Dernier Visionnage

Philippe · 05-04-2015 22:50

la blonde du far west

superbe restauration, les couleurs sont magnifiques, film en 1.33 et VF mono, menu en français et bonus

GregBond007 · 11-04-2015 21:47

Après Sofia Coppola qui endormirait les habitués des blockbusters, on passe direct la cinquième vitesse avec "Les Jason Bourne".

La Mémoire dans la Peau (2002)
Plus de 10 ans après l'avoir vu, je me rappellais de toutes les scènes comme si c'était hier. La Mémoire dans la Peau n'avait pas pour vocation d'être le premier volet d'une trilogie d'autant plus que l'auteur des livres, Robert Ludlum, n'a pas eu la chance de voir le "produit fini" et donc de participer aux autres opus. Extraordinaire sur tous les plans, ce Jason Bourne allie à merveille l'action bien burnée aux phases plus calmes de discussions. Le spectateur est plongé dans les yeux de Jason, découvrant les bribes de son passé en même temps que lui et vivant l'action comme jamais. Franka Potente apporte une immense fraîcheur qui manquera par la suite mais toutes les bases du succès sont bien posées.

La Mort dans la Peau (2004)
On remonte d'un cran dans la hiérarchie pour aller casser du méchant et initier sa vengeance ! La saga est reprise par Paul Greengrass qui a parfois un peu de mal pour rendre lisible les combats... mais on s'y fait à la longue. La Mort dans la Peau est donc dans la juste continuité de son aîné et nous fait encore plus voyager que James Bond. Ce thriller d'espionnage nous envoie dans la figure des poursuites spectaculaires avec toujours ce réalisme fou mis dans la réalisation et les chorégraphies, le tout sans gadgets et avec une tension prenante qui nous tient en haleine jusqu'au bout sans véritable temps mort. On retrouve également le leitmotiv musical de Bourne que l'on reconnait désormais très facilement. Du grand art !

La Vengeance dans la Peau (2007)
La surenchère continue dans La Vengeance dans la Peau (je ne m'y ferai jamais à ces titres...) mais étonnemment, le film seul et la trilogie complète sont vraiment bien équilibrés. Jason continue donc son périple en quête d'identité et l'on retrouve Pam Landy qui avait déjà fait une entrée fracassante dans la saga au précédent film. Les paysages/lieux sont une fois encore magnifiques et les cascades authentiques et poignantes, Bourne ayant le chic de se tirer de toutes les situations avec son sens de l'observation et ses réflexes. On termine donc dans l'eau, là où tout a commencé, et le livre se clôt parfaitement, faisant de la trilogie un long film continu découpé en trois morceaux. Jason Bourne est définitivement Matt Damon... ou l'inverse !

Jason Bourne : L'Héritage (2012)
Jason Bourne : L'Héritage est une histoire parallèle sur ces agents très spéciaux se déroulant en même temps que le troisème opus. Ayant un faible pour la neige, je ne pouvais qu'apprécier cette histoire que l'on nous sert à louches de clins d'oeil en guise de justification de son existence. Jeremy Renner et Rachel Weisz, deux acteurs que j'adore, en perpétuelle fuite face encore à des bureaucrates et autres assassins qui ont toujours la gueule de l'emploi. Le thème musical est conservé, l'action nerveuse et réaliste nous file la chair de poule, les ingrédients ne sont donc pas bafoués, surtout que l'on voyage encore pas mal entre tous les actes. Le seul défaut serait finalement la fin qui n'en est pas du tout une par rapport à chacun des métrages de la trilogie originale alors on attend la suite avec impatience.

Conclusion
Qu'est-ce que c'était bon !! La trilogie est presque parfaite et possède vraiment ce cachet spécial de réalisme qui ressort à chaque fois mais rien ne remplacera la présence de Franka, c'est pourquoi le premier restera le meilleur. L'ensemble reste extrêmement cohérent, même le pseudo quatrième opus, et on ne doit sans doute pas se lasser de les revoir tellement le rythme est intense. Une excellente semaine !

Dernière modification par GregBond007 (11-04-2015 21:57)

Pipin59 · 11-04-2015 22:28

Pas vu depuis un moment mais j'avais a l'époque adoré, tout y est comme dit de l'actions, de superbes paysages, un Damon bref a mettre au coté des Bond !

Philippe · 12-04-2015 09:02

Howard le canard
reçu de l'éditeur en avance

cela faisait un moment que je l'espérais, enfin le voilà.
Le film est bien restauré, des bonus etc...

