Blu-ray Daylight Fades Saga – Test Blu-ray
– Synopsis –
Elisabeth et Johnny se rencontrent dans un bar et deviennent très rapidement inséparables. Mais une nuit, Johnny est victime d’un très grave accident de voiture et reste entre la vie et la mort. Voyant Elisabeth dévastée par le chagrin, Seth, un aide soignant de l’hôpital, décide de sauver Johnny de la seule manière qu’il peut en le transformant en vampire. Désormais, ils vont devoir tenter de construire un amour dangereux, liés par l’éternité.
– Le film –
Réalisateur : Brad Ellis
Acteurs : Matthew Stiller, Rachel Miles, Allen Gardner
Durée : 1h41
Année : 2010
Genre : Fantastique, Sentimental
– Image –
Le rendu se révèle convaincant hormis quelques défauts excusables tels que des traces de bruit, de rémanence ou quelques impressions de douceurs exagérées. Le reste demeure vraiment agréable. Les noirs sont de haute tenue, les contrastes cisèlent, les détails foisonnent et la palette colorimétrique se veut fastueuse.
Note
– Audio –
Le son officie efficacement, utilisant ponctuellement chaque enceinte avec ferveur. Les voix sont cristallines, les surrounds proposent de pertinents retours et l’utilisation multicanale laisse augurer de belles atmosphères. Finalement, la piste peut se targuer de délivrer l’acoustique respectueusement, sans esbroufe. A spécifier que l’anglais présente davantage de finesse et d’harmonie.
Doublage québécois très discret.
Note
– Caractéristiques du Blu-ray –
Éditeur : Emylia
Date de sortie : 14.02.2012
Format Cinéma : 2.35
Origine : France
Pistes sons : Français et Anglais DTS-HD High Resolution Audio 7.1
Sous-titres : Français
– Les bonus –
– Bandes annonces
– Critique de l’Å“uvre –
Un inédit surfant sur la vague des succès vampiresques du moment. L’ensemble ne décolle jamais réellement, se targuant plutôt de suivre un schéma très convenu. Toutefois, les acteurs, tous inconnus, livrent des prestations largement décentes et le metteur en scène soigne sa réalisation, joliment photographiée. Le sentiment d’être devant un film à petit budget persiste bien évidement, mais globalement, il s’annonce sympathique au regard de la portée cinématographique du projet…
