Vous n'êtes pas identifié(e).
Lone ranger
Pas envie de parler de ce film... décevant. Hautement. D'autant que la pertinence de Diez est déjà passé par là. A ce ci près que l'humour n'est pas si lourdingue, bien moins que dans les Pirates... Vide de scénario, oui, impardonnable le fait que le minerai ne semble faire rendre cupide (et fou grave, puisque Tonto en devient ce qu'il devient) que 2 personnages. A retenir la maîtrise de certains plans, un peu de critique sociale que G. Verbinski à l'énorme potentiel dilue dans un spectacle boursouflé.Mais il y a bien pire
Insaisissable
Le film le + con de l'année (so far). La mise en scène ce borne platement à illustrer l'imbécilité d'un scénario bien dans son temps, cuvée hollywood 2013.
Et bah merde, je suis d'accord avec toi pour Insaisissables... Passé le premier grand tour de magie, le film affiche clairement ses carences. manque de légèreté, manque de rythme et manque d'intelligence surtout. Ce tour de magie grandeur nature en devient bien trop vite absurde. Il y a de la course poursuite hors propos super mal filmée... Les personnages au nombre de 200 sont tous effacés dans la masse, trop identiques les uns aux autres : Condescendance et ironie à deux balles.
Je rédigerai certainement un avis détaillé pour éclaircir certains points. Trop dégoûté, autant dans les films que j'attends (The lone ranger) que dans ceux qui ne m'attirent sans plus (Insaisissables), j'arrive à être déçu... Un période estivale drôlement pourrave hormis Wolverine et dans une moindre mesure Pop rédemption.
Dernière modification par diez (10-08-2013 17:53)
Hors ligne
Au contraire, je suis très content de cette période estivale O:)
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
Hors ligne
Tu as bien de la chance.
Hors ligne
Oui. Mis à part The Purge un peu sous-exploité, je n'ai encore pas été déçu, au contraire O:) Oggy lundi je pense...
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
Hors ligne
The purge fait parti de mes trois grosses attentes de l'été. Avec mes dernières déception, je vais revoir mon attente à la baisse... Quand le cinéma ne me propose pas assez de plaisir je commence à m'en lasser. Des BD comme Another earth et Une étoile est née me permettent de pallier à mon dégoût et de prendre le plaisir que je n'ai pas au ciné en ce moment. Vivement de bons films aux ciné quoi...
Le film que j'attendais le moins, celui qui me paraissait le plus naze se révèle malgré ses défauts le plus plaisant, Wolverine.
Hors ligne
Vu The Purge. Le pitch me faisait vraiment envie et j'ai été très déçu. Ca commence vraiment bien, une ambiance dérangeante à souhait, puis ça tombe dans le déroulement classique du thriller à huis clos avec un final à la limite du ridicule tant il est surréaliste et prévisible.
TV OLED 4K LG 65G4 - ampli DENON AVR-X2400H - colonnes Klipsch RF-52 Mk2- centrale Klipsch R-25C - Sub Klipsch R-12SW- surrounds Klipsch R-15M- atmos KEF T101- lecteur multimédia Nvidia Shield TV 16go - lecteur blu-ray UHD Panasonic DP-UB820 - NAS Synology DS116 - lecteur audio Logitech Squeezebox - télécommande Logitech Harmony Ultimate
ma collection: http://c.mymovies.dk/djfeelip
Hors ligne
Je te rejoins. Pas aussi sévère malgré tout mais je comprends ton ressenti O:)
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
Hors ligne
American nightmare ce matin
Quel régal pour l'amateur du genre que je suis. Une tension tout du long, une histoire originale, j'ai vraiment apprécié la fin.
Un peu court par contre.
Un bon 8/10 pour ma part
Hors ligne
Tu me rassure d'un coup !
INSAISISSABLES – L’illusion de la sophistication, la réalité du vide.
