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avragorn a écrit :La sensibilité n'est pas une question d'âge.
Je pense que l'âge joue néanmoins beaucoup là-dedans. Je ne connais personne au-dessus de mon âge à qui cela arrive, ou alors ils le cachent.
T'es fou ! Tout le monde pleure au ciné, et ceux qui disent le contraire mentent aussi bien que Copé ! Et quel que soit l'âge, ça n'a rien à voir là-dedans.
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La dune
Difficile de parler du film sans spoiler. L'intrigue très tenu ne semble pas nous amener bien loin et les enjeux sont d'ordres personnels. Tout est dans l'ambiance, le ton, le jeu des acteurs aussi léger que ce qui nous est montré mais assez remarquables. Quelques effets dans la photographie tout aussi discrets participent à l'unité de l'œuvre. Ceux qui ne sauront pas êtres tirés par ces qualités et curieux de comprendre le comment du pourquoi pourront être gagnés par l'ennui.
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Celldweller55 a écrit :avragorn a écrit :La sensibilité n'est pas une question d'âge.
Je pense que l'âge joue néanmoins beaucoup là-dedans. Je ne connais personne au-dessus de mon âge à qui cela arrive, ou alors ils le cachent.
T'es fou ! Tout le monde pleure au ciné, et ceux qui disent le contraire mentent aussi bien que Copé ! Et quel que soit l'âge, ça n'a rien à voir là-dedans.
C'est sur, y a des films qui me font et ferront toujours pleurer.
Tout ce que l'on souhaite c'est de pouvoir partager en paix
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je trouverai étonnant quelqu'un qui dit ne jamais avoir pleuré devant un film... (ou alors il n'en a pas vu beaucoup)
Quand j'étais jeune, le film ou j'ai le plus pleuré a été l'incompris... Plus mélo, tu meurs...
http://www.allocine.fr/film/fichefilm_g … =3447.html
Pas revu récemment, je sais pas si il a bien vieilli ou pas...
Sinon on peut aussi pleurer de joie... Pour en citer un très connu, la première fois que j'ai vu Amélie Poulain, j'en menais pas large à la fin du film (la musique joue bcp sur le émotions)...
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Je ne sais pas trop comment vous définissez pleurer, mais j'ai déjà versé une petite larme sur deux films. J'assume pleinement. Et en effet, la musique est l'un des moteurs essentiel à l’amplification des émotions. Larmes, frissons, angoisses, ... voilà pourquoi il est important d'en faire un élément de production essentiel de production.
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Des frissons, sur un film que j'aime c'est tres tres souvent. Verser une larme je dois avouer que je me rappelle pas la derniere fois. C'est ultra rare.
Celui le plus apte à le faire c'est surement Forrest Gump.
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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Le dernier film en date qui m'a fait verser une larme : Le Chasseur (avec Willem Dafoe)
Carrément pleurer : Toy Story 3
C'est dingue comment ont peut avoir de l'affection pour un jouer qui parle. C'est superbement réalisé et ça marche.
Blancanieve m'a fait pleuré, ça doit être la dernière sortie qui l'a fait, mais y a des films qui y arrivent à chaque fois, comme la couleur pourpre, un monde parfait, Philadelphia.
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Pour ma part j'ai pas mal pleuré sur Toy Story 3 aussi, comme sur Là-haut, Big Fish, Mysterious skin, L'échange, AI, Wall-E, Extrêmement fort et incroyablement près, Le retour du roi (bah oui ), Le tombeau des lucioles...
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C'est compréhensible.
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J'ai vu Sex Tape hier soir au ciné, une comédie sympa, pour ceux qui aime le "sex" (tout le monde) mais qui sent les déjà vu ! Juste sympa pour voir le ptit cul de la Cameron Diaz. Perso je n'aurais pas mis 9€ pour une place (Merci les contremarques a 3.50€ BNP)
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le dernier film en date m'ayant le plus touché c'etait benjamin button
[spoiler]lorsque" l'heroine" tiens dans ses bras le personnage principal ,redevenu bébé et ayant un eclair de lucidité, se rendant compte de la situation, j'ai trouvé ça beau , fort et triste à la fois ..[/spoiler]
Dernière modification par gaeljet (13-09-2014 13:27)
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Celldweller55 a écrit :avragorn a écrit :La sensibilité n'est pas une question d'âge.
Je pense que l'âge joue néanmoins beaucoup là-dedans. Je ne connais personne au-dessus de mon âge à qui cela arrive, ou alors ils le cachent.
T'es fou ! Tout le monde pleure au ciné, et ceux qui disent le contraire mentent aussi bien que Copé ! Et quel que soit l'âge, ça n'a rien à voir là-dedans.
