Vous n'êtes pas identifié(e).
Ouaip scénario limité, mais rattrapé par l'ambiance bien branlée de cette [spoiler]société secrète d'assassins en tout genre[/spoiler]. Je dirais que les réal' sont surtout fan de cinéma HK. ^^
Enfin moi j'ai trouvé beaucoup de coïncidences scénaristique avec la série Banshee... Mon fils qui était avec moi m'en a aussi fait la remarque...
Alba gu bràth!!!
For Eorlingas!!!
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Ton fils regarde Banshee ? Il a quel age ?
Si j'ai un gamin un jour j'ai hâte de lui faire découvrir des films et séries (selon son age)
Mon fils a 20 ans
Alba gu bràth!!!
For Eorlingas!!!
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ah ouais quand meme, je t'aurais pas cru si "vieux" lol
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ah ouais quand meme, je t'aurais pas cru si "vieux" lol
Bah oui je suis le "sage" du forum
Alba gu bràth!!!
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Elle était pas mal aussi dans Jack Reacher, d'ailleurs c'est là que je l'avais découverte.
Celle qui se tape un magnifique décolleté ?
*LCD Samsung 46LE676* / *Lecteur Blu-ray BD-P 1500* / *Ampli Denon AVR 1910* / *Pack 5.0 Davis Acoustics Matisse*
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Le Juge
Vu cet après midi, Un excellent drame familial, fort en émotion, un casting fabuleux.
Offrant à Robert Downey Jr. un rôle à sa mesure, touchant et très humain même s'il cabotine de temps à autre.
La réalisation est soignée, les acteurs qui encadrent Robert Duvall et Robert Downey Jr. sont plutôt bons, à l'image de Vincent D'Onofrio et Jeremy Strong, et même si le film cherche un peu trop à faire dans le tire-larmes, il n'en reste pas moins que celui-ci nous offre de belles scènes touchantes non dénuées d'émotion.
Personne n'échappera à la petite larme de rigueur ou au pincement de cœur pour les plus durs à s'émouvoir, renvoyant à chacun l'histoire de sa propre famille. Les joies comme les peines, les bouffées de chaleur comme les froideurs glaciales. Quelques notes de musique égrènent leur mélancolie sur un fond d'images à l'empreinte indélébile. Souvenirs de jeunesse, rires d'enfants...
Bref, vraiment un chouette film à l'ancienne.
TV : PANASONIC TX-65GZ1000 / AMPLI : DENON AVR-X1600H/ AUDIO : PACK FOCAL SIB & CUB 2 / LECTEUR : PANASONIC ULTRA HD 4k DP-UB820 + MI BOX S 4K + TELECOMMANDE HARMONY ELITE
Ma collection de BR : http://c.mymovies.dk/Guts59/ /600 Blu-ray et UHD.
Ma chaîne Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC4Zisf … x1ZEl8slcw
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#Chef
Sucess story et histoire familiale traités sur un ton léger (c'est une comédie), sans pathos ni habileté particulière et un gadget tweet qui s'intègre bien. Mais le plaisir -simple- est là. La sauce prend. Grâce aux plats préparés devant nous, plus gras que le scènario, mais tellement appétissants (on bave bcp, sauf sur le pain), les couleurs dans l'assiette, la musique latino qui relève l'ensemble. On ne saurait souhaiter plutôt bon film ou bon appétit.
John Wick
Comment prendre le film?
Le plus: un énorme gun fight, qui ne s'arrête que pour rechargé avec zéro pitié pour les méchants.
Le moins: pas de victimes co-latérale dans toute cette boucherie.
Scénario quasi Bessonien. J. Wick est cependant plus agréable que Lucy ou autres. Parce que l'on y est dans une société hors de la réalité sinon celle du film(le flic qui sonne pour tapage nocturne...). C'est ténu et tout juste suffisant pour passer pour un bon petit plaisir coupable avec un gros spectacle bien bourrin sympa.
Vie sauvage
Beau film si l'on s'en tient au sujet de traiter le désir de vivre hors d'un système dit de la normalité. Kassovitz est habité par son rôle de père aimant mais aussi égoïste, laissant une liberté toute relative à ses jeunes puis moins jeunes enfants. Le faits divers ou plutôt le versant maternel de celui-ci, n'est pas la préoccupation du film. Cela évite le mélo mais pas un certain détachement, surtout que la notion du temps est peut présente, difficile à faire grandir des enfants devant la caméra. C'est à l'image, un peu 11 ans de colonie de vacances champêtre sans réelles anicroches. C'est au final bien peu.
