Vous n'êtes pas identifié(e).
C'est vrai que Her peut être difficilement accrocheur par son côté lent, mais transcendance l'est encore moins par ses aberrations et la platitude de son propos.
On verra ton retour. ^^
Punaise Diez, je devais le voir demain ou mardi et tu me plombe la
Mais je me souviens avoir tiqué en voyant la BA et m'etre marré nerveusement donc c'est peut etre un mal pour un bien le fait que tu m'en dégoute ]:D
Pour ce qui concerne Her, je me souvient avoir été en désacord avec ta critique et celle de Kub sur un point non negligeable : Le premier propos du film n'est pas l'intelligence artificielle ou les dérives technologiques qui distandent le lien social. A mon sens c'est un film qui traite de l'amour et de la solitude qui sont d'ailleurs deux sentiments étroitement liés.
Schopenhauer disait que L'Amour est une ruse de la nature pour assurer la reproduction de l’espèce. Her c'est un peu la mise a nu de ce concept qui rend la supercherie visible au plus grand nombre. Le progrès technologique (qui tend systématiquement vers l'objectif de perfection ) ne fait que permettre a l'humain de se défaire de ses obligations sociales, sentimentales et de courir donc vers sa propre extinction.
Membre du C.A.S (Comité Anti-Steelbook) "I wanted to rub the human face in its own vomit and force it to look in the mirror"
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Je suis d'accord que Her c'est un film sur la solitude avant tout, mais en découle ce récit d'anticipation sur les nouveaux moyens de combler le vide, de se voiler la face avec les réseaux sociaux et le tout connecté. Je ne sais plus trop ce que je disai dans mon avis, mais aujourd'hui c'est ce qui en ressort.
En effet ça peut être une bonne chose que je t'en dégoûte, cela te permettra peut être d'appréhender le film d'une autre manière et ainsi pourquoi pas d'aimer.
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Je suis d'accord que Her c'est un film sur la solitude avant tout, mais en découle ce récit d'anticipation sur les nouveaux moyens de combler le vide, de se voiler la face avec les réseaux sociaux et le tout connecté. Je ne sais plus trop ce que je disai dans mon avis, mais aujourd'hui c'est ce qui en ressort.
En effet ça peut être une bonne chose que je t'en dégoûte, cela te permettra peut être d'appréhender le film d'une autre manière et ainsi pourquoi pas d'aimer.
Je me demande si actuellement on peut encore aimer un film avec Johnny Deep car qu'est ce qu'il peut enchainer comme daubes ces dernières années !! Hallucinant...
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J'ai aimé Dark Shadows, mais depuis 2007 j'ai pas trop aimé l'un de ces films. Et encore Même Pirates 3 qui reste un bon divertissement a de grosses lacunes.
Clair qu'il a enchaîne les ratages...
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Premier film de la Fête du Cinéma...
Mou par moments, mais très bonne mise en scène, très bon jeu d'acteurs et bon scénario !
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et donc de maniere concise/résumée, tu as aimé c'est bien ça ?:)
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Divergente
Univers moins kitsch que celui de Hunger games, malgré un postulat de clans un peu simplet, l'intérêt relatif reste dans son jeu politique et de prise de pouvoir. Techniquement efficace, la violence graphique trop facilement évacué pour ne pas heurté le public cible n'est pas assez compensé sur le plan émotionnel pour que la dramaturgie soit satisfaisante. Au final, pas bien emballant.
Transcendance
Le sujet aurait pu être intéressant entre les promesses, dérives, et dangers de la technomogie. Pour le contrôle via "internet", on connait, on y est. Pour les nanotechnologie, il aurait valu autre chose qu'un des nano script reprenant à l'infinie les mêmes nanos idées comme son champ de panneaux solaires et ses fx simplets vus et revus jusqu'à l'écœurement dans une tentative de rendre spectaculaire une action mollassonne indigne. Le scénario n'est pas le seul à subir d'un énorme gâchis, les acteurs en font également les frais de cette pauvre réalisation.
Triple alliance
Double alliance aurait suffit tant la troisième n'est utilisé que comme potiche bien agréable à regarder (le titre us est plus juste) un peu cabot mais vachement drôle c'est 1h49 de comédie bien ficelée. Acteurs, surtout actrices, au top.