Je n'ai jamais pleuré devant un film ou alors je m'en souviens pas. Mon inconscient (ou conscient?) fait toujours la part des choses entre une fiction et un fait réel
*LCD Samsung 46LE676* / *Lecteur Blu-ray BD-P 1500* / *Ampli Denon AVR 1910* / *Pack 5.0 Davis Acoustics Matisse*
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La suspension consentie de l'incrédulité : faut accepter de s'abandonner le temps d'un film, et donc pleurer le cas échéant...
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
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Gemma Bovery
4 raisons de voir le film. Le dépaysement, la richesse du récit, Gemma Arterton et Fabrice Luchini. Moments de comédie et d'émotion dramatique se côtoient pour former un moment de cinéma où, malgré certains événements, on se sent bien.
Le plus intéressant reste l'opposition d'une femme voluptueuse et sensuelle face à un homme simple redecouvrant certaines sensations disparut. Les situations s'en retrouvent tantôt amusantes, tantôt touchantes et attendrissantes. Gemma Arterton en plus du charme fou qu'elle dégage compose une nouvelle et belle partition d'un répertoire déjà très riche en pépites. Fabrice Luchini touche par sa douce naïveté et ce naturel à balancer la phrase qui tue.
Je trouve assez frustrant cette fin très vite expédiée, l'émotion n'arrive pas à s'exprimer pleinement dans un moment pourtant particulièrement important. Autre chose, beaucoup de hasards viennent faciliter l'avancé du récit. Le hasard à sa place dans une histoire, mais autant, ça fait légèrement sortir du film.
Qu'à cela ne tienne, le film d'Anne Fontaine et un agréable bol d'air frais drôle et émouvant. Et assez impressionné par le français de Gemma Arterton et Jason Flemyng. En général les acteurs parlent phonétiquement sans arriver à mettre les bonnes intonations, ce qui sonne souvent faux. Là pas du tout, c'est tout naturel, et ça fait du bien aux oreilles !
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Tout à fait d'accord.
Dans le haut du panier pour ma part, un vrai coup de coeur !
Dernière modification par Guigoune (13-09-2014 21:41)
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
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Gemma Bovery
Le film offre une distrayante sortie ciné, surtout grâce au charme de Gemma Arterton souvent en français svp et même en short dans un plan trop court, à l'instar de celui sur la table du salon, dans un cadre et un personnage presque similaire à celui de Tamara Drewe, autre rôle titre, tiré d'un roman graphique du même auteur. Les seconds rôles y apportent également un petit plus, ici de fraicheur et de respiration.
Anne Fontaine n'a pas la même acidité que Frears, loin s'en faut, et son propos n'est peut-être pas le même. Tout au plus celui de s'amuser avec un autre roman célèbre, base du titre, sans avoir à se frotter à une énième adaptation et des comparaisons.
Bonne manière d'approcher un Luchini dans un registre (trop) connu avec ses hauts et ses bas. Son personnage est surtout bien vue lorsque ses pauvres espoirs sont tournés en dérision. J'aurais aimé qu'une des phrases qu'il prononce, de mémoire: "fini la tranquillité sexuelle" (pas de détails sur comment je l'ai compris ) soit plus marqué que résumé à un désir plutôt platonique.
Il y a 2 fins, une vraie et une fausse. La seconde qui montre bien que cet intellectuel déçu ne vie qu'au travers de la littérature et s'amourache d'une héroïne fantasmé, plutôt que d'un être de chair et de sang.
La première, "dans un moment particulièrement important " un peu expédié, rejoint enfin Frears en nous montrant 3 pauvres hommes, [spoiler]chacun s'accusant soi même de la perte de l'être aimé.[/spoiler] Comme quoi la vie n'imite pas forcement l'art.
Distraction moyenne donc en n'offrant pas une réelle réflexion.
GREED is EVIL + AvoId
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Maintenant ou jamais
Sur un pitch tiré par les cheveux, certains dialogues trop écrits, le film se présente de manière assez tranquille, sa force, et rejoint une qualité perdue d'un certain cinéma fr d'y il a quelques années (hier un peu trop usité, ici comme une force légère), tiré par les acteurs, souvent filmés en gros plans sans que cela soit étouffant. S'y ajoute une belle photographie dans les tons sombres. Belle prestation de L. Bekhti dans un personnage à la limite de se perdre totalement qui offre sobrement de belles nuances.
Sex tape
Sans être révolutionnaire, le film parle assez franchement de sexe pour un film us avec une actrice bancable qui semble donné bcp d'elle, idem son partenaire. Cela part très fort jusqu'à la chasse à la fameuse vidéo ou le film perd en vivacité (avec quelques pics) et une résolution tiédasse chez un Uporn bisounours. Dans la ligné d'autres comédies énormes, celle-ci ne démérite pas sans en être un des sommets.
GREED is EVIL + AvoId
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