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24 jours, la vérité sur l'affaire Ilan Halimi, sortie le 30/4
Arcady, qui change de registre avec cette parenthèse (dixit le distributeur), arrive à nous faire un film poignant.
Une de ses force c'est de ne pas tombé dans un racolage lacrymal tout en gardant l'émotion.
La mise en scène (classique, simple, loin des polars fr d'aujourd'hui – l'axe du sujet ne s'y prête pas) n'est pas vraiment le point fort du film mais c'est l'efficacité du récit qui rend compte du drame d'un tel sujet, non seulement pour la famille ou la police (leur fonctionnement, leur désir de résoudre l'affaire) mais aussi au sein de la société et des comportements des uns et des autres.
De ceux qui ne veulent pas voir ni entendre, de ceux qui ce laissent envahir par des préjugés. Raccordant avec une actualité plus récente ce film nous demande de rester vigilant.
GREED is EVIL + AvoId
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Captain America: Le soldat de l'hiver
Je sors mitigé de la salle de cinéma. J'ai vu de bonnes scènes d'action, quelques personnages intéressants mais le scénario n'est pas très passionnant et le soldat de l'hiver clairement sous exploité. J'ai clairement préféré le premier Captain America et dernièrement le second Thor. Je suis plutôt déçu, je pense aussi que j'en attendais un peu trop!
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Noé
Déception. J'ai trouvé le temps long. Les scènes spectaculaires ne durent pas bien longtemps, je pense qu'il ne faut pas y aller si on s'attend à un blockbuster car ce n'en est pas vraiment un. Visuellement c'est très sombre (en même temps il faut bien que ça colle à l'histoire) et ça a fini par me gonfler. Je ne vais pas développer plus car je ne suis pas du tout inspiré. Je n'étais pas en grande forme non plus donc ça n'aide pas pour l'appréciation; sans compter les petits merdeux à côté qui discutaient que j'ai dû remettre en place et les 3-4 personnes qui faisaient des va-et-viens dans la salle. Pas mauvais mais juste moyen pour moi.
Dernière modification par djfeelip (08-04-2014 22:59)
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Noé
Déception. J'ai trouvé le temps long. Les scènes spectaculaires ne durent pas bien longtemps, je pense qu'il ne faut pas y aller si on s'attend à un blockbuster car ce n'en est pas vraiment un. Visuellement c'est très sombre (en même temps il faut bien que ça colle à l'histoire) et ça a fini par me gonfler. Je ne vais pas développer plus car je ne suis pas du tout inspiré. Je n'étais pas en grande forme non plus donc ça n'aide pas pour l'appréciation; sans compter les petits merdeux à côté qui discutaient que j'ai dû remettre en place et les 3-4 personnes qui faisaient des va-et-viens dans la salle. Pas mauvais mais juste moyen pour moi.
C'était couru d'avance. ..
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Peut être tu apprécieras mieux le film dans de meilleures conditions en le re-visionnant tranquille chez toi en blu ray.
Moi je l'ai trouvé bon avec un Russel Crowe toujours au top
Mets ta ceinture Alice et bon voyage au pays des merveilles
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Noé
Je n'ai pas terminé le livre dont est tiré le film tellement c'est mauvais, en ce sens l'adaptation lui est assez fidèle.
Le pitch face aux producteurs c'est : un épisode inédit du Hobbit rencontre le Titanic version happy end avec un peu (si peu pour éviter un rated R) de cruauté façon La passion du christ.
Conter les égarements d'un bigot qui interprète sa "mission" est d'actualité dans un monde ou fous religieux et politiques pullules en ces temps annonciateurs de catastrophes économiques mais ici c'est long, pesant et rébarbatif.
Pour donner une rapide idée Aronofsky nous fait le même coup que Malick pour Pocahontas. Quelques visions assez jolies disséminés dans 2h20, certaines plusieurs fois, qu'un Coppola avait en mieux déjà montré dans le prologue de Dracula, rien de plus. C'est un peu et dieu créa la palette graphique pour qu'Aronofski nous fasse à un spectacle catastrophique ni spectaculaire, ni efficace.
De plus, traiter un tel personnage en s'arrêtant avant sa victoire à RG rajoute à la déception.
Ce qu'il faut retenir: L'ark narratif est d'un bateau.
Amateurs de BD vs ne trouverez du plaisir que sur de rares scènes en 7.1 pour ne pas regretter votre achat.
Dernière modification par kub57 (09-04-2014 09:15)
GREED is EVIL + AvoId
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Captain America le soldat de l'hiver
C clair le soldat sous exploité, par contre plus d'action que dans le 1. Le coupd de poing de fer du soldat sur le bouclier a fait trembler la salle J'ai trouvé très bon, Black Widow et Fury plus exploité eux...
Encore regret cette 3D qui rend flou les images en arrière plan, les lunettes gênantes pour apprécier les scènes rapides, images assombries, les lumières de la salle qui reflètent STOP A LA 3D!!!!
