Blu-ray The Silent House – Test Blu-ray
(La Casa muda) – Synopsis –
Laura et son père Wilson s’installent dans une maison à la campagne pour la retaper sur demande de son propriétaire qui souhaiterait la mettre en vente au plus vite. Ils passeront donc la nuit sur place avant de commencer les travaux le lendemain matin. Tout semble se passer pour le mieux avant que Laura n’entende un bruit provenant de l’extérieur mais devenant de plus en plus fort au premier étage de la maison. Wilson s’aventure donc en haut pour voir ce qu’il en est tandis que Laura l’attend seule au rez-de-chaussée…
– Le film –
Réalisateur : Gustavo Hernández
Acteurs : Florencia Colucci, Abel Tripaldi, Gustavo Alonso
Durée : 1h26
Année : 2010
Genre : Épouvante
– Image –
Le rendu risque d’en surprendre plus d’un, tant il est déstabilisant. Souvent propre, précis et globalement pertinent, le transfert fait de son mieux avec le matériau de départ, très sombre, filmé caméra à l’épaule, avec des focales parfois hésitantes ; l’ensemble ne s’avère ainsi pas toujours généreux. Parfois chancelante, la qualité varie, sans forcément être déplaisante.
Note
– Audio –
Principalement frontal, le mixage n’offre guère d’effets arrières. Les surrounds sont (quasi) muets et les rares dialogues restent peu véhéments, un comble. L’écoute se fait juste dans des conditions correctes. L’acoustique se révèle modestement travaillé, laissant une part importante au silence ; sur ce point, pas de souci…
Note
– Caractéristiques du Blu-ray –
Éditeur : TF1 Vidéo
Date de sortie : 17.08.2011
Format Cinéma : 1.78
Origine : France
Pistes sons : Français et Espagnol DTS-HD Master Audio 5.1
Sous-titres : Français
– Les bonus –
– Interview de Gustavo Hernández et Florencia Colucci
– Critique de l’Å“uvre –
Le début scotche via une jolie atmosphère et un décor flippant. La suite s’enlise et se fourvoie. Le film vaut surtout pour sa réalisation extrêmement léchée, plongeant le spectateur au cÅ“ur de l’effroi. Typiquement le récit bancal qui, à la relecture de l’ensemble, perdra tout son panache, s’il en était. Vraiment dommage, il n’évite en effet pas quelques passages ratés ; des points cruciaux (inhérents au genre) auraient vivement mérités d’être plus amplement travaillés. Une impression d’avoir été berné pour pas grand chose réside une fois le générique défilant…
Note