Philippe · 12-04-2015 10:20

Kuwa a écrit :

J'avais complètement zappé que le film devait sortir en BD sous nos latitudes.
Est-ce la version censurée du film ?
Dans mes souvenirs, un plan très court est passé à la trappe avec les années pour le bien du politiquement correct.
Le plan en question se passe lorsque Lea Thompson farfouille dans le portefeuille du canard et qu'elle y trouve un préservatif.

ce plan y est

GregBond007 · 20-04-2015 11:00

Après du bon gros bourrinage bournien, retour sur terre avec des bons sentiments dégoulinants de guimauve : "Les adaptations ciné des livres de Nicholas Sparks (1ère partie)".

Une Bouteille à la Mer (1999)
On commence déjà à sortir les mouchoirs pour Une Bouteille à la Mer, le premier ouvrage de Sparks à avoir été adapté au cinéma. Kevin Costner est loin d'être dans son meilleur rôle mais nous livre une prestation romantique très honnête face à une Robin Wright beaucoup plus adorable que dans Forrest Gump. Mais le plus beau dans ce casting, c'est le grand Paul Newman ♥ !! Fortement liée au deuil, l'histoire de ce couple fera chavirer les coeurs avec une mise en scène et une bande originale plutôt classiques et bien fichus, du moins jusqu'au final puisque celui-ci s'avère vraiment mal amené et encore moins bien réalisé. Heureusement, il fait tout de même son effet...

Le Temps d'un Automne (2002)
Des années après la découverte, Le Temps d'un Automne n'a pas perdu de son pouvoir. Alors oui, c'est un peu mièvre parfois, comme 90% des romances au cinéma, mais bon Dieu que c'est bon ! Shane West et Mandy Moore se transforment en trouvant un sens à leur vie, en se trouvant l'un l'autre malgré les regards, stéréotypes opposés parfaits. L'histoire est superbement belle et fait marcher à plein régime les glandes lacrymales, bercée par la bande originale qui reste en mémoire, surtout les chansons made in Mandy dont sa prestation sur scène. On adhère totalement au couple, imaginant ce que l'on ferait si nous étions à leur place, jusqu'au final plutôt intelligent qui fait dans la rapidité en passant outre les poncifs du genre. Je ne m'en lasserai jamais...

N'oublie Jamais (2004)
N'oublie Jamais est un film inoubliable... Dès les premières secondes, Ryan Gosling et Rachel McAdams nous arpaguent par leurs sourires et la pétillance de leurs regards, sans oublier James Garner ultra touchant dans sa démarche. Grâce à l'excellence de la mise en scène, on est complètement happé par l'histoire contée et l'on attend avec impatience la lecture de la suite, l'Amour naissant entre Noah et Allie. Délicatement sincère et sincèrement délicat, elle représente le choix d'une vie, le destin face aux obstacles, l'écoute de ses sentiments envers et contre tout. Joie, poésie, tristesse, sensualité, on a plus qu'à se laisser embarquer par la poigne de la romance tout en sachant que la douche froide arrivera tôt ou tard. C'est le cœur grand ouvert que l'on termine, les yeux larmoyants que l'on quitte le couple, la mémoire marquée à jamais par la bande son et les images. Rien de moins que de l'art pur ♥♥♥

Nos Nuits à Rodanthe (2008)
Après Cotton Club et Infidèle, Richard Gere retrouve Diane Lane en 2008 dans Nos Nuits à Rodanthe. Notons également la présence de James Franco bizarrement non crédité. La première chose qui frappe est la beauté des paysages de la ville côtière de Caroline du Nord et son superbe "petit" hôtel atypique les pieds dans l'eau car l'histoire est finalement basique et sans réelle surprise. Tout se tient justement dans cet apaisement, cette simplicité qui éblouit le visage de Diane Lane (elle au moins vieillit plus que bien) bien mieux que celui de Richard Gere, plutôt antipathique la bonne moitié du temps. Deux personnes seules et blessées, ça ne pouvait pas se passer autrement : un déferlement d'amour en plein déchaînement des éléments, accompagné d'un petit saumon grillé et hop, ça frétille comme des petits jeunots. La mise en scène et la musique sont efficaces mais sans les panoramas et son actrice principale, ces quelques nuits sur la plage auraient vite sombrées dans les abysses.

