a beaucoup de bons films.
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Je ne suis pas particulièrement admiratif de sa carrière parce que clairement il n'y a pas que du bon. Mais l'actrice est géniale oui.
Je dis souvent qu'il y a pas mal d'acteurs que je trouve géniaux, mais rarement des femmes ou le charisme, la palette d'émotions transmises et compagnie me touche.
Clairement Jessica Chastain en fait partie
Dernière modification par Clement1138 (28-06-2023 17:21)
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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