A girl at my door (sortie mercredi)
Premier film au sujet difficile auquel il convient certainement d'avoir de l'indulgence. Lent à démarré, le trouble sur l'innocence du personnage de la jeune fille molestée par tous n'est que rarement sulfureux et lorsqu'il s'installe, reste sujet à caution. Bien qu'un autre sujet (avec celui de la solitude et de l'homosexualité) soit aussi celui des idées reçues d'une société formaté, difficile de faire abstraction d'enquêtes policières bâclées. Ni de certains points qui nous paraissent curieux à nos mentalités d'européens.
A droite, la réalisatrice avec l'interprète (fr vers Coréen qui semble avoir besoin de plus de mots)
Anecdotes, le film à été présenté, hier, 1 an jour pour jour après la fin du montage. Dixit la réalisatrice qui nous à fait l'honneur d'être présente à Metz pour sur ces 2-3 dates parmi le public fr mais dont on apprendra pas plus sur le flou entretenu dans son film. Tout au plus qu'un supérieur hiérarchique, ou une autorité, en Corée, n'est jamais appelé par son prénom, même par les civils et que la réalité d'une immigration, s'est greffé en cours de route, suite sa découverte par la réalisatrice qui as mis en scène son film dans sa région natale, amplifiant le thème de la solitude.
Ambitieux sans convaincre, intéressant sans être passionnant.
Dernière modification par kub57 (04-11-2014 13:04)
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The November Man
Un film d'espionnage "Old School" assez sympa mais sans aucune surprise. Roger Donaldson connaît bien son boulot et nous le prouve mais son scénario, qui va lorgner du côté de l'ambiance de la Guerre Froide, est un archétype du genre comme on en a tellement vu qu'on finit par en connaître les ficelles. Malgré tout, le divertissement finit par prendre le pas sur la lassitude et on se laisse entraîner dans cette aventure assez sombre et réaliste portée par un Brosnan encore en forme pour jouer à l'espion.
Bref, pas catastrophique mais sans grand intérêt.
The Giver
Un film au fort potentiel malheureusement gâché par un traitement trop rapide. A mi-chemin entre Gattaca et Pleasantville, l'idée de base est séduisante, hélas on sombre assez rapidement dans un teen drama futuriste avec tous les clichés du genre. Seule réelle bonne note, la prestation de Jeff Bridges qui est vraiment excellent dans son rôle de "Giver" du début à la fin. On retiendra également quelques bonnes idées quant à l'éveil des sens du protagoniste, mais le tout reste bien trop léger.
Bref, ça se regarde mais ça ne restera pas inoubliable.
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The giver, juste un nanar qui copie divergente, heureusement, vu le flop mondial, ça s arrête la
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Canailles connexion
Comédie israélienne, pas vraiment de l'humour juif tel que celui véhiculé par WA ou les frères Coen ou M. Brooks.
Plus proche d'un Benny Hill dans des gags presque aussi énormes (en moins dynamique), ses papys lubriques, son traitement des femmes et son esthétique (ne manque que les accélérés). Tout aussi maladroit se greffe des histoires de famille, de deuil, de culpabilité, d'héritage culturel. Pourtant le tout reste curieusement buvable. Ces papys deviennent irrésistibles. En tête un P. Stewart qui s'amuse comme un fou dans ce rôle très léger. A voir une fois, rien que pour juger de l'ahurissant de la chose.
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Interstellar
Chef d'oeuvre, tout simplement. Film grandiose porté par un casting exceptionnel et un McConaughey qui confirme sa statuette gagnée en 2014, une BO d' Hans Zimmer vraiment géniale et une histoire ultra intéressante et émouvante. Le film est long (2h49), ce n'est pas un film d'action il n'est donc pas fait pour tout le monde, mais quel pied et quel leçon de cinéma ! J'ai pu lire sur quelques critiques que le film était complexe et que beaucoup de gens n'avaient rien compris, honnêtement je ne vois pas en quoi le film est compliqué à comprendre, c'est un film complexe certes, mais pas du tout un casse tête, il suffit de suivre car tout est très bien expliqué. A voir pour les amoureux du 7eme art.
I'm BATMAN
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Revu hier soir, sur le coup de la fatigue lors de l'avant première, plein de choses m'avaient échappé, là j'ai plus ou moins tout pigé. Entre les deux séances je me suis pas mal documenté sur les trous noirs, la relativité l'espace-temps tout ça donc ça aide vachement.
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Intersterllar
Beau et bon film.
