Dernier Visionnage

Wahaha · 20-06-2015 03:47

GI Joe : le réveil du Cobra
Assez caricatural. Les rôles classiques de ce type d'histoire sont tous là, et tout devient très attendu. Les SFX desservent plutôt le film, qui pourtant repose presque entièrement dessus. Même les bruitages sont incohérents
J'en ressors presque déçu.

pcman · 20-06-2015 11:09

PAPA OU MAMAN
vu ce matin comedie tres agreable qui se laisse voir sans aucun probleme.
Image au top et jeux d'acteurs 10/10

Wahaha · 21-06-2015 13:50

Be Cool
Très bon film. J'aime beaucoup ce genre d'ambiance un peu déjantée où différentes histoires s'entrecoupent. Les personnages auraient peut-être juste mérité d'être un peu plus travaillés en profondeur
Je recommande, même si attention, il est facile de ne pas du tout aimer ce film.

Dernière modification par Wahaha (21-06-2015 13:54)

kuntz76 · 21-06-2015 23:30

Petits visionnages du week end..

The interview

Beaucoup de bruit pour pas grand chose au final. Le film reste relativement marrant tout de même mais il faut être fan de rogen / franco. Surtout Franco qui a tendance a en faire beaucoup alors que ce n'est pas forcément son genre. Quelques passages bien drôle qui font que le film pourra se revoir sans souci.
Mais dans le genre film de potes avec les même acteurs, j'avais préféré c'est la fin.

My blueberry night

Une Norah Jones qui se cherche dans ce road movie pavé de rencontres avec des personnes plus ou moins paumées... La photographie est belle mais wong kar wai abuse de ralentis qui ne sont pas à mon goût. Reste une belle rencontre et une histoire touchante au final.

pak13 · 22-06-2015 12:01

GregBond007 a écrit :