Conclusion
Intéressante cette semaine sponsorisée par Kleenex... J'ai enfin pu voir N'oublie Jamais, chef d'oeuvre très souvent cité par la gent féminine comme leur film préféré, à raison. Mais malgré tout, je garde un amour plus grand pour Le Temps d'un Automne que j'avais déjà eu le plaisir de voir il y a quelques années. Concernant le sujet "Nicholas Sparks", si les métrages sont fidèles aux ouvrages, le monsieur a beau faire des histoires bien différentes, il devrait tout de même revoir quelque peu sa recette car [spoiler]elles finissent toutes de la même manière[/spoiler] et si c'est encore le cas pour la seconde partie des visionnages (les 4 films suivants), je ne pourrai les vivre de la même façon. A suivre...

Dernière modification par GregBond007 (20-04-2015 11:16)

neo2011 · 24-04-2015 00:33

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tout simplement sublime ! une image HD au top pour un film très lyrique et moraliste à souhait sous la houlette du réal Aja qui nous réserve tjs une vision très décalée de ce thriller ( car c'en est un oui oui..)
et que dire de Daniel Radcliffe qui a su se reconvertir et nous faire oublier son étiquette du sorcier le plus célèbre du cinéma...bravo !

BREF · 25-04-2015 08:41

J'ai adoré aussi si tu te souviens.
Content de ton retour.

GregBond007 · 26-04-2015 08:02

Après les adaptations de Nicholas Sparks, changement de décors : regarder les étoiles est peut-être romantique mais on va y aller, c'est mieux ! : "L'espace... en un mot !".

Solaris (2003)
Solaris fait partie de ces films difficiles à appréhender au premier visionnage puisque l'on ne sait ni à quoi s'attendre ni les codes de décryptage. Soderbergh réadapte le roman de Stanislas Lem avec des acteurs vraiment excellents dans leur rôle et un scénario légèrement brumeux et soporifique qui nécessiterait sans aucun doute une deuxième lecture pour l'apprécier à sa juste valeur et lever l'ésotérisme qui l'entoure. Avec une esthétique envoûtante, une mise en scène posée basée sur les sens et une bande originale planante, il est question de mémoire, de réflexion et de regrets à propos d'un amour tragique. Pour résumer : tout ça pour ça !... mais à revoir.

Moon (2009)
Quel plaisir de trouver des perles comme ça ! Moon aurait largement mérité une sortie cinéma pour gagner en notoriété mais malheureusement, seuls les initiés à la SF vont lui donner sa chance... Véritable surprise (si tant est que l'on ne regarde ni la bande-annonce ni le synopsis) au scénario vraiment original, le film s'est offert les talents de Sam Rockwell, pratiquement son seul acteur, qui illumine la face cachée de la lune par sa prestation sans faute, un brin drôle et tragique à la fois. Pour le petit budget, les FX s'en tirent aisément et les décors intérieurs sont réalistes et bien fichus, de même que Gerty, l'acolyte-robot des lieux adepte des smilies. En plusieurs étapes, la trame intrigue au premier abord pour se démêler ensuite d'une façon certes simple mais cohérente et intelligente. Une belle écriture habilement portée à l'écran par une mise en scène sobre et réfléchie.

Cargo (2009)
Cargo est mon premier film allemand (mais réalisé en Suisse) que je regarde en allemand... et finalement, ça passe bien. Budget très limité pour ce huis-clos qui vrille vers le thriller dans un scénario déjà vu plutôt intéressant mais réalisé d'une manière maladroite avec des effets spéciaux parfois oscillants dans leur crédibilité bien que généralement étonnants. En somme, un divertissement honnête qui s'oublie vite malgré un premier rôle attachant.

Gravity (2013)
Je n'en attendais plus grand-chose après des avis très divergents mais Gravity a été un bel uppercut dans la gueule. Une tuerie technique indiscutable entre des effets spéciaux parfaits, des plans-séquences interminables et une spatialisation sonore époustouflante. Clooney est magnifique et Bullock subjugue en transmettant sa détresse au spectateur comme s'il était avec elle. Hormis une crédibilité incertaine, je n'ai trouvé aucun défaut, aucune longueur, seulement une perfection absolue illuminée par le thème final et ce plan en contre-plongée d'une grande richesse émotionnelle. Audacieux dans sa forme, dépaysant au possible et original malgré le scénario timbre-poste, on ressort du chef-d’œuvre de Cuarón avec l'irrésistible envie d'aller prendre un café avec George et Sandra pour les serrer dans nos bras... Magnifique ! What else ? <3

Conclusion
Semaine mitigée avec deux films qui ressortent largement du lot, Gravity et Moon, dans une sélection sans réel lien si ce n'est le lieu donc il est difficile de faire des comparaisons. Etonnament, pas de créature qui bouffe tout l'équipage, c'est plutôt rare dans les films d'espace.

