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A voir aussi The Imitation Game, superbe film également.
+1000
Tout comme The Theory of Everything.
A film should be viewed as it was intended, with the voice of the real actors... If you cannot understand the language spoken, learn to read
- ma collection blu-ray -
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Pipin59 a écrit :lulu a écrit :Vu invincible hier soir.
Vraiment un très bon moment. Je recommandeTres envie de le voir celui-ci
Très bon film, je plussoie.
A voir aussi The Imitation Game, superbe film également.
celui-ci est dans ma liste également
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NEW YORK MELODY
Attention pépite ce film est une pure merveille ,une perle .bande son génial jeu des acteurs histoire ...une bouffée d'optimisme .un pur bonheur
*** SALLE DEDIEE HOCINEMA 35 m2 4K DOLBY ATMOS / SONY VPL-VW5000ES / LUMAGEN PRO4K 4242 full18 / CINEMASCOPE 3,80Mètres / OPPO BDP103EU multirég. / OPPO 203EU multireg. / DENON AVR X6400H / NAD 216THX / JAMO THX ONE IN WALL / BUTTKICKER / RTI FUTRONIX / 8250 blurays***
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J'ai adoré ce film, je suis d'accord avec toi une vraie bonne bouffée de bonheur
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Il est dans ma wishlist O:)
BREF pour les intimes.
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Un grand bond en arrière pour cette semaine et je me rends compte que j'ai une fâcheuse tendance à zapper le cinéma récent... Tant pis ! Thème hebdomadaire : "Ray Harryhausen, le grand maître des effets spéciaux d'antan". Des films consécutifs pour bien voir l'évolution...
Le Monstre Vient de la Mer (1955)
Le nucléaire était la cause de bien des soucis après tous les essais des années 40-50 et la pieuvre géante du Monstre Vient de la Mer en est un parfait exemple. Outre quelques esquifs plus ou moins frêles, c'est le Golden Gate qui en prend le plus pour son grade, enserré par la bête lors d'une scène culte qui effraya bon nombre de spectateurs. Le gigantisme du céphalopode génère un abus des aplats en fond montrant les tentacules en mouvement mais l'attaque de San Francisco rétablit la balance avec beaucoup de scènes utilisant la dynamation. Cependant, il est clair que les pseudos interactions avec les acteurs/figurants sont assez mal