Louis Leterrier c’est le petit bébé de Luc Besson qui depuis son premier film a su s’émanciper aussi bien pour mon plaisir (L’incroyable Hulk) que pour mon malheur (Le choc des Titans). Qu’à cela ne tienne, Hollywood a confiance en lui offrant en collaboration avec la France la réalisation de Insaisissables. C’est un genre de Ocean’s dans le monde de l’illusion. Entre une bande-annonce mystérieuse, un casting de folie et une idée aussi bien originale que banale, le film a de quoi intriguer et laisser perplexe. On le sait maintenant, les gros castings sont souvent là pour pallier des lacunes artistiques. Cependant, pas de quoi inquiéter plus que de raison.
« Les Quatre Cavaliers », un groupe de brillants magiciens et illusionnistes, viennent de donner deux spectacles de magie époustouflants : le premier en braquant une banque sur un autre continent, le deuxième en… [...GROS SPOILER...]. Deux agents spéciaux du FBI et d’Interpol sont déterminés à les arrêter avant qu’ils ne mettent à exécution leur promesse de réaliser des braquages encore plus audacieux. Ils font appel à Thaddeus, spécialiste reconnu pour expliquer les tours de magie les plus sophistiqués. Alors que la pression s’intensifie, et que le monde entier attend le spectaculaire tour final des Cavaliers, la course contre la montre commence.
Phase d’exposition qui ne fait pas dans la dentelle et qui nous plonge immédiatement dans ce monde si singulier de l’illusion au travers des quatre personnages qui deviendront Les Quatre Cavaliers. C’est classe, amusant et même jouissif. La caméra prend son temps, exploite le personnage pour en faire ressortir tout un mystère du plus bel effet. La musique l’ambiance rajoute une bonne dose à cette atmosphère parfaitement restituée. Le quatuor formé va ainsi mettre en scène sa première grosse illusion, celle de cambrioler une banque… en Europe ! Mise en scène classe de ce tour de magie, les héros s’avèrent être charismatiques et taillés pour un tel show. Impressionnant et planant, il faut avouer que l’on assiste à un spectacle de haute volée. La présence de José Garcia pour ce tour ravira certainement le spectateur français.
Plus qu’une illusion, la fameuse banque de Paris a vraiment été cambriolée. Là commence l’histoire du film où FBI et Interpole vont enquêter sur ces magiciens d’un autre genre. C’est à ce moment précis que les premières faiblesses scénaristiques apparaissent. Alors que jusqu’à maintenant tout paraissait crédible, la révélation de l’envers du premier tour se révèle être particulièrement absurde. Comment croire à une telle chose ? C’est trop gros et amené sans trop de subtilité ce qui amplifie cette impression de ne plus y croire. Pourtant, même au début certains éléments sont trop improbables pour y croire, mais la magie opère. Impossible en revanche de faire abstraction de cette révélation bidon. A peine sorti de cette histoire, arrive le second gros tour de magie. Encore une fois c’est réussi même si un peu toujours avec la même construction. Mais à la fin de ce tour, la crédibilité prend un coup plus violent et fini d’achever ce qui restait de plaisir.
Le film s’enchaîne et affiche vite ses nombreuses carences artistiques. Les mêmes artifices se répètent inlassablement jusqu’à épuisement. La réalisation ne change pas d’un poil avec sa caméra épaule fatigante, la musique devient assommante tant elle ne se renouvelle plus. Les personnages, à l’exception de deux ou trois, ne sont pas assez différents les uns des autres pour s’y intéresser suffisamment. Le film versera même dans de la mièvrerie invraisemblable. A noter également deux grosses courses-poursuites hors propos et vide d’intérêt venant annihiler un rythme déjà excessivement bancal. Insaisissables se veut crédible, mais les situations et nombreuses intrigues à tiroirs sont improbables. Par facilité, l’histoire évite de répondre à certaines questions et manque même de boucler certains arcs narratifs. Le ridicule ne tue pas, mais reste ridicule.
