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Un homme très recherché
Légèrement plus de péripéties que dans l'Américain, précédant film de Corbjin, vous êtes prévenus, avec un même souci de qualité dans l'image et la composition bien que différente en passant de l'Italie ensoleillé vers une l'Allemagne plus froide. L'intrigue sur ces espions basé sur un roman de J. Le Carré (bien servis mais il y a eu mieux) n'incite bien sûr pas à de l'action mouvementé mais reste passionnante avec de belles subtilités ou rien n'est véritablement ce qu'il apparaît être. Un film d'"atmosphère" au casting costaud.
Dernière modification par kub57 (23-09-2014 18:40)
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Sin city 2
Une belle suite qui arrive à garder une belle cohérence avec le premier film. Visuellement ça va un peu plus loin avec de nouvelles idées superbement exploitées. Côté histoire c'est légèrement moins captivant avec parfois quelques longueurs gênantes. Certains personnages sortent du lot comme Ava interprété par Eva Green, Le sénateur Roark campé par Powers Boothe ou encore Jamie Chung dans le rôle de Miho. Je pense que beaucoup, comme moi, regretteront que certains aspects soient traités avec beaucoup moins de soin que d'autre. Dans la lignée du premier, un bon complément.
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Bon rétablissement!
Jean Becker réalise une comédie que Gerard Lanvin porte avec brio. Le débit nonchalant de ses dialogues font souvent mouche. Quelques maladresses dans l'écriture des personnages, mais c'est 80 minutes de divertissement réussit qui se permet de communiquer quelques messages sociétaux. Une bonne et drôle comédie française.
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Elle l'adore
Aucun doute là dessus, Sandrine Kiberlain tient avec ce rôle une nouvelle nomination au prochains César. Elle brille par son naturel et sa fausse naïveté. Elle sait jouer avec le spectateur en le surprenant à chaque nouvelles réplique. Il faut dire que certains de ses dialogues sont de petits bijoux d'écriture. La séquence au poste de police est un grand moment de cinéma.
Maintenant, le film va soit surprendre, soit complètement frustrer. Oui, c'est normal, mais c'est surtout la manière dont est vendu le film qui va provoquer des réaction. Son titre, son affiche et même son genre sont croire à une comédie, la bande annonce à la limite fait penser à une comédie noir. Mais en fait c'est un peu de tout, de la comédie, du thriller, du policier.
Malheureusement la maîtrise des genres laisse perplexe tant le film peut autant être brillant un moment donné et hors sujet celui d'après. La sous exploitation du personnage de Kiberlain dans la première partie du film pénalise lourdement le métrage. Les sous-intrigues n'apportent rien, au contraires elle rallongent la durée. On perd beaucoup en rythme.
Il aurait, à mes yeux, été plus intéressant de concentrer l'intrigue sur les deux personnages principaux, éviter d'être trop démonstratif, trop explicatif et enfin balayer les sous-intrigues (même si Demolon est une fois de plus génial) pour faire un bloc plus solide et entraînant de 90 minutes.
Avouons le, pour un premier film la toute jeune réalisatrice Jeanne Herry ne manque ni d'audace ni de qualité. Beaucoup de ses plans sont travaillés, la musique arrive parfois à réveiller les émotions et sa direction d'acteur est excellente. Si je ne conseil pas particulièrement le film aux membres de ce forum, la prestation de Sandrine Kiberlain vaut réellement le détoure et encourager ce premier film ne ferait pas de mal aux détenteurs d'une carte illimitée.
Dernière modification par diez (22-09-2014 23:14)
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Délivre-nous du mal
Seven meet l'exorcisme en plus producteur, en trop niveau collage des idées. La partie policière reste intéressante et le scénario aurait du en resté là pour donner un bon petit film de série avec qqs victimes craspecs. Pour le reste c'est archi-vu et ne fait même pas peur. Les acteurs semblent y croire, c'est bien les seuls. Sinon la photographie est pas mal.
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Brèves de comptoir
J-M Ribes et F. Morel
On évite curieusement la sensation de théâtre filmé par un montage assez vif, surtout qu'il n'y a pas de scénario mais que des bonnes phrases qui s'enchaînent. Certaines font mouche, d'autres se noient dans la masse. Une très légère pique aux assurances pour faire passer le M***f all cast. Les acteurs sont plus (Pinon et Gadebois en tête) ou moins inspirés. Sauf qu'une ambiance mortifère viens plombé l'ensemble.
Dernière modification par kub57 (25-09-2014 09:06)
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Saint Laurent
D'un classicisme arty pachydermique, enfilade de clichés idoines pompeux et grotesques, Meta, stasé par une morgue auto suffisante et ceci pendant près de 2h30.