Après une semaine lourde en ambiance, on repasse dans la légèreté... du moins c'est ce que je croyais.
Semaine 16 : "Quand amour et musique se mêlent"
High Fidelity (2000)
En brisant dès la première seconde le quatrième mur, High Fidelity casse la barrière de l'écran et nous rapproche de John Cusack qui nous livre ses états d'âme et nous invite à participer à sa vie. Dure vie d'ailleurs puisqu'il enchaîne les déceptions et se livre à un bilan existentiel à travers de nombreux "top" auxquels on pourrait tous réfléchir. L'adaptation du livre de Nick Hornby est réalisée très intelligemment, avec beaucoup de sincérité pour mettre en scène la réalité, un mec normal, un peu loser tout de même, avec des interrogations logiques et les remises en question qui en découlent. Dotée d'excellents dialogues, d'un personnage principal travaillé et d'une bande originale fabuleuse structurant scénario et sentiments, cette "tranche de vie" se révèle drôle et amère sans jamais verser dans la comédie à l'eau de rose faisant ainsi toute son originalité. Stephen Frears nous offre là un film à part modelé grâce à sa patte bien marquée.
Le Come Back (2007)
Après avoir réuni sa protégée Sandra Bullock et Hugh Grant dans L'Amour Sans Préavis, Marc Lawrence continuera de travailler avec le second pour Le Come Back. Et c'est un pur bonheur que de voir évoluer le charmant anglais aux côtés de la non moins superbe Drew Barrymore – que j'adore – qui insuffle toute sa fraicheur et son adorabilité au personnage. Le couple fonctionne parfaitement à l'écran, de même que l'aspect musical qui apporte consistance et romantisme à une histoire des plus banales, vue et revue avec toutes les ficelles et la structure inhérentes au genre. Mais peu importe : c'est beau, c'est drôle, c'est entraînant, le has been et la "plant girl" donnent le sourire et c'est tout ce que l'on attend du film qui trône à un très bon niveau, le mérite en revenant évidemment à son duo... dans tous les sens du terme. ENCORE !
Alabama Monroe (2012)
Quelle droite dans la gueule Alabama Monroe nous envoie ! Malgré un fond somme toute assez classique, c'est la forme qui prime ici. Sous une apparente fragilité autant visuelle qu'émotionnelle se dévoile une incroyable puissance qui n'aura de cesse d'enchaîner les coups pour nous mettre à terre. Pour ce faire, l'alternance régulière et permanente des émotions est la pièce maîtresse construite à partir d'un habile montage mélangeant la chronologie. Entre le bonheur ressenti au début de l'histoire d'Elise et Didier puis le malheur qui s'abat sur le couple, les séquences de musique bluegrass (sous-genre de la country) seront le lien au-delà du temps, des interludes joyeusement mélancoliques faisant office de soupapes pour les personnages comme les spectateurs avant qu'un concert ne fasse véritablement tout exploser. La photographie est sublime, authentique piquée d'une pointe d'onirisme, les deux aspects nous touchant dans une douce harmonie soulignée par une bande originale qui atteint les sommets. Opposés dans leurs croyances et leur manière de faire face, les comédiens offrent des interprétations d'une bouleversante justesse jusqu'au final qui résumera le film de la plus belle des manières. Si l'on peut lui reprocher une seule chose, ce serait une maladresse dans certaines approches, mais objectivement rien d'autre...
New York Melody (2014)
Evoluant sur une portée d'un équilibre très accordé, New York Melody est une douce brise lovante qui nous retient dans son œil pour ne plus jamais nous lâcher les sens. Par une mise en scène pleine de superbes plans caméra mettant en valeur New York et les personnages, John Carney nous propose une balade pure et angélique composant peu à peu la partition d'une ballade empreinte d'une apaisante délicatesse et d'une légèreté aérienne. L'alchimie formée par le formidable duo Keira Knighley/Mark Ruffalo inonde l'écran de sa magie, aussi touchante qu'attachante, l'adorable complicité découlante attirant tout sur son passage. Leur collaboration musicale, à laquelle on aurait apprécié moins d'ellipses, nous berce de ses délicieux morceaux soulevés par l'enchanteur brin de voix de la comédienne qui joue son rôle avec une pudeur l'auréolant d'une vibrante vulnérabilité autant que de confiance. Sous ses faux airs de comédie romantique, le film confesse surtout son amour inconditionnel pour la musique dans son sens le plus noble, le plus simple, le plus enivrant, à l'image de ses comédiens justes jusqu'à la dernière note d'une orchestration originale dont la bande son restera gravée dans les sillons de nos mémoires. <3
Conclusion
Que j'aime la musique ..! Cette semaine a été un véritable délice avec des films finalement tous très différents : High Fidelity fait figure de délirante introspection dans un cap de la vie, Le Come Back symbolise une simple comédie romantique, Alabama Monroe frappe par son côté dramatique, visuel et humain, et New York Melody nous emmène dans une certaine légèreté qui fait vraiment un bien fou. Les deux derniers ont été des claques, assez opposées d'ailleurs, qui me feront sûrement des effets encore bien longtemps à chaque note des bandes originales. Je ne pourrai m'empêcher de penser à Elise et Didier dès que j'entendrai de la country, et Keira qui avait déjà une belle place dans mon cœur monte encore après avoir poussé la chansonnette. Que j'aime le cinéma !!! ♥

Chapeau bas en tout cas pour tes descriptions périodiques de tes semaines à thème!!!
Pour moi aussi Alabama Monroe a été une vraie claque!!! C'est un super film à conseiller à beaucoup. High Fidelity était un de mes films cultes car passionné de musique, je me retrouvais beaucoup dans le personnage de John Cusack avec ses cassettes qu'il fait pour ses amies et ses playlists que je continue de faire moi aussi (mais que je ne partage plus qu'à ma moitié !!!) et aussi l'intervention dans le film du Boss lui même. Je me le suis racheté en blu Ray et je dois le re visionner prochainement. Le livre de Nick Hornsby est pas mal aussi mais là nous sommes en Angleterre avec des références musicales plus British!!!
Le come Back m'avait également bien diverti.
Du coup, tu me donnes envie de voir ce fameux NY melody que je me prendrai donc peut être si la Fnac renouvelle son opération 2=4

GregBond007 · 22-06-2015 13:14

Merci pak13
Tu sais que je ne savais même pas à quoi ressemblait le Boss ]:D Je le visualise mieux grâce à toi ^^

Pour New York Melody, c'est clairement mon gros coup de cœur de l'année mais c'est très subjectif car j'adore Keira, la folk, la musique à l'état pur dans tout sa simplicité... Il faut que je voie Once du coup, du même réalisateur

