Vous n'êtes pas identifié(e).
Et dire que j'ai commancé par le remake qui avait fonctionné sur moi. Un peut déçu de ne pas avoir découvert rec avant.
Ah oui punaise tu as pas eu de chance, parce que moi j'ai vu En Quarantaine après Rec et comment dire sans etre vulgaire... ]:D
Dernière modification par langeikki (13-11-2014 00:09)
Membre du C.A.S (Comité Anti-Steelbook) "I wanted to rub the human face in its own vomit and force it to look in the mirror"
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Je sais, je l'ai revue après, c'est loins d'etre aussi convaincant et surprenant.
Tout ce que l'on souhaite c'est de pouvoir partager en paix
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Vite vu, vite revendu pour ma part ^^ (En quarantaine of course)
1500 Blu-rays
Plasma Panasonic TX-P65VT30 / Blu-ray Panasonic BDT500 / Ampli Onkyo TX-SR705 / Caisson Audience CGA 30 / Centrale JM lab Chorus CC700 / Colonnes JM lab Chorus 710 / Surrounds JM lab Chorus 705
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Une nouvelle amie
Ozon réussit - une fois de plus- à concilier originalité de sujet(s) et sensibilité dans sa représentation. Ici, il fait varier toutes les nuances du thème au fur et à mesure de l'intrigue ou par une simple remarque. Avec brio et classe et un soupçon d'ironie. Les acteurs sont au diapason. Un régal de cinéma fr. Bravos.
Dernière modification par kub57 (18-11-2014 01:06)
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Respire
Trop impressionniste (mais je me plante peut-être sur ce que je veut dire) pour émouvoir sauf à quelques occasions (celles d'un retour à une narration plus descriptive) le film reste plaisant, mais pas emballant. Pas de spleen romantique comme chez S. Coppola. Pas assez de turbulences dans ces vies d'ados trop banales. Le cas de la mère (et des adultes en général) est plus intéressant. Mais c'est passer un peu à côté du sujet.
Quand vient la nuit
Joli film avec un beau sujet, un peu trop écrit peut-être qui puise sa force dans ses acteurs, et dans un envoutant traitement tranquille qui parvient à renforcer la violence sous-jacente et pourtant contenue. A voir.
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Pas au ciné, mais en VOD...
The Hundred-Foot Journey (Les recettes du bonheur)
Je m'attendais pas à grand chose, mais j'ai été plus qu’agréablement surpris.
De bons acteurs et une histoire originale.
A film should be viewed as it was intended, with the voice of the real actors... If you cannot understand the language spoken, learn to read
- ma collection blu-ray -
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La prochaine fois je viserais le cœur
G. Canet parfaitement glaçant dans la peau de ce sérial killer fr. Mérite largement le coup d'œil.
Les opportunistes
Bon film italien sur les dommages d'une société cupide et sans remords. Doublé d'un petit côté thriller et d'une réflexion sur l'amour et les valeurs de la famille. Intéressant.
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Un illustre inconnu
Parcours extrême et très atypique d'un personnage qui se préfèrerais "autre". Un questionnement de l'identité (décidément en vogue ces derniers temps sous toutes longitudes) avec un angle différent. Kassovitz impeccable et mise en scène aussi discrète que le personnage tout en étant assez puissante, bien dans le ton général qui révèle de bonnes surprises tout le long.
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L'homme du peuple
Walesa, l'homme, ses ennuis avec le pouvoir politique (passages par la case détention), son couple (sa femme aurait mérité un prix œcuménique de la femme au foyer). Un A. Wadja, 88 ans, en forme avec une réalisation dans l'air du temps, manquant peut-être de personnalité et d'ampleur dans le versant "je change le destin d'un pays". Un petit bout d'histoire en alarme de quel que soit la doctrine des puissants (politiques, financiers aujourd'hui) il faut prendre garde pour garder sa liberté, et qu'un simple prolétaire, comme chacun de nous (pas besoin d'être un politicien) peut arrivé aux mêmes résultats...
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Hunger games la révolte : ce troisième volet se laisse voir même si a la fin, on a l'impression que cela n'a pas tellement avancé je pense que le fait de l'avoir coupé en deux films y est pour beaucoup au final rien d'exceptionnel.
-Changement pour le Samsung UE55ES6100 3D active
-home Cinema Philips Hts7200 3D
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Tiens-toi droite
Pour la réalisatrice-scénariste, son histoire, c'est jouer avec les archétypes des clichés de femmes (la mère au foyer, la carriériste, la soit belle et tait toi). Si certains passages sont enlevés, le tout reste au niveau du même flou que dans l'état duquel se trouve ces protagonistes (presque tout les personnages du reste).
Scénario et mise en scène sautes du coq à l'âne. Le spectateur peut se trouver largué en même temps devant les trous, plus que des ellipses, d'écriture et autres ruptures de ton. Difficile de croire en une quelconque vraisemblance bien que la réalisatrice insiste plus sur avoir eu envie de privilégier un sentiment de vérité que de réalité. En préambule de la séance, elle avait prévenu que le film serait qqch comme jamais vu. En effet, pas sûr que cela soit véritablement à son avantage bien que le résultat ne soit bizarrement pas un naufrage. Une curiosité avant tout.
N. Lvovsky ici actrice et Katia Lewkowicz, réalisatrice.
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Nightcall
Bon film porté par un excellent Gyllenhaal, quelques répliques et scènes assez comiques malgré le côté dramatique et immoral du film. Il a quand même pas grand chose à voir avec Drive dont il est assez souvent comparé.