Ce nouveau long-métrage de Louis Leterrier fait preuve d’une prétention affichée et en oubli de faire quelque chose de plus léger et divertissant. Parfois inutilement longuet, on se surprendra à faire notre propre enquête et à vite anticiper un final avec ses allures de « tout ça pour ça ». Comme déjà dit, les personnages sont peu consistants et laissent indifférent, mais cela n’empêche pas que le casting, lui, soit superbe. En tête un Michael Caine toujours aussi impressionnant, un Morgan Freeman excellent et un très bon Mark Ruffalo. Contrairement à tout ce monde (les Français) qui n’aime pas Mélanie Laurent, elle est pourtant une très bonne actrice qui s’en sort bien dans ce tourbillon d’étoiles Hollywoodiennes. Malheureusement, cela ne suffira pas à passer un bon moment tant le récit dévoile vite ses cartes et manque par conséquent d’intelligence.
Insaisissables aurait clairement pu être le tendant prestidigitation à la saga Ocean's. Cette dernière demeure pourtant plus magique et envoûtante que ce tour de magie raté qu'est le film de Louis Leterrier. Les aberrations sautent vite aux yeux et ne permettent pas de prendre ce divertissement pour ce qu'il est censé être : un divertissement. Nous faire croire à l'improbable, voilà ce qui aurait probablement constitué la plus belle des illusions.
Dernière modification par diez (11-08-2013 15:43)
Hors ligne
Lone ranger
Du pur divertissement gentillet qui restera pas dans les annales. Les blagues à 2 balles gachent beaucoup le film. La prestration de Depp est un poil mieux que ses dernieres prestations dans Pirates des Caraïbes mais reste dans le même registre. Le film est vraiment trop long. Il se passe pas grand chose lors de ces 2h30, pas de surprises et de rebondissements. Certaines sequences d effets spéciaux sont immondes dans la scene d action finale. Je vais retenir la bande son qui risque de déchirer en BD.
*LCD Samsung 46LE676* / *Lecteur Blu-ray BD-P 1500* / *Ampli Denon AVR 1910* / *Pack 5.0 Davis Acoustics Matisse*
Hors ligne
Je te rejoint sur tous les points. J'en profite pour dire que dans la BO il y a quelques titres pas mal. Notamment l'intro et le dernier plan du film (même zik je crois).
Hors ligne
Je connais pas la BD, c est dans le même style que le film?
*LCD Samsung 46LE676* / *Lecteur Blu-ray BD-P 1500* / *Ampli Denon AVR 1910* / *Pack 5.0 Davis Acoustics Matisse*
Hors ligne
Je parlais de la musique du film.
Je crois bien que la BD n'est même pas arrivée jusqu'en France, 'me trompe peut-être.
Hors ligne
Tu me rassure d'un coup !
INSAISISSABLES – L’illusion de la sophistication, la réalité du vide.
http://nsa33.casimages.com/img/2013/08/11/130811034442877855.jpg
Louis Leterrier c’est le petit bébé de Luc Besson qui depuis son premier film a su s’émanciper aussi bien pour mon plaisir (L’incroyable Hulk) que pour mon malheur (Le choc des Titans). Qu’à cela ne tienne, Hollywood a confiance en lui offrant en collaboration avec la France la réalisation de Insaisissables. C’est un genre de Ocean’s dans le monde de l’illusion. Entre une bande-annonce mystérieuse, un casting de folie et une idée aussi bien originale que banale, le film a de quoi intriguer et laisser perplexe. On le sait maintenant, les gros castings sont souvent là pour pallier des lacunes artistiques. Cependant, pas de quoi inquiéter plus que de raison.
