Blu-ray Seventy Five : 7eventy 5ive – Test Blu-ray
(Dead Tone) – Synopsis –
Invité par une riche personnalité à venir passer le week-end dans un manoir isolé, une bande d’étudiants s’amusent à faire des blagues téléphoniques pour passer le temps. Mais un coup de fil de trop les amène à entrer en contact avec un psychopathe qui ne tardera pas à venir leur rendre une visite meurtrière à coup de hache et autres armes coupantes. Vous avez 75 secondes pour convaincre… ou survivre… Jouez au jeu, obéissez aux règles, priez pour votre salut…
– Le film –
Réalisateur : Brian Hooks, Deon Taylor
Acteurs : Brian Hooks, Jud Tylor, Cherie Johnson, Germán Legarreta, Antwon Tanner
Durée : 100 min
Année : 2007
Genre : Slasher
– Image –
Le transfert jouit d’une belle qualité et propose le film sous son meilleur jour. Les noirs, contrastes et la désaturation sont hautement réussis, délivrant des séquences nocturnes radieuses. Des fourmillements s’affichent parfois, et le piqué manque tout de même de tranchant. La profondeur de champ et les couleurs, elles, savent se mettre à l’honneur, et le léger grain se marie à merveille avec l’ensemble. Un Blu-ray convaincant, qui sert incontestablement l’histoire.
Note
– Audio –
Le contenu permet de jolis effets acoustiques, coups de hache, démembrations, attaques à l’arme blanche ; le mixage sert efficacement tous ces élans de violence sur les différents canaux. Toutefois, le 2.0 ne permet ni finesse ni spatialisation intéressantes. Le doublage demeure dans la moyenne grâce à une frontale présente. La piste originale en 5.1 s’avère nettement plus dynamique et immersive.
Note
– Caractéristiques du Blu-ray testé –
Editeur : Emylia
Date de sortie : 01.06.2010
Format Cinéma : 2.35
Origine : France
Pistes son : Français DTS-HD Audio 2.0, Anglais DTS-HD Audio 5.1
Sous-titres : Français
– Les bonus –
– Code D-Box Motion
– Making of
– Diaporama
– Critique de l’Å“uvre –
Un bon petit slasher sorti de derrière les fagots qui ne démérite pas. Les acteurs (inconnus) jouent correctement leurs rôles (fins comme une feuille de papier de cigarette), et le scénario, très largement inspiré des trois Scream, propose un pitch de départ sympathique (pas assez bien exploité peut-être). En gros, tous les clichés sont là , on n’évite pas les classiques (dialogues creux, situations prévisibles, jolies filles, les combats de coq) ni les imperfectibilités scénaristiques, et c’est ce qui en fait un divertissement, sûrement pas novateur, loin de là , mais finalement visuel, sanglant, distrayant et efficace.
Note
Merci encore pour lulu ça !!
hahahhaha sacré lulu