Blu-ray La Vérité si je Mens 3 – Test Blu-ray
– Synopsis –
Eddie, Dov, Yvan et les autres… Nos chaleureux amis ont migré du Sentier moribond à la banlieue florissante d’Aubervilliers. Là où les vieux entrepreneurs juifs ont laissé le terrain à de jeunes grossistes chinois courageux et dynamiques. La petite bande est toujours aussi soudée, solidaire que lors des épisodes précédents, et la vie suit son cours, au gré des petits évènements familiaux et des affaires. Dov semble toujours frivole, Eddie entreprenant, Yvan transi, Karine désinvolte, Sandra résolue, Chochana naïve, Serge irresponsable et mythomane. Quant à Patrick, il est amoureux et l’heureuse élue est loin d’être facile d’accès. Tout irait pour le mieux jusqu’à ce qu’un vent mauvais apporte son lot d’adversité compromettant sérieusement la cohésion du groupe…
– Le film –
Réalisateurs : Thomas Gilou
Acteurs : Richard Anconina, José Garcia, Bruno Solo, Vincent Elbaz, Gilbert Melki
Durée : 2h
Année : 2012
Genre : Comédie
– Image –
Assurément précis, le rendu propose une quantité de détails sacrément plaisants. Toutefois, certaines lacunes apparaissent en faible luminosité, l’arrière fourmille et une perte de définition se fait sentir. A côté de cela, la profondeur de champ parvient à enchanter chaque plan et la colorimétrie se révèle pointue. Le Blu-ray, très agréable, flatte aisément le récit.
Note
– Audio –
Les dialogues bénéficient d’une jolie ampleur, portés par une frontale dynamique et des surrounds immersifs. L’enveloppe ne demeure malheureusement pas très travaillée et distribue peu d’effets arrières, en raison de rares vraies ambiances. La piste retranscrit à merveille le film, inutile donc de jeter la pierre au mixage qui Å“uvre efficacement.
Note
– Caractéristiques du Blu-ray –
Éditeur : TF1 Vidéo
Date de sortie : 01.06.2012
Format Cinéma : 1.85
Origine : France
Pistes sons : Français DTS-HD Master Audio 5.1
Sous-titres : Aucun
– Les bonus –
– 10 scènes coupées
– 4 scènes cultes version karaoké
– Les avant-premières avec l’équipe du film
– Critique de l’Å“uvre –
Le canevas narratif sent bon l’inexistant (ou presque), donnant libre court à des situations cocasses, divers gags, délires verbaux et séquences sympathiques. Après tout, le but, totalement assumé, est de laisser ces trublions faire le spectacle… Affublé d’un rythme de croisière flemmard, le casting sauve clairement un scénario souffreteux. Léger, amusant et distrayant, sans plus.
Note