Citations de l'art partout (ses longs plans répétitifs sur des statuts - avec raccords horribles parce qu'un fx ou un simple soin dans les plans entre époques, c'est pas le genre de la maison - , j'imagine le brainstorming dans la salle de montage quant au choix de la grosseur des bordures de l'effet Mondrianesque, appuyés, sur les split-screens...) pour finit sur Voici. Cela sent le musée rance n'exposant que des reproductions.
Pourtant peu de créatif chez ce SL sec et stérile ramassé sur 2-3 scènes dont la plus bouillonnante sera un arrachage de manche ! C'est une vision d'un SL (ou pas) personnelle et sous acide mais sans mordant qui nous est dévoilé dans cette bio-psy non autorisé (on comprend pourquoi tant c'est glauque, presque vulgaire).
Une séquence commence que l'on présent déjà comment elle va finir: la musique "originale" de Bonnelo emprunté largement à Moroder-Midnight express (L'ASCAP ne pourras rien faire face à cette parodie) dans une séquence qui débute encore plus claustro que le reste, et, Bingo, qui voit le personnage enfermé chez lui, fenêtre cadenassé ! Parmi les nombreuses erreurs de bons goûts: SL enlève ses lunettes et le flou envahi l'écran... Cela serait risible (comme la scène de "tournage", élément un tant soit peu lucide sur le film lui-même) si cela n'était pas si triste et sinistre, comme ces soirées en boite où l'on tue le temps dans un verre et la fumée, où la danse n'est que mécanique (tjs les mêmes plans).
Un temps on pourras penser un off sympa avec les à-cotés de ce monde de la mode et des affaires avec une séquence sur les petites mains. Mais non. Ou la longue séquence de traduction cacophonique (typique mixage fr) d'un RV business qui n'est rien d'autre qu'un renvoie aux superpositions dialogués éculés d'un God-art enfoncé profond (comprenne qui pourras).
Des acteurs qui jouent, souvent bien, mais qui jouent. Un H. Berger qui évoque plutôt Michou avec teinture Johnny. La place volé à un intermittent du spectacle par un urgentiste Canal+ dans le rôle d'un médecin. Des actrices sous employées...
Le sociétal de 4 décennies est évoqué par une brève évocation de l'IGV vu par ceux qui regardent la France d'en bas avec la générosité ice bucket de ceux qui en ont et qui préfère en garder un maximum. Ou le Sida amené symboliquement par un K. Nomi que l'ont nous rappellera lourdement en fond quand un des amants sera emporté.
Choisi par les professionnels de la profession (oublié à Cannes, pas même, de mémoire, dans les palméisables du jour) pour représenté le pays aux Oscars, il m'est difficile d'imaginé sa nomination (YSL aurait plus de chances), Weinstein ou pas.
Malgré ses piques sur le devenu de la société (ses idoles de supermarché, la gestion du monde quand un cadre ne rentre pas dans une fourgonnette), j'ai pas aimé, quoi.
Dernière modification par kub57 (25-09-2014 09:15)
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Brèves de comptoir
http://img4.hostingpics.net/pics/695936P1010620.jpg
J-M Ribes et F. Morel
On évite curieusement la sensation de théâtre filmé par un montage assez vif, surtout qu'il n'y a pas de scénario mais que des bonnes phrases qui s'enchaînent. Certaines font mouche, d'autres se noient dans la masse. Une très légère pique aux assurances pour faire passer le M**f all cast. Les acteurs sont plus (Pinon et Gadebois en tête) ou moins inspirés. Sauf qu'une ambiance mortifère viens plombé l'ensemble.
La classe
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
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Si je reste
No spoil. Après un violent accident impliquant toute sa famille, une adolescente se réveille au milieu du chaos. Personne ne semble là remarquer. Elle s'approche d'un attroupement, probablement le corps d'un des membres de sa famille. Non, le corps allongé qu'elle voit est le sien. Face à sa propre lutte pour survire cette gamine va devoir décider si elle veut vivre ou mourir. Elle va être, impuissante, l'observatrice de son comas, d'une partie de sa famille abattue de tristesse et de l'autre également dans l'accident, sans savoir si tout le monde a survécu.
Voilà un postulat de départ intéressant et fort. Tellement que la scène de l'accident et de la prise de conscience des événements par la gamine donne des frissons. Mais voilà, pour décider si elle veut vivre ou mourir, on va se remémorer avec elle sa palpitante vie d’adolescente. Au bout du deuxième flashback, l'ennui prend le dessus. La banalité de sa vie, de sa romance ou son amoureux n'y met aucune volonté, ... tout cela fait que finalement l'idée de base est survolée. On a finalement une plate comédie romantique tinté d'un drame découpé en plusieurs parties. Comment s'émouvoir si à chaque nouveau flashback l'intensité des événements présents (la lutte pour survive), n'est jamais exploitée...