Albert à l'ouest
Quelques baisse de rytme n'entache pas vraiment cette comédie d'être efficace. Dans ces meilleurs moments c'est du haut vol dans son fonctionnement, même si les blagues voles bas en plein délire coupable assumé. S'ajoute un respect du western avec quelques paysages splendides et des clins d'œil à des films qui se passent dans ce cadre (pour une double dose de D..., rester jusqu'à la fin du générique. Chaudement recommandé.
L'ex de ma vie
Les comédiens se donnent bien du mal pour donner du rythme a cette comédie très fade qui ne prend jamais. Pire, il ne se rattrape même pas sur la romance ou les sentiments qui subit les ravages d'un script bien fade. A ne surtout pas voir derrière les 2 grosses déconnades plus haut, où entre deux blagues scato l'émotion effleure de manière réelle.
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...Pour ce qui concerne Her, je me souvient avoir été en désacord avec ta critique et celle de Kub sur un point non negligeable : Le premier propos du film n'est pas l'intelligence artificielle ou les dérives technologiques qui distandent le lien social. A mon sens c'est un film qui traite de l'amour et de la solitude qui sont d'ailleurs deux sentiments étroitement liés.
Schopenhauer disait que L'Amour est une ruse de la nature pour assurer la reproduction de l’espèce. Her c'est un peu la mise a nu de ce concept qui rend la supercherie visible au plus grand nombre. Le progrès technologique (qui tend systématiquement vers l'objectif de perfection ) ne fait que permettre a l'humain de se défaire de ses obligations sociales, sentimentales et de courir donc vers sa propre extinction.
diez a écrit :Je suis d'accord que Her c'est un film sur la solitude avant tout, mais en découle ce récit d'anticipation sur les nouveaux moyens de combler le vide, de se voiler la face avec les réseaux sociaux et le tout connecté...
L'un n'empêche pas l'autre, la technologie n'est que le cadre renforcé et bien pertinent du sujet de l'amour et de la solitude.
Le progrès techno ne tend que vers une perfection de manière très relative, soumise à des intérêts bien moins raisonnables que le juste bienfait à l'humanité, et ta dernière phrase, langeikki, est malheureusement ce qui semble advenir. Je n'ai jamais pensé que l'on vivait dans une société de communication (rapports de + en + pourris) que dans une société de télécommunication, riche (en pognon) mais simplette en sentiments réels.
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Le procès de viviane Amsalem
En gros 2h dans une triste salle mal aérée des étapes d'un long jugement pour divorce demandé par une femme par un tribunal rabbinique et accordé uniquement par le consentement du mari. Si cela reste intéressant par la voie de l'absurdité d'un système rétrograde, c'est quand même bien long, d'autant que certains ressorts dramatiques paraissent plaqués de manière pas forcement délicate. En tout cas assurément répétitif. On peut préférer un style plus à charge qu'une finesse relative et lassante. Les acteurs a minima, a l'unisson, font un job plus que correcte.
Jersey boys
Dés les premières images, un personnage qui s'adresse au spectateur et la photographie (une fois de plus splendide de son DP) aux tons "passéistes" une sensation d'artifice se met en place et qui resteras longtemps empêchant une adhésion à l'environnement plus quotidien du destin à son (ses) protagoniste(s).
Puis le scénario aggrave son cas par une absence de réelle tension dramatique. S'ajoute un manque cruel de charisme des 2 acteurs principaux.
Cette histoire d'un groupe pas révolutionnaire ni particulièrement emballant semble réalisé un peu à l'économie au point de voir dans de nombreuses scénes la rapidité légendaire d'Eastwood de plier ses réalisations, même si celle ci reste plutôt élégante. Bref, un très petit Eastwood.
Under the skin
Je partage partiellement l'avis de langeikki sur le film. Trop coquetterie arty un peu vaine et ennuyeuse pour en faire un véritable bon film, celui recèle en lui quelques qualités intéressantes notamment plastiques que ce soit dans sa mise en image des scènes fantastiques, des traversées à moto, des rudes paysages écossais ou de celle qui est la raison première de l'acte d'achat du billet.
