Blu-ray Les Immortels – Test Blu-ray
(Immortals) – Synopsis –
Les armées du roi Hypérion ravagent la Grèce, détruisant chaque village sur leur passage. Le roi sanguinaire ne laissera personne l’empêcher d’atteindre son but : libérer le pouvoir des Titans endormis afin d’anéantir les dieux de l’Olympe et l’humanité tout entière. Rien ni personne ne semble pouvoir arrêter la folie destructrice d’Hypérion, jusqu’à ce qu’un jeune tailleur de pierre, Thésée, jure de venger sa mère tuée par ses soldats. Lorsque le jeune homme rencontre Phèdre, l’oracle, celle-ci est assaillie de troublantes visions. La jeune femme est désormais convaincue que Thésée est le seul qui pourra arrêter la destruction. Avec l’aide de Phèdre, Thésée rassemble une petite troupe de fidèles, et part affronter son destin dans une lutte désespérée pour préserver l’avenir de l’humanité…
– Le film –
Réalisateur : Tarsem Singh
Acteurs : Henry Cavill, Mickey Rourke, Stephen Dorff, Freida Pinto
Durée : 1h51
Année : 2011
Genre : Aventures, Fantastique, Péplum
– Image –
Visuellement époustouflant, le Blu-ray, en tous points idéaux, offre une illustration parfaite et exquise du récit. Compression idyllique, noirs abyssaux, détails à foison, contrastes affûtés, léger grain cinéma seyant, colorimétrie majestueuse, piqué du tonnerre et relief éloquent, l’absence totale de défaut amènent ce titre à être une délectable expérience rétinienne.
Note
– Audio –
Qu’il est appréciable de se sentir bercé par une telle enveloppe, riche, fine, exemplaire, dynamique, énergique et immersive. Les canaux génèrent de multiples sensations acoustique spectaculaires. Carrément jouissif !
Note
– Caractéristiques du Blu-ray –
Éditeur : Metropolitan Vidéo
Date de sortie : 23.03.2012
Format Cinéma : 1.85
Origine : France
Pistes sons : Français et Anglais DTS-HD Master Audio 5.1
Sous-titres : Français
– Les bonus –
– Making of
– Scènes coupées
– Critique de l’Å“uvre –
Que c’est kitsch, vain et ringard ! Le rythme ne faiblit jamais vraiment même si aucune tension réelle n’officie, les séquences se suivent surtout dans un festival d’effets esthétiques clinquants. Quand l’habillage se prévaut plus que le contenu, Singh signe un produit hautement clipesque. Pour porter le film, il aurait fallu que l’ensemble bénéficie d’un minimum d’âme pour tenter de lui conférer une identité propre…
Note
par rapport à 300, c’est pas terrible alors ?
Le jour et la nuit…
C clair c’est le jour et la nuit, je me suis fait chier devant immortels, c’est hypra-beau mais stratosphériquement plat…
Les habits des dieux sortent tout droit de la gay pride