Grosse déception après l'accident donc. Même la musique, au cœur des préoccupation de l’héroïne, reste un faire valoir pour donner l'illusion d'une vie peu ordinaire. Reste une Chloé Grace Moretz engagée et deux rôles rafraîchissants, à savoir ceux des parents. Plus plus facilement sensibles que la moyenne y trouveront peut-être leur compte à l'instar de certaines personnes sortant un larme de la salle.
Dernière modification par diez (28-09-2014 11:03)
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Un homme très recherché
Au lendemain du 11 Septembre, chaque basané est aux yeux du monde un suspect potentiel. Ce film d'espionnage aborde le sujet de l'Etat islamique et ses radicaux. En plus d'être un sujet plus que d'actualité, c'est également une question très sensible. Ce nouveau film adapté du romancier John le Carré arrive sans faire de leçon de moral à ne pas faire l'amalgame entre les terroristes et les musulmans. Rien qu'avec cela, il est déjà plus facile et agréable de regarder cette traque plutôt bien branlée.
Phillipe Seymour Hoffman dans son dernier grand rôle orchestre avec puissance ce thriller ou l'ennemi n'est pas forcement le plus évident. Dans l'ensemble classique, le film tient en haleine jusqu'à son excellent final. Tout pour baigner dans cette atmosphère souvent oppressante avec une bonne réalisation et une bande son discrète, mais pertinent.
Peut-être un peut lent pour en faire un grand final marquant, mais le divertissement vaut la peine, d'autant que le thriller d'espionnage se fait très rare.
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Léviathan
Attaque plutôt en finesse de la Russie actuelle, ivre, corrompue, mais aussi absoute par une foi de façade. Un drame humain aussi où les protagonistes se perdent dans ce qu'ils s'imaginent, ne sachant jamais vraiment ce qui se passe derrière leur dos. Un peu long sans être ennuyeux avec son scénario qui abat ses cartes habilement et mérite d'être vu.
GREED is EVIL + AvoId
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Avant d'aller au cinéma
Avant d'aller dormir
3 bons acteurs qui ne brillent guère dans ce qui se rapproche plus d'un mélo psy que du thriller psy vendu. Véhicule pour une Kidman qui aime se donner dans des films parfois moins faciles et plus intriguant (Birth, Fur). Raté, la mollesse de la réalisation et d'un script adroit mais peu inspiré empêche d'adhérer.
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Adaptation très musclé de la série TV, la réalisation de Fuqua ne parvient pas a nous surprendre même si cela reste très efficace.
Taillé sur mesure pour Denzel, certaines inspirations voir séquences sont même pompés sur l'inégalable "Man on fire"...
A voir pour Denzel, mais un brin caricatural pour moi...
Alba gu bràth!!!
For Eorlingas!!!
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C'est une accumulation de scenes d'actions bien foutues comme certains Fuqua ou ça vaut mieux que ça ? Comme certains autres Fuqua ? ]:D
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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(visiblement la premiere reponse..)
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Sin city 2
Pour résumer comme le 1er en moins bien. J'ai pas pour autant été déçu, graphiquement c'est encore poussé plus loin. Les transitions sont devenus nettement plus inventives et font pour le coup tres BD.
Cependant grosse déception autour du scénario. Nettement moins passionnant que le 1er ! Le film dure 1h40 moins le générique, et on trouve même pas que ça passe vite...
Je ne l'ai pas vu en 3D, mais quand le blu ray arrivera je me jetterai dessus ça devrait envoyer du lourd !
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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Lucy, pour la quatrième fois !
La scène où elle bouffe comme une malpropre de la nourriture taïwanaise me donne toujours faim... 8.(
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D'ailleurs ressortie la semaine en 3D pour Lucy apparament ! Je ne connais pas le nombre de salle.
Choix tres étonnant de Besson
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Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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Le film cartonne, choix commercial. Pas étonnant de la part de Besson. ^^
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Equalizer
Fuqua sans surprise et en moins efficace. C'est malheureusement du déjà vu en moins bien. Le spectacle reste passable, mais le manque flagrant de maîtrise du rythme plombe un peu l'ensemble. Denzel Washington fait ce qu'il sait faire de mieux, mais sans surprise également, son personnage on le connait par cœur. La réalisation de Fuqua est super efficace, il donne tout ce qu'il a dans le brillant final. Il y a peut-être beaucoup de bouche trou dans ce film avec une grande présence de scènes vide de tout intérêt ne servant ni l'histoire ni les personnages. 30 minutes de trop, mais une réalisation classe. A voir à occasion.
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Le film cartonne, choix commercial. Pas étonnant de la part de Besson. ^^
Ça devait etre prévu avant le succes, je le vois pas lancer une conversion en 1mois et demi suite au carton du 1er week end us.
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