Le plan sonore peut autant ajouter au meilleur de la séduction du film (d'autant que cela me rappelle la musique du trailer "elevator" de Shining), autant qu'il puisse aussi bien agacer que le côté contemplatif creux monotone.
Bien que dans ses moments d'errances qui donnent à voir un monde de solitude plus ou moins consciente (parties tournées -soi-disant- en plan caché en go-pro) et l'ignorance d'une terre au prise à un danger probable (que le film ne cherche pas à décrire comme dans le livre) et qui semble tenir de la série B bien kitch déjà vu ailleurs par les amateurs de sf donne une résonance un peu plus profonde mais pas exploité. Le film tient à la fois de 2001, THX 1138, L'homme qui venait d'ailleurs, Mortelle randonnée et Ne jouez pas avec les Martiens...!!
A l'inverse de Her, ici Scarlet "vous m'en mettrez pour un 1 $" nous donne plus à voir qu'a entendre en se mettant à nue de bien des façons.
Objet assez curieux pour vous souhaitez de vous faire votre propre avis.
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diez a écrit :Je suis d'accord que Her c'est un film sur la solitude avant tout, mais en découle ce récit d'anticipation sur les nouveaux moyens de combler le vide, de se voiler la face avec les réseaux sociaux et le tout connecté. Je ne sais plus trop ce que je disai dans mon avis, mais aujourd'hui c'est ce qui en ressort.
En effet ça peut être une bonne chose que je t'en dégoûte, cela te permettra peut être d'appréhender le film d'une autre manière et ainsi pourquoi pas d'aimer.
Je me demande si actuellement on peut encore aimer un film avec Johnny Deep car qu'est ce qu'il peut enchainer comme daubes ces dernières années !! Hallucinant...
Completement d'accord, cet acteur est devenu insupportable et parfois mauvais
*LCD Samsung 46LE676* / *Lecteur Blu-ray BD-P 1500* / *Ampli Denon AVR 1910* / *Pack 5.0 Davis Acoustics Matisse*
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Jersey boys
Malgré toute la passion que je porte à Clint Eastwood, il faut avouer que son nouveau sujet n'est pas particulièrement emballant. D'autant que depuis quelques réalisation Eastwood a perdu de sa superbe.
Mais voilà, la legerté du film fait que cette histoire vraie est très agréable à suivre. Ça part pourtant assez mal avec ce narrateur qui s'adresse directement à la caméra. Plus que déroutant cela est énervant. Cependant, quand on a saisit le ton souhaité par le réalisateur, cette narration particulière s’avère plutôt nécessaire et amusante. C'est d'ailleurs l'une des plus grande qualité du film, son humour bien placé et inattendu.
Bien évidemment, la bande originale est fantastique, les acteurs/performeurs sont géniaux et attachants. Petit coup de coeur à l'acteur incarnant Joe Pesci jeune. Que l'on connaisse ou pas Four seasons, le divertissement proposé est entraînant. Le générique de fin diffuse beaucoup de bonne humeur.
Maintenant, ce film regorge de tous les défauts des derniers films du réalisateur. En plus de s'étaler inutilement en longueur, Eastwood n'arrive plus à développer les émotions. On se retrouve face à un biopic bien branlé, mais sans vraie consistance. On a du mal à retrouver la patte Eastwood. Il fait ici du cinéma classique et parfois calibré.
Mais quand le film est terminé, on en ressort tout de même avec le sourire et une envie certaine de réécouter les chansons. Clint Eastwood propose une fois de plus un film très loin d'être abouti, mais avec de très belles qualités.
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Black coal
Black coal ça raconte quoi ? Ce que le cinéma policier asiatique raconte depuis de très nombreuses années, mais en moins bien. Pire, c'est autant dans l'histoire est dans le caractère des personnages très banal. Étonnant de voir un film ayant reçu L'ours d'or n’être qu'un énième film policier adoptant un rythme lent et un ton froid.
A noter un très bon casting et une réalisation soignée, mais on est tellement loin des meilleurs films du genre qu'il parait vraiment insignifiant. Il n'apporte rien de plus, n'offre pas d'originalité, ... A côté alors qu'on a un Memories of murder, qui à mon avis est la grosse référence du film policier asiatique, Yi'nan Diao débarque avec une copie en moins bien.