Vivement que je le revoit à la maison en blu-ray 2D bien sûr pour une meilleur image
Dernière modification par lulumay (09-04-2014 16:36)
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Noé
Déception. J'ai trouvé le temps long. Les scènes spectaculaires ne durent pas bien longtemps, je pense qu'il ne faut pas y aller si on s'attend à un blockbuster car ce n'en est pas vraiment un. Visuellement c'est très sombre (en même temps il faut bien que ça colle à l'histoire) et ça a fini par me gonfler. Je ne vais pas développer plus car je ne suis pas du tout inspiré. Je n'étais pas en grande forme non plus donc ça n'aide pas pour l'appréciation; sans compter les petits merdeux à côté qui discutaient que j'ai dû remettre en place et les 3-4 personnes qui faisaient des va-et-viens dans la salle. Pas mauvais mais juste moyen pour moi.
Tu me confortes dans l'idée de continuer à voir des films un dimanche matin au calme ... je privilégie souvent cette horaire, pour être tranquille et apprécier !
Bon va falloir s'accrocher par contre vu que tu as failli t'endormir
102 BD dont 22 Steelbook/4 Tinbox/5 Digibook/5 Digipack
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Noé
Noé, c’est bien le déluge annoncé. Mais quel genre de déluge ? Un déluge épique ou un déluge pour clodos ? Le mec qui décide de mettre en scène une histoire comme celle de Noé il n’a pas intérêt à se faire dessus, au risque de déclencher quelques crises de jeux de mots. Un déluge d’ennui, un tsunami de conneries, le bateau sans capitaine, l’arche a coulé, I am pas the king of the world, Noéééé Noéééé capitaiiiine abannnndonéééé, … bref c’est risqué. Mais non, je ne vais pas rentrer dans ce jeu-là, d’autant que j’en ai déjà bien profité.
Aronofsky filme sa page biblique comme il filme The Westler. C’est-à-dire avec quasiment que des gros plans sur les personnages et une caméra épaule très instable. Il y a également beaucoup de plans fixes sur les plans larges. Ça manque de mouvement là où il faudrait. De rares idées superbes, mais très furtives, ponctuent le long métrage. La musique envoûtante essaie tant bien que mal d’instaurer cette ambiance épique et divine, mais il manque réellement une réalisation plus audacieuse.
L’arche est une intrigue finalement secondaire. On suit surtout l’histoire d’un homme qu’on dirait aujourd’hui extrémiste et complètement maboule. Mais même là, le travail sur les personnages est transparent. Les tentatives de rendre les héros empathiques sont avortées par une paresse assez étonnante de la part d’un réalisateur qui a toujours eux à cœur de transcender ses personnages. Les acteurs sont alors, malgré eux, dans une impasse où l’impossibilité de réellement s’exprimer doit être à la hauteur de leur frustration. Russel Crowe aussi charismatique soit-il.
Noé se regarde pour quelques moments sympas d’histoire, mais franchement j’ai trouvé le temps long, parfois très long… La réalisation est trop frileuse pour un film qui se veut un minimum ambitieux visuellement. La thématique l’homme est un con, il faut le déglinguer une fois pour toute ne va pas plus loin que ça. Darren Aronofsky, avec ces petits passages très inventifs, laissait pourtant entrevoir un film à l’image de son esprit créatif. Finalement, il ne fait que survoler une histoire qui aurait pu être Les 10 commandements de notre décennie.
Le mot de la fin : Alors, non ce n’est pas un vrai déluge pour clodos, mais ce n’est pas vraiment très brillant non plus et même pas assez divertissant pour passer un bon moment.
Sorry pour la longueur du truc, c'est l'article final que je vais publier sur mon site, j'avais perdu l'habitude de le publier ici.
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Nebraska
Un road-movie à travers une Amérique sans artifices, une galerie de personnages très attachants, une intrigue classique mais bien développée et surtout des thématiques fortes. Fervent admirateur des films en noir et blanc, ici, ce parti pris visuel me gêne plus qu'il ne sert le propos. En cela Nebraska ne parvient pas à convaincre totalement. Il demeure cependant une oeuvre touchante et remarquablement portée par ses acteurs.
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Nebraska L'avis n/b. Pour moi, totalement dans le ton du film.
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Un effet de style qui gâche tous les paysages filmés. Attention, c'est super esthétique, très bien maîtrisé, mais un peu de couleur pour les magnifiques paysages, j'aurai beaucoup apprécié.
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Non, non, non. Pas que je préfère pas sa route des vins en couleur, je radote mais, encore une fois, totalement dans le ton du film, l'un renforçant l'autre.
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Une histoire banale
Une histoire de viol, sujet grave, ou plutôt de l'après viol, le vivre avec, ressentie par sa victime.
Réalisé sans aides pour 8000 € seulement, le film est un petit miracle d'économie. Dans sa réalisation comme dans son écriture. Une photographie étonnamment très propre qui, comme tout le film, ne donne pas dans un misérabiliste de production fauchée et un cadre visuel qui se tient à son personnage principal quasi de tout les plans.