Dernière modification par GregBond007 (26-04-2015 08:11)

BREF · 26-04-2015 08:18

Bien d'accord sur l'ensemble.

neo2011 · 26-04-2015 10:15

Blurayenfrançais a écrit :

J'ai adoré aussi si tu te souviens.
Content de ton retour.

JE LE RECOMMANDE A TOUS !!!!
très bel univers de Aja et superbe ambiance...

BREF · 26-04-2015 11:13

Un de mes plus forts coups de cœur de l'année pour le moment.

messhugoth · 26-04-2015 17:34

Raid 2

Mon dieu que c'est long, totalement incohérent (tous ces gardes non armés, ça sert à quoi, déjà qu'ils attaquent un par un...), des tonnes de bla bla inutiles, un héros qui est (très) loin de valoir tony Jaa, du coup les combats sont parfois ridicules (les rapides petites tapettes à la poitrine qui ne feraient pas vaciller un vieillard), ces asiatiques qui ne peuvent pas s'empêcher de gesticuler dans tous les sens dès qu'on les touche... Bref, film bien trop long et peu spectaculaire, pas étonnant qu'il a fait un bide

Dernière modification par messhugoth (27-04-2015 12:53)

kub57 · 26-04-2015 19:03

Cutter's way (Merci BREF)
La caractérisation des personnages est faites d'emblée, dans la scène du bar tout est dit sur ce qu'ils seront le reste du film. Pareil pour le personnage féminin principal, dans ce qui seras peut-être la plus saisissante du film. C'est un peu le défaut, puisque tout est dit dès le départ. Pourtant ce film noir, garde qqc d'attirant dans sa tristesse. Rien ne seras explicité, rien ne seras tenu pour acquis. Troublant.
Couleur restaurée, je veux bien, mais l'impression de flou ici ou là ôte le plaisir "BD" qui ne demeure qu'au travers d'un grain pellicule.

Massacre à la tronçonneuse
L'enchainement de l'annonce de faits divers plus terribles les uns que les autres en voix off du début fait entrer de plein pied dans l'horreur, que le son (malheureusement malmené dans le van sur cette copie restaurée) entretiendra tout le long du film jusqu'au quasi abominable dès l'entrée dans la maison de l'horreur. Et les cadrages un rien étrange. Et les décors crades qui pourrissent littéralement l'image en plus du 16mm. Un jeu savamment outré renforce l'impression de dégénérescence, en particulier avec le père et les borborygmes de leatherface (le son tjrs le son). Peu de sang, juste des idées horrifiantes comme celle de ce faire abattre comme un bœuf à la mode old school, ou se faire pendre vivant à un esse. Que du climax. Assez pour en faire une œuvre culte.
Restauration: Compte tenu du 16 d'origine et de la nature même de ce qui est dis plus haut, le BD se respecte. Mais on pouvait rêver de mieux avec ces arguments mis en avant.
Reste à profiter des nombreux bonus.

Captain America, le soldat de l'hiver
Critique ciné:
Heat meet Star trek pour faire court
Le spectacle est là, techniquement c'est bien fait. Sauf que le scénario utilise constamment des astuces assez débiles qui finissent par le rendre crétin. Pourtant cette histoire critique sur un état ultra sécuritaire dans un gros truc bourrin pour les masses est séduisante, de même que son coté terrien.
Part "réaliste" avec ces poursuites/fusillades urbaines à la Heat, le meilleur du film.
Part "Trekiste" avec ses énormes vaisseaux au dessus de Washington.
Sauf que dans tout ça c'est que l'on ne ressent aucun danger de la populace qui semble même totalement absente. Pourquoi parler/défendre celle-ci si elle n'est pas visuellement en jeu, pas même représentée (ou si peu) en témoin. Des grosses explosions au dessus du Potomak avec building en souffrance et on ne voit que les employés du SHIELD impliqués à sortit des bureaux. Et si ce n'est pas la terre qui est en danger, mais les (millions) de mauvais citoyens et ennemis d'états potentiels cette grossièreté sonne comme un repli du plan Marvel sur lui même. Et rien d'engageant pour le futur.
3D souvent agréable, bien que tjs aussi inutile, dans les plans les + calmes, ajoute certainement une perte de lisibilité à l'action qui reste cependant loin d'une bouillie pour les yeux.