On attend qu'il se passe des choses, au final on s'ennui tant il est facile de deviner les éléments de résolutions finaux. La déception est à la hauteur de l'attente. A noter au crédit du film une dénonciation des dérives de la société chinois d'aujourd'hui avec la corruption, le viol, ...
Dernière modification par diez (01-07-2014 20:24)
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Zero theorem
Contrairement à ce que j'ai pu lire, on sent que c'est Gilliam qui réalise. De nombreuses obsessions du réalisateurs se retrouvent à l'écran dans le fond, mais aussi dans la forme. Sa manière de dénoncer les dérives technologiques et leurs danger pour l'avenir le tout de manière extrême et parodique, font de son univers la réussite principale de son nouveau film d'anticipation.
Ce monde en permanence connecté et surveillé offre soit subtilement soit très clairement de nombreuses clés pour comprendre où veut en venir Gilliam. L'être humain/consommateur qui est représenté très clairement comme une machine à fric qui s'est soumis presque volontairement aux dictas des puissants. Cette lobotomie passent par un monde ou le moindre élément est une opportunité pour d'un part vendre et d'une autre part se saisir de la vie privée des gens. La solitude et l’asociabilité sont les deux grands piliers de ce récit.
Malgrès tout cela, son manque de développement et de force pénalisent lourdement ses nombreuses et belles idées. C'est tantôt lent tantôt lourd. Le tri n'est pas fait et le juste milieu rarement trouvé. C'est maintenant qu'il faut saluer deux très belles performances, celles qui permettent au film de renouveler un intérêt qui à du mal à se trouver. Il y a l'excellent Christopher Waltz secondée de l’impeccable et charmante Mélanie Thrierry.
Comme pour Brazil, ce film pourrait bien être plus apprécié une fois les éléments incompréhensibles de la narration révélés plus clairement. On comprend dans les grandes lignes les idées, que l'on retrouvent de plus en plus dans ce genre de films, mais certaines scènes clés restent assez vagues. Je le reverrais un jour à petit prix histoire de pouvoir formuler un avis plus précis.
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On a failli être amies
Bonne comédie douce amère grâce aux interprètes et a des personnages et des situations plutôt justes.
Bird people
Étonnamment, le film pourrait rejoindre la critique de Under de skin, mêmes qualités graphiques, le traitement de la solitude, même problème intello à faire tirer certaines scènes et à s'auto-suffire. La différence, le traitement fantastique plus culotté ou casse gueule ou stupide et le regard plus humaniste à regarder des petits bouts de vies et la marche, parfois caché, déguisé, de la société. De bonnes idées dont le procédé laisse sur la faim.
Le conte de la princesse Kaguya
La simplicité du trait est une merveille de tous les instant. Pas de prouesse si ce n'est celle de la poésie pure. Extrêmement vivant même lorsque l'épure omet certains détails. Étonnant. Le scénario, aussi doux que le dessin, reste longtemps merveilleux et plein d'humour, avec un final un peu too much pour moi. A voir absolument.
The two faces of january
Ambiance plus parano sans folie que suspense (juste apporté par la musique) véritable, on n'y croit pas et on s'en fout. Le film tient surtout sur ces costumes ! Un beau loupé.
Dernière modification par kub57 (02-07-2014 09:29)
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Big bad wolves
Sujet noir hyper sérieux, traité en mode trop ludique pour être véritablement accrocheur. On voit bien ce que peut y trouver QT tant le film regorge de ses manières ou obsessions (il y a même un cow-boy !). L'originalité vient de la nationalité israélienne du film qui donne à voir un "policier" sans préoccupation de terrorisme (désamorcé par le gag du "cow-boy" palestinien) ou d'usurpation de territoire pour changer qui offre un décalage par rapport aux copies tarantiniennes us ou uk. L'horreur que l'on s'attend à voir, via la pub sur la torture ou la sadisme supposé du film est malheureusement trop souvent évacué par une sonnerie (et il y en as) ou une autre diversion. Le plus terrible étant le plan final qui remet, trop tard, le film dans des rails auquel il aurait du se tenir. Très loin d'être "le meilleur film de l'année".