Pipin59 · 22-06-2015 14:26

C'est vrai que tes retours par thème sont tres agréable a lire

kub57 · 23-06-2015 09:51

Guillotines
Hormis de beaux paysages, une attaque au canon d'un village, 2-3 exécutions, le spectacle donne mal au crane. C'est une enfilade douloureuse de clichés et de mièvreries aussi bien scénaristique que de mise en scène. Abus de ralenties et d'effets qui se veulent hi-tech mais qui ne sont que crétineries mollassonnes dénuées de rigueur. Dés qu'un fx numérique pointe la cata est amplifiée. Mais le montage pourtant lisible est ce qui est encore le plus pénible à subir. Andrew Lau s'inscrit ici comme un des pire analphabète du cinéma.
BD bof avec un grain qui parfois pointe alors qu'il n'est pas justifié, et 2 abominables solarisation dans des transitions comme vu que sur de mauvais dvd.

kkalmaa · 23-06-2015 13:18

No pain no gain.
Bon divertissement.action humour etc ...un tres bon bluray à revoir avec plaisir

The rover .lent ennuyeux mauvais .... direction la benne ....ou plutot l'arrierefond des etageres..

L'homme qu on aimait trop . Assez Passionnant . j'ai bien aimé .nice l affaire du palais de la méditerrannée.... Superbe bluray bien lumineux .

Dernière modification par kkalmaa (23-06-2015 13:24)

GregBond007 · 27-06-2015 10:05

Après la semaine musicale pour la fête de la musique (total hasard en plus), c'est une spéciale puisque le 4e film sera le 69e de mon Cinémarathon 2015. Le thème est donc : "Les films sulfureux des environs 90"

9 Semaines 1/2 (1986)
Difficile de discerner autre chose qu'une succession de scènes légèrement osées – sûrement beaucoup pour l'époque mais sinon... – en regardant 9 Semaines 1/2. Peu de place est laissée à la vie personnelle des deux protagonistes, on enchaîne rendez-vous sur rendez-vous ce qui lui donne un aspect décousu et empêche au spectateur la moindre implication émotionnelle, surtout envers une "héroïne" naïve et soumise comme jamais. A défaut de mettre en image l'Amour, Adrian Lyne sait comment susciter la sensualité à travers la mise en scène, la photographie et le choix musical mais c'est bien la seule chose que l'on peut lui concéder pour ses débuts de réalisateur spécialisé dans le genre. En reste pas mal de scènes cultes – Je viens de comprendre la référence dans Hot Shots! – dont le striptease Joe Cockeresque qui n'a finalement rien de très affriolant, ainsi qu'un titre sans queue ni tête jamais évoqué (ou alors j'ai raté l'indication de temps) mais évoquant dans la mémoire collective un symbole de l'érotisme cinématographique. Intéressant pour voir Kim dans la fleur de l'âge, se remémorer le vrai visage de Mickey et pour sa valeur quelque peu historique. A part ça, ennuyeux au possible... NEXT !

Liaison Fatale (1987)
Il était temps ! Avec Liaison Fatale, Adrian Lyne a enfin eu un scénario entre les mains ! S'il n'est pas aisé de discerner le moindre sex-appeal chez Glenn Close, son côté psychotique est lui génialement crédible et joué à la perfection avec tout son panel de nuances jusqu'à la destruction. L'escalade de la démence du personnage gagne ainsi en puissance tout du long, entraînant Michael Douglas dans une spirale infernale invivable et dangereuse à la fin légèrement attendue et incohérente puisque la véritable – bien mieux – a dû être changée face à la mauvaise réaction du public test. Outre quelques scènes marquantes, on en retiendra un thriller plutôt efficace et assez classique sur tous les plans avec un rythme calqué sur les accès de folie de Glenn, qui marqua son époque par son côté moralisateur et l'interprétation sans faute de ses comédiens.

Basic Instinct (1992)
20 ans après l'avoir vu, Basic Instinct exerce toujours la même fascination, à l'image de Catherine envers Nick complètement envoûté – et contrôlé – par la jeune femme. Toute la mise en scène tend d'ailleurs vers cette obsession et le rapport de force entre les deux têtes d'affiche, ne serait-ce que par l'éclairage et les jeux de caméras. Dès le départ, la musique de Goldsmith nous charme et restera à jamais gravée pour laisser planer tout au long du film un voile de mystère, une grande part d’ambiguïté qui montre l'étendue du génie de son écriture. Les dialogues sont par ailleurs millimétrés en permanence avec de nombreux sous-entendus, chaque mot ayant été mûrement réfléchi pour attiser défi, curiosité et fantasme. La perversion est palpable à tous les niveaux, ce rapport dominant/soumis dont le second croit maîtriser à tort la situation est d'un délice glaçant, surtout quand la psychologie des personnages est aussi développée. Paul Verhoeven nous sert un véritable modèle indémodable du thriller dont tous les ingrédients parfaitement dosés se marient divinement pour aboutir à une tension et un suspense insoutenables.