Revisite de celle-ci en rayant les motions contraire à cette seconde vision.
L'actu de surveillance tout azimut y est sans doute pour qqc. La paranoïa étatique, modèle RDA/USSR, gagnant malheureusement. Donc belle idée pour un film grand public. Pour ce que çà change...
Surtout énorme spectacle. Finalement ces vaisseaux détruits en sortie d'usine de l'axe Hydra (j'avais dû zapper cette partie inside le shield) permet d'éviter les sempiternelles images de destruction massive des autres films plus inconséquent? C'est bien reposant.
Un autre regard sur ce film.
Bon se mettre à trois contre cette armée reste limite, que font les autres avengers ?

neo2011 · 26-04-2015 20:27

euh... il y a eu auto-censure ou quoi? ]:D

kub57 · 30-04-2015 08:42

Pire, RE-VISIONNISME.

300+302
Enormes spectacles. Pas plus réalistes que certaines déceptions ou daubes. Sauf que tout repose dans l'idée donnée au départ, soit une race de guerriers avec un idéal et une issue connue par tous. Cela se gâte un petit peu dans le 2 avec sa sur-couche de bataille navale "je veux en mettre plein les yeux" et ses guerriers qui ne sont plus que de très habiles stratèges. Mais le premier à fait inception.
Des looks similaires (pures tueries dans tous les sens de terme) tout en étant différents, par le simple jeu de nouvelles tuniques et d'une sous histoire bien noire.
Le 1 est simple et brut, allant à l'essentiel. Le 2 plus compliqué, en jouant le passé de l'ennemi, et malgré ce beau rôle féminin, échoppe avec ces héros moins charismatiques. Cela reste barbare et dégouline de sang, CGI pardonné. C'est aussi cette violence assumé qui donne toute sa valeur à ces remarquables productions. Adultes ciblés. Merci.
Bel écrin que ces BD, trop précis pour ne pas éviter de révélé le toc de certains décors. Le son du 2 est grandiose. Jamais les arrières ne m'auront parus aussi riches, aussi fort que les frontales.

I Frankenstein
Une (1) belle idée mal creusée( un destin torturé). Surtout une production à la ramasse. Des combats dantesques avec explosions dans le ciel, des rues dévastées... Et le tout sans âme qui vive, une voiture en stationnement pour toute silhouette. Et comment voulez-vous avec la meilleure indulgence, que cette idiotie passe ? Sans compté les autres imbécilités. Et les séquences qui s'enchaînent en se ressemblant. Et le manque d'enjeux. Et les personnages unidimensionnels. Bref un spin off de Underworld, déjà douteux. Ratage total.

kkalmaa · 30-04-2015 00:24

Interstellar . Passionnant comme film.
Pas l'ideal les scenes en imax pour les possesseurs d ecran2.35!
Son incroyablement puissant .jamais mon buttkicker n'a été aussi efficace et mis en valeur effets géniaux

neo2011 · 30-04-2015 00:35

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période "Jim Carrey" enclenchée, je me devais de (re)(re)(re)voir c génialissime ovni de comédie brillamment orchestré.
tout y est réuni pour passer un super moment.

P.S.mais pourquoi donc les films de Carrey comme celui ci ou les Ace Ventura sont-ils boycottés en sortie blu ray en France?

kub57 · 01-05-2015 17:15

@Avragorn
T'as pas essayé avec une autre platine ? Par ex du ghost mal de crâne sur les plans rapide de Epic avec mon lecteur Toshiba, nickel avec la PS3.

Man of tai chi
90% combats, 10% scénario. Histoire réduite à sa plus simple expression. Jolie personnage au départ que ce Tiger, son évolution n'est pas assez convaincante. Quant aux combats ils se suivent et se diversifient trop peu (en même temps ni spécialiste, ni spécialement amateur, je préfère ceux de The raid 2).
BD décevant, sans doute un effet de la photographie pas travaillé. Propre sinon.

kub57 · 02-05-2015 09:30

Too bad. Jamais on peut se fier au matos. La mienne est avec le temps sujette au shading sur les scènes sombres. Heureusement pas payer bien cher.

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#29101 05-04-2015 22:50

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