Dragons 2
Si vous avez craqué pour le 1, cette suite ne devrait pas vous décevoir tant elle garde les mêmes qualités que l'original: belle histoire émouvante et graphisme au top du top. Des personnages traités comme ceux de films live jusque dans la gestuelle pour donne une sensation de réalité comme peu souvent le DA nous l'offre. Un script qui assure sans digressions inutiles. Une prod qui prend sérieusement sa franchise. Quel régal. Pixar prend garde, le petit copieur Dreamworks, a, dans ses rangs, LE talent que tu as bien du mal à (re)trouver.
Jimmy's hall
Malgré ce beau rappel qu'il y a toujours, de tout temps, de toute confession, des gens pour empêcher les plus humbles à vouloir sortir d'une misère entretenue, même le temps d'un bal, pour assouvir leur pauvre soif de pouvoir, le dernier Loach semble bien anecdotique.
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Une seule séance en VO chez moi... et à 22h15...
Ça risque d'être en BD dans une offre malheureusement.
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Dragons 2 :
Doucement, mais surement l'animation grand public supplante les blockbuster live qui comblent leur manque d'idées par de trop de bourrinage, de potiches et feux d'artifices pyrotechniques de plus en plus navrants et fatigants. Dragons 2 est a ce titre pour moi une vraie révélation et j'espère que d'autres studios que Dreamworks sauront creuser un sillon qui m'apparait de plus en plus comme une évidence dans l'optique de redonner du corps a un cinéma pop corn en berne depuis bien trop longtemps.
5 ans se sont écoulés, Harold et ses amis ont grandit (pour certains ils ont muri) et le cinéma que nous propose Dean Deblois suit le même chemin que ses héros. Dragons 2 c'est la post adolescence du cinéma d'animation. Moins de rires, moins de morales cousues de fil blanc, plus de blessures et de chair meurtrie et puis surtout un souffle épique inimaginable qui rend la perspective des richesses de cet univers presque infini. Combien de suites ne sont la que pour sucer les os d'une franchise a succès ? Celle ci n'est pas du même tonneau et le travail qu'il soit scénaristique ou technique est tout a fait monstrueux. Mieux qu'une variante pokemon ou on se serait contentés de découvrir de nouveaux Dragons , ce second film donne la part belle a l'humain (chez les Vikings ou chez les Dragons) et le voyage devient finalement le plus merveilleux des grand 8 qui nous offre le long du trajet autant d'aventures que d'éclats de rire, d’émotions ou de drames.
Si vous souhaitez aller au spectacle, voir celui ci ne pourra vraisemblablement pas vous décevoir.
Dragons 2 est coincé dans mon top ciné 2014 entre Her, State of grace et Le Promeneur d'Oiseaux. Drôle de grand écart mais pour chacun d'entre eux on ressort de la séance en sachant pourquoi c'est si bon d'aller au cinéma.
Allez, on retrouve Harold et sa bande quand ils auront 25 ans pour un film encore plus mature ? Chiche ! Et pour conclure, juste un seul mot : BRAVO !
PS : 100 % d'accord avec ta critique Kub, j'ai ressenti la même chose
Dernière modification par langeikki (03-07-2014 21:38)
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Sympa langeikki. En te lisant j'ai senti que tu avais eu les même genre d'émotion que j'ai pu ressentir. Pareil face aux gros films live, Dragons 2 fait simplement et avec intelligence ce que l'ont espère naïvement de ceux là.
J'ai vu sur Allociné que le trois est prévu pour 2015. Je préfèrerais attendre et avoir un scénario et une technique irréprochable comme ici, je croise les doigts.
Seul regret de Dragons 2 c'est la 3D que j'espérais bien meilleure. Mais bon, cette 3D ciné, ce n'est pas pour mes yeux.
En parlant de grand écart j'ai été autant sidéré par la perfection technique de Dragons 2 que par celle, à des années lumières, de Le conte de la princesse Kaguya. Soit les 2 DA comme les 2 plus beaux films de cette fête du cinéma, les plus émerveillant.
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