Harcèlement (1994)
Jouissif, c'est ce qu'inspire Harcèlement ! Avec son suspense crescendo, il nous emmène sur les terrains sinueux du monde du travail, de son hypocrisie et des manipulations hiérarchiques. Barry Levinson nous gratifie d'une excellente écriture qui tient en haleine et nous fait immédiatement haïr le personnage de Demi Moore, profitant de la faiblesse masculine de Michael Douglas qui ne se laisse pas démonter... Aux multiples rebondissements, ce thriller a le mérite de se dérouler sans aucune violence mais n'est pas pour autant dénué de coups bas. Seule ombre au tableau, une partie ratée faisant intervenir la réalité virtuelle qui devait servir à surfer sur la vague très en vogue à l'époque, époque qui n'avait pas encore trouvé la bonne méthode pour concevoir des culottes dans un textile indéchirable.

Conclusion
Avalanche de sex-symbols féminins et masculins pour cette semaine, avec Glenn Close qui fait vraiment tache en plein milieu du défilé. Ce qui saute aux yeux, c'est la présence très appuyée de Michael Douglas qui devait avoir le flair pour choper les bons coups. Si j'avais déjà vu Basic Instinct et Harcèlement que je trouve toujours aussi bons, je ne reviendrai sûrement pas sur Liaison Fatale et encore moins sur 9 Semaines 1/2 qui reste un des films les plus mauvais que j'aie pu voir... Semaine prochaine, un hommage pour une totale découverte qui j'espère ne m'endormira pas.

Pipin59 · 27-06-2015 16:48

J'ai commencé Clone Wars saison 1, 4 premiers épisodes pas mal du tout, sympa de voir certains jedi avoir plus d'importances et puis Ahsoka est terrible, ma quête de sa statue (qui dure depuis 2 ans) va s'intensifier

Dernière modification par Pipin59 (27-06-2015 16:48)

lulu · 29-06-2015 07:44

Vu invincible hier soir.
Vraiment un très bon moment. Je recommande

kkalmaa · 30-06-2015 00:43

HORNS.
Film trés réussi . On passe un trés bon moment.bref j'ai adoré .je recommande

Philippe · 02-07-2015 08:01

la sirène du Mississippi

superbe restauration, l'image est superbe

seul bémol, les sous titres anglais sont imposés, c'est chiant

kub57 · 03-07-2015 17:17

Exists
Big foot existe. Et c'est angoissant. Angoissant pour les nerfs des plus cinéphiles comme avec les pires film footage de gueulle. Ce film existe (et en BD) et c'est une honte (et pour les éditeurs). Rien ne justifie tous ces plans bâclés ou pas. Une horreur de film, pas un film d'horreur.
Sinon l'image BD n'est pas mauvaise mauvaise et le son fait le gros du travail, sinon tout le travail, avec la spatialisation des attaques.

yannickv · 03-07-2015 17:55

J'ai failli l'acheter :8

Pipin59 · 03-07-2015 18:45

lulu a écrit :

Vu invincible hier soir.
Vraiment un très bon moment. Je recommande

Tres envie de le voir celui-ci

tindersticks · 03-07-2015 18:57

Philippe a écrit :

la sirène du Mississippi
superbe restauration, l'image est superbe
seul bémol, les sous titres anglais sont imposés, c'est chiant

J'ai failli le prendre, je ferais dons l'impasse, merci à toi.

Guts59 · 03-07-2015 19:00

Pipin59 a écrit :

lulu a écrit :
Vu invincible hier soir.
Vraiment un très bon moment. Je recommande
Tres envie de le voir celui-ci

Très bon film, je plussoie.
A voir aussi The Imitation Game, superbe film également.

Dernière modification par Guts59 (03-07-2015 19:01)

Philippe · 03-07-2015 19:32

tindersticks a écrit :

Philippe a écrit :
la sirène du Mississippi
superbe restauration, l'image est superbe
seul bémol, les sous titres anglais sont imposés, c'est chiant
J'ai failli le prendre, je ferais dons l'impasse, merci à toi.

De rien, pour ton info,j'attends des Criterion comme Z et l'aveu, cela ne devrait plus tarder.
Ils sont zone A, mais j'ai un lecteur toutes zones

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