« Les Quatre Cavaliers », un groupe de brillants magiciens et illusionnistes, viennent de donner deux spectacles de magie époustouflants : le premier en braquant une banque sur un autre continent, le deuxième en… [...GROS SPOILER...]. Deux agents spéciaux du FBI et d’Interpol sont déterminés à les arrêter avant qu’ils ne mettent à exécution leur promesse de réaliser des braquages encore plus audacieux. Ils font appel à Thaddeus, spécialiste reconnu pour expliquer les tours de magie les plus sophistiqués. Alors que la pression s’intensifie, et que le monde entier attend le spectaculaire tour final des Cavaliers, la course contre la montre commence.
Phase d’exposition qui ne fait pas dans la dentelle et qui nous plonge immédiatement dans ce monde si singulier de l’illusion au travers des quatre personnages qui deviendront Les Quatre Cavaliers. C’est classe, amusant et même jouissif. La caméra prend son temps, exploite le personnage pour en faire ressortir tout un mystère du plus bel effet. La musique l’ambiance rajoute une bonne dose à cette atmosphère parfaitement restituée. Le quatuor formé va ainsi mettre en scène sa première grosse illusion, celle de cambrioler une banque… en Europe ! Mise en scène classe de ce tour de magie, les héros s’avèrent être charismatiques et taillés pour un tel show. Impressionnant et planant, il faut avouer que l’on assiste à un spectacle de haute volée. La présence de José Garcia pour ce tour ravira certainement le spectateur français.
Plus qu’une illusion, la fameuse banque de Paris a vraiment été cambriolée. Là commence l’histoire du film où FBI et Interpole vont enquêter sur ces magiciens d’un autre genre. C’est à ce moment précis que les premières faiblesses scénaristiques apparaissent. Alors que jusqu’à maintenant tout paraissait crédible, la révélation de l’envers du premier tour se révèle être particulièrement absurde. Comment croire à une telle chose ? C’est trop gros et amené sans trop de subtilité ce qui amplifie cette impression de ne plus y croire. Pourtant, même au début certains éléments sont trop improbables pour y croire, mais la magie opère. Impossible en revanche de faire abstraction de cette révélation bidon. A peine sorti de cette histoire, arrive le second gros tour de magie. Encore une fois c’est réussi même si un peu toujours avec la même construction. Mais à la fin de ce tour, la crédibilité prend un coup plus violent et fini d’achever ce qui restait de plaisir.
Le film s’enchaîne et affiche vite ses nombreuses carences artistiques. Les mêmes artifices se répètent inlassablement jusqu’à épuisement. La réalisation ne change pas d’un poil avec sa caméra épaule fatigante, la musique devient assommante tant elle ne se renouvelle plus. Les personnages, à l’exception de deux ou trois, ne sont pas assez différents les uns des autres pour s’y intéresser suffisamment. Le film versera même dans de la mièvrerie invraisemblable. A noter également deux grosses courses-poursuites hors propos et vide d’intérêt venant annihiler un rythme déjà excessivement bancal. Insaisissables se veut crédible, mais les situations et nombreuses intrigues à tiroirs sont improbables. Par facilité, l’histoire évite de répondre à certaines questions et manque même de boucler certains arcs narratifs. Le ridicule ne tue pas, mais reste ridicule.
Ce nouveau long-métrage de Louis Leterrier fait preuve d’une prétention affichée et en oubli de faire quelque chose de plus léger et divertissant. Parfois inutilement longuet, on se surprendra à faire notre propre enquête et à vite anticiper un final avec ses allures de « tout ça pour ça ». Comme déjà dit, les personnages sont peu consistants et laissent indifférent, mais cela n’empêche pas que le casting, lui, soit superbe. En tête un Michael Caine toujours aussi impressionnant, un Morgan Freeman excellent et un très bon Mark Ruffalo. Contrairement à tout ce monde (les Français) qui n’aime pas Mélanie Laurent, elle est pourtant une très bonne actrice qui s’en sort bien dans ce tourbillon d’étoiles Hollywoodiennes. Malheureusement, cela ne suffira pas à passer un bon moment tant le récit dévoile vite ses cartes et manque par conséquent d’intelligence.