I'm BATMAN
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Night call
Satire, entre autres, du monde des médias à la recherche de la part d'audience. C'est un petit peu la partie immergée de l'iceberg. En dessous il y a tout un monde qui cherche désespérément à tenter de survivre à la dure loi de la jungle, urbaine et, plus vicieuse, pernicieuse, celle du profit. Que faire pour s'en sortir lorsqu'une société, celle des états, acquise a la cause du marché, rejette et crée en toute (in)conscience les démunis ?
Si vous êtes sociopathe, avéré, selon l'angle que Gilroy à choisi de nous présenter ici, cela donne Nightcrawler. En grossissant, ou plutôt en faisant ressortir, les traits de la réalité globale de l'ordre du monde. Où comment faire fructifier sa petite entreprise, sa startup.
Pointer les lois d'un marché virtuel que son personnage (et quel personnage) s'approprie via une toile toute aussi virtuelle (le titre original semble évoquer également les bots informatiques).
Gilroy prolonge la vision pessimiste réaliste de son scénario, dans le moindre personnage et jusque dans sa manière de cadrer.
Surtout n'allez pas voir Night call avec l'accroche Drive, hormis LA et ces voitures obligatoires, Night call n'a rien à voir. Et c'est même contre productif, niveau pub, ironiquement comme si la distribution passait à côté du film. Il se rapproche plus de Taxi driver, dans son ambiance nocturne mais surtout dans le type de type, sociopathe à la dérive prés à tout pour prouver qu'il existe, que nous montre le film.
Cela nous amène à la performance de Jake Gyllenhall, acteur de l'année, totalement ahurissant, presque méconnaissable à la fois physiquement avec son look émacié, et dans son jeu qui semble perdre, avec ce rôle et cette interprétation, toutes les mimiques que garde l'homme derrière l'acteur, même le plus doué. Proprement hallucinant.
Dernière modification par kub57 (02-12-2014 11:30)
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The search
Constat forcement amer de l'état d'un monde en état de guerre. Entre fausses causes, mais vrais conséquences, celles qui créent des monstres déshumanisés et ceux qui les subissent dans leur chair et esprit. Sans lyrisme "hollywoodien" mais pas sans forces, Hazanavicius nous démontre qu'il peut avoir le regard d'un vrai metteur en scène scénariste. A développer.
Dernière modification par kub57 (02-12-2014 12:22)
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Le Labyrinthe.
Un film assez sympa et plaisant dans l'ensemble même si je regrette une introduction vue 100 fois et des acteurs qui manque de charisme. Assez curieux de voir la suite quand même au vue de la fin.
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Puzzle
Se laisse suivre sans déplaisir ni folle passion. Un niveau de jeu correct pour un cast solide mis à mal par des personnages pas franchement aimables ou forts. Des intrigues avec suspens et énigmes plus ou moins bien écrites ou maladroites. Un liant intéressant mais trop mal intégré...
Secret d'état
Retour du journaliste d'investigation qui met en lumière une histoire lamentable pour son pays. Des dommages collatéraux d'une CIA pas au dessus de la morale, en dessous de tout. L'intérêt se perd dans une seconde partie qui montre un après de doute et plus statique dans la mise en scène et les événements, pour finir dans un constat assez amer. Une galerie de seconds rôles de premier ordre bien jouissive, qu'on aurait aimé voir un peu plus rallongé. Un film solide à défaut d'en être un grand.
White god
Belle et forte curiosité, deux histoires, celle d'un chien et de sa jeune maîtresse.
La seconde repose surtout sur les épaules de sa jeune actrice épatante dans un rôle assez difficile de jeune fille qui cherche à sortir d'un quotidien plutôt oppresseur.
La première, celle du chien intéresse plus le réalisateur qui nous donne une version noire, douloureuse et presque gore d'une Incroyable randonnée Orwellienne pleine de surprises et de trouvailles.
Et ce terrible white god, l'homme pour les chiens, se verra justement honni. En apothéose, un admirable final qui met tout le monde à égalité dans cette formidable fable.
Dernière modification par kub57 (05-12-2014 20:06)
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La french
Solide mais sans éclat particulier. Se laisse voir.
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L'incomprise
A l'image de sa réalisatrice, A. Argento, le film est légèrement provocateur, nerveux et éclectique, et foutraque jusqu'au choix des focales, en fin de compte. S'il est séduisant par bien des aspects aussi bien esthétique que thématique, il n'est pas franchement concluant. Un peu de retenue, de canalisation aurait été préférable.
Mr. Turner
M. Leigh à certainement filmé une légende plutôt que la réalité mais le moindre accessoire de son film, la moindre expression semble apporter la vérité de l'époque qu'il d'écrit. L'art, la science, le progrès, les comportements..., quasiment en mode live (ah la galerie de tableau de l'académie des arts), brassés dans un film picturalement magnifique, sujet oblige, et pleinement réussi au delà de la simple image.
Bien plus profond qu'un simple biopic d'un personnage qu'il égratigne et admire, plutôt étude de mœurs de la société géorgienne (qui pratiquait déjà le bashing soit-dit en passant), dans laquelle il nous plonge de manière séduisante, fortement instructive et sans aucun académisme. Pas près d'oublier non plus les bougonnements perpétuels que lui prête le formidable T. Spall accompagné du reste du casting. Le film de la semaine.
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Avec un peu de retard, Interstellar.
Pas mal du tout finalement, au-delà d'une bande annonce qui me laissait penser que la catastrophe Batman 3 allait se reproduire.
Mis à part la fin un peu olé olé, c'est très recommandable.
Faudra faire chauffer un peu les enceintes avant le film parce que le début est assez violent.
Un beau blu-ray en perspective.
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