Nul doute que pour les plus critiques, dont je fait parti, l'attente, l'espoir et l'exigence lié à un Nolan aussi habile à entretenir le mystère que la promo, joue en défaveur du film. Réalisé par un réal dont on ne s'attendrait à rien de particulier, le film gagnerait quelques points.
Mais voilà.
Très ambitieux, le scénario atteint les limites de l'écriture des Nolan, laissant apparaître, de manière plus flagrante les scories de leurs histoires.
De l'esbroufe scientifique dans un merveilleux science fictionnel saupoudré de trauma affectif poussés ici bcp plus loin. Où soudainement les possibilités se multiplient comme les vaisseaux alors que la dramaturgie était de nous les faire réduire.
Mais ici, ce que Nolan nous présente n'est pas à la hauteur de l'enjeu qui n'est rien de moins que l'avenir de l'humanité.
Les émotions devaient êtres le moteur du film, elles restent souvent au niveau du tire larme ou de la bluette sentimentale.
Plus que par le scénario encore, le déceptif provient d'un manque de merveilleux dans les images que le voyage vers l'infini et au-delà nous donne à voir. Des mondes stériles qui se limites à un coin de désert, fusse t-il d'eau !. Le grandiose n'est qu'éphémère et déjà vu mainte fois ailleurs (et chez lui en auto référence stérile) et parfois en mieux.
Dans ce film, celui réussi par un autre, les twist sont bien intégrés, les thèmes de l'amour, de la foi, des intérêts personnels,des promesses impossibles, de l'espérance, de la faiblesse des scientifiques tenant leurs équations pour absolues ont leur effet fulgurant sur le coup mais sont noyés dans la naïveté qui suit. Les échos à 2001 (et d'autres) sont nombreux, pas à son avantage, mais sans, miracle, être néfaste, comme un bel hommage à ce qui est insurpassable depuis 46 ans.
Le tout s'attachant seulement a être un dispositif scientifico-phylosophique hollywoodien à vouloir sauvé l'humanité d'un fléau écologique auquel la faute (forcement) n'est jamais mise en exergue.
Nolan évacue aussi en grande partie la part sombre de ces scripts qui faisait de ces précédents film des perles noires fascinantes. Là où il transcendait la banalité relative d'un sujet ou celle marketé d'un super héros, dans l'ambition de son dernier sujet, dans une mise en image presque anodine, il nous rend une copie un peu pâlichonne.
Beau et bon film, mais rien de plus.
Dernière modification par kub57 (06-11-2014 23:41)
GREED is EVIL + AvoId
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Interstellar
Ambitieux et audacieux, le film ne se révèle totalement que lors de sa dernière heure d'une intensité folle. Tout ou presque prend forme. Cette première partie rapidement expédiée trouve sa légitimité dans la dernière partie. Le genre de film qui sera à n'en pas douter bien meilleur la deuxième fois.
Je regrette qu'au cœur du film, une bonne quarantaine de minutes perdent en rythme et surtout en intérêt. On stagne, on perd le file, on s'ennui poliment, mais vraiment c'est très vite oublié. Les frères Nolan arrivent à nous raconter des choses scientifiques complexes sans jamais perdre en cohérence. Des thèmes universel sont abordé comme l'amour et le sacrifice.
L’espèce humaine est racontée avec beaucoup de lucidité autant dans sa folie dans dans l'espoir qu'elle dégage. Le tout est mis en scène avec le même talent que les films précédents du réalisateur. Un score mémorable sur la dernière heure, une réalisation excellente, une écriture superbe et des interprètes tous aussi habités les uns que les autres.
A découvrir au cinéma et à revoir. Besoin d'un second visionnage pour réellement non pas comprendre le film, qui n'est pas très complexe dans sa philosophie, mais pour confirmer ou non mon ressenti, car il pourrait bien évoluer.
Dernière modification par diez (08-11-2014 15:22)
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Paradise lost
Entre fiction et réalité, le film ne trouve jamais son identité propre. Pablo Escobar n'est qu'un personnage de fond qui offre au personnage de fiction (le jeune touriste canadien) le devant de la scène. Mais malheureusement la mystification du plus grand narcotrafiquant de l'histoire n'est pas assez poussée et son évocation rarement appuyée.
On se retrouve donc au finale avec l'histoire d'un jeune dans l'univers de Escobar et non Escobar lui même. Josh Hutcherson ne manque pas d'envie, mais de nuance pour faire croire à son personnage. Son évolution s'en retrouve limitée. Mais il faut avouer que l'écriture même du héros est ratée et balisée.
Reste au final quelques passages avec Escobar très prenant et une scène avec le héros fictif parfaitement réussit. Benicio Del Toro en Pablo Escobar est exceptionnel, on regrette d'autant plus le côté faux biopic. La réalisation manque d'envergure, l'écriture du film est bancale car son rythme endort. Limité et dispensable.
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The november man
Ça commence assez mal avec enchaînement de clichés, amis dans son ensemble ce thriller d'espionnage est assez plaisant à suivre. Les surprises sont rares, les révélation étouffées et l'action classique, mais l’efficacité est bien présente. On fermera les yeux sur le personnage prétexte que représente la voisine...
Ambiance à l'ancienne avec un Pierce Brosnan pas toujours convaincant, mais qui reste tout de même bon dans sa globalité. De bons moments de gunfight, quelques combats sympa... c'est donc au final le côté espionnage qui remporte l'adhésion. Le film n'a ni l'efficacité du scénario de Bourne ni la charisme de Taken (ce que l'affiche du film veut nous vendre), mais la réalisation s'en sort avec les honneurs.
A voir à l'occasion.
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Interstellar
Interstellar renoue avec le cinéma à grand spectacle, à la fois grandiose, intelligent et fascinant. Film de science-fiction de très grande ampleur, ambitieux, Interstellar est une réussite totale dans tous les domaines : Scénario, son, image, musique et mise en scène. Le scénario s’appuie sur des hypothèses scientifiques réelles héritées des théories d’Einstein. Il interroge sur la possibilité des voyages interstellaires et sur les paradoxes temporels qu’ils peuvent induire.
Seul bémol, le film est difficile par moment à comprendre car très technique.
A l’image de Gravity l’an passé, c’est une nouvelle fois le son, encore plus que l’image, qui procure les sensations les plus fortes. Hans Zimmer réalise là une composition d’une profondeur époustouflante. Quant à Matthew McConaughey ,il est l’acteur sur lequel repose toute l’incarnation du film, et une nouvelle fois il est brillant. Au final, Interstellar procure la sensation primaire d’être prisonnier du temps et de l’espace, et nous interroge sur la capacité de l’Homme à s’éloigner de la Terre à travers les arcanes de l’espace-temps.
Vertigineux, hallucinant, épatant, émouvant, intelligent, brillant,.... Les mots manquent... 2h49mn d'un pur voyage dans une autre Galaxie...
Fury
Un excellent film de guerre ultra efficace, contant la percée américaine en territoire allemand durant les deux derniers mois de la guerre de 1939-1945. Le point fort de ce film, c'est probablement l'immersion complète que l'on a dans la guerre avec le son, l'image et les acteurs qui nous font ressentir leurs émotions, on vit dans ce tank avec ces hommes pendant toute la projection.
Le cast est sublime et les acteurs au top.
Bref, je recommande vivement, on ne voit pas passer les 2h10 du film.
Dernière modification par Guts59 (09-11-2014 17:21)
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Je ressors également de Intersellar, vu cet après-midi. Tout à fait d'accord avec toi Guts. Quel film, j'ai pris une petite claque. C'est puissant, très puissant. Effectivement le son apporte beaucoup dans ce film, j'ai pris des frissons c'était vraiment bon. Un film à voir, vraiment.
1500 Blu-rays
Plasma Panasonic TX-P65VT30 / Blu-ray Panasonic BDT500 / Ampli Onkyo TX-SR705 / Caisson Audience CGA 30 / Centrale JM lab Chorus CC700 / Colonnes JM lab Chorus 710 / Surrounds JM lab Chorus 705
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'71
Réalisation sèche et nerveuse pour ce film sur le conflit Irlandais avec tout un tas de factions et surtout de sentiments englués sous une chape de terreur et de haine, proche d'un racisme bête reçu en héritage. Dommage que la manière dont sont utilisés les "forces spéciales", qui tout en complexifiant le propos, fait un peu sortir du film avec une sur-couche d'espionnage plutôt que comme un agent de tension supplémentaire (mais j'étais peu HS pendant le visionnage). Filmé dans le style Greengrass en moins nauséeux et plus justifié, le film peut se voir comme un bon divertissement ou un film politique.
GREED is EVIL + AvoId
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Samba
Grosse déception. Ce n'est pas mauvais, mais après tout ce que j'en avais entendu je m'attendais à beaucoup mieux. Hormis les acteurs qui s'en sortent très bien, l'histoire est cousue de fil blanc. Ça vaut un visionnage un dimanche soir à la TV, pas plus.
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