Insaisissables aurait clairement pu être le tendant prestidigitation à la saga Ocean's. Cette dernière demeure pourtant plus magique et envoûtante que ce tour de magie raté qu'est le film de Louis Leterrier. Les aberrations sautent vite aux yeux et ne permettent pas de prendre ce divertissement pour ce qu'il est censé être : un divertissement. Nous faire croire à l'improbable, voilà ce qui aurait probablement constitué la plus belle des illusions.
Exactement. Une trahison de plus pour ce film (très bien vu l'allusion au gros casting pour combler les lacunes) c'est le personnage de M. Caine qui est sacrifié vite fait, mal fait. C'est les producteurs qui l'agite dans la main droite pour berner un potentiel spectateur, alors que dans la main gauche du scénariste, il n'est qu'une carte grossièrement biseauté.
La magie c'est dans le live qu'elle reste le plus troublant, à la tv avec le montage c'est déjà moins fort, alors ici ou toute la prod fait son petit malin cela en devient écoeurant.
Pourtant il y a Nolan et son Le prestige qui reste envoutant de bout en bout en nous décrivant des astuces scientifiques. Mais les 4 mains des 2 scénaristes sont autrement expertes, les personnages et les propos du film, les enjeux autrement plus sérieux. Le talent à l'oeuvre.
GREED is EVIL + AvoId
Hors ligne
Je pensais exactement à Michael Caine quand je parlais d'arc narratif non bouclé ! C'est juste n'importe quoi.
Je voulais aussi faire le parallèle avec Le prestige qui conçoit son tour de magie en ce servant du support cinéma pour mieux captiver le spectateur, cela donne un film conçu comme une illusion. C'est ingénieux et autrement plus intelligent.
Hors ligne
le prestige, l'illusioniste, ocean eleven,, tous ont en point commun l'absurdité totale des "tours" ou "astuces soi disant scientifiques" utilisés. Bon je mets de coté Ocean eleven qui est pour moi un navet monumental tant on ne peut y croire une seule seconde et avec en plus des acteurs sous exploités juste là pour l'affiche.
L'illusioniste et le prestige ont au moins le mérite d'essayer de pondre un scénario intelligent et un bel univers. Mais ce sont plus des films fantastiques alors que les réalisateurs veulent nous faire croire que c'est possible, que c'est crédible. Et ben c'est raté, du coup ca ne passe pas avec moi...
Donc forcément je ne suis pas du tout tenté par cet "insaisissable "...
Blu-rays : 1341 films/saisons dont 221 steelbook/tin box, 69 Digibook et 70 BD 3D - Ecran : plasma Panasonic 50ST50 - Lecteurs : Panasonic BDT 120 + Freebox v6 region A - Audio : ampli Yamaha RX-V567 + enceintes Boston Soundware XS 5.1 - Harmony One+ - PS4
Hors ligne
Dans ton cas, ça risquerait d'être le pire de tous.
Dans mon cas je trouve Le prestige parfaitement crédible dans son récit, réaliste non, mais crédible clairement (pour moi).
Hors ligne
pareil pour Le prestige, j'ai pas du tout aimé.
Tout ce que l'on souhaite c'est de pouvoir partager en paix
Hors ligne
Vu The Purge. Le pitch me faisait vraiment envie et j'ai été très déçu. Ca commence vraiment bien, une ambiance dérangeante à souhait, puis ça tombe dans le déroulement classique du thriller à huis clos avec un final à la limite du ridicule tant il est surréaliste et prévisible.
+1.
La première demi heure est vraiment sympa, ensuite c'est l'encéphalogramme plat au niveau du scénario.
Un bon film de genre mais qui n'apporte absolument rien.
Hors ligne
pareil pour Le prestige, j'ai pas du tout aimé.
Tu as vraiment du mal avec les scénarios un peu complexe
Hors ligne