Sujet douloureux jusqu'à dans sa présentation par la réalisatrice qui a refusé toutes concessions (plan hard à la von Trier suggéré par un producteur qui n'a rien compris au sujet...) et visiblement énervé que la société rende ces histoires trop banales.
Sans jamais tomber dans des travers démonstratifs ou militants elle montre une femme qui soudainement est en perte d'elle même et de la société. C'est d'autant plus fort que les premiers scènes nous la montrait, rapidement, forte, sans ambiguïté, pleine de vie et de projets. L'économie est là aussi, aller dans le vif du sujet sans artifices inutiles.
C'en est un peu la limite qui n'offre pas bcp au spectateur de quoi se raccrocher. En même temps ce n'est pas le but.
Pour se donner une idée:
http://www.bfmtv.com/video/bfmtv/cultur … 04-190131/
Pour les plus curieux, près de chez qui le film passerait, parce que l'édition BD c'est pas sûr.
Dernière modification par kub57 (12-04-2014 15:30)
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Noé (au ciné Grand Rex en VF)
Je m'étais préparé à ne pas voir un film à grand spectacle au vu des critiques lues ici et ailleurs, donc je ne serais pas très critique au manque de "Spectacle".
Le rythme du film est lent, je m'y attendrais, mais pas à ce que ça soit le cas tout le long du film jusqu'au déluge. La façon dont on nous narre cette histoire est ennuyeuse, pourtant il y a matière à rendre le tout passionnant.
Le visuel du film ne m'a pas du tout convaincu, les gardiens (je ne sais plus exactement leur nom) sont mal incrustés à mon goût, ça m'a sauté aux yeux. Même chose pour les animaux de l'arche, sur trop de plans, on sent tout de suite les fonds vert ...
Je n'ai pas trouvé la performance de Russel Crowe exceptionnelle, il fait le job, sa performance ne sauve pas le film. Le casting m'a pas convaincu, à une ou deux exceptions.
Ce n'est pas assez épique, et je n'ai pas été touché émotionnellement par les scènes qui cherchent à nous émouvoir.
Même la petite partie "grand spectacle" m'a déçue, je n'ai pas pris de plaisir visuel, on sent que le réalisateur n'est pas dans son élément de prédilection .
C'est loin d'être un navet bien sûr, ça se laisse relativement regarder (je déconseille de le voir assez tard en soirée par contre), mais passer la curiosité de la découverte, je ne guère envie de le revoir.
5/10
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Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?
Cela ne casse pas trois pattes à un canard, agréable, sans plus. C'est quand la comédie devient noire (l'arrivée d'un 4e gendre et sa famille) que le film trouve son petit tempo. La confrontation entre la famille Verneuil et son alter-ego sombre est le plus réussi. Avec les vannes jouant sur les clichés et présupposés entre communautés. Voulant tout concilier et rapprocher, la prod en fait autant avec son casting qui réuni plusieurs "écoles" du rire en un formatage intergénérationnel. Formatage du ciné fr qui nous sort sa comédie de la semaine.
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Je ne trouve pas que cette comédie soit du formatage. Sur la forme et la structure, oui. Mais sur le fond et les dialogues ont a quand même quelque chose de très rafraîchissant. Une sorte de théâtre filmé (mal filmé) qui accentue volontairement les traits pour mieux les dénoncer et les mettre à terre.
Maintenant sur le site ou je bosse, à la lecture de ma critique un gars m'a taxé de réactionnaire politique, révolutionnaire prépubert, de raciste dans un certain contexte, mais le mot reste dur.
Moi je dis juste que c'est une belle comédie sur la tolérance qui fait contre poids des médias assez lourd par certains aspects. Ça fait du bien, un bon moment à passer en famille. A voir, même si c'est la plastique n'est pas très glamour.
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Formatage parce ce que le cine fr c'est une comédie par semaine (2 celle-ci), formatage a racoler à tout va (ici le public retro-nostalgique du Splendid et des Nuls + un peu du format stand-up/tv actuel). Formatage sur le fond par un humour vieille France ronchonne mais pas mauvaise(et de Funès avait un autre abatage). Rien contre les gros cons. Rien de neuf. Mou,consensuel, très case 20h30 de TF1. Mais regardable. Une fois.
GREED is EVIL + AvoId
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Sympatoche tous ces retours en tout cas. J'aimerais bien aller au Ciné dans les jours qui arrivent histoire de rattraper certains retards
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
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Need for speed
Se regarde avec un certain plaisir fortement gâché par par des absurdités spatio-temporelles indignes entre le 4/4 (et d'autres) et la voiture dont on nous bassine avec la puissance de son moteur hyper gonflée.
Reste de l'action assez bien filmé, raisonnable, cela repose agréablement d'un spectaculaire WTF consternant tjs dans la surenchère. Quoique l'ancien cascadeur aurait pu faire beaucoup mieux et éviter de pomper la scène "girly" à Tarantino. Le sentiment de vitesse vient surtout de quelques brefs plans "décentrés" et de la bande son.
Pour ma part, j'ai pris plus de plaisir à contempler Imogen Poots que les autres châssis.
GREED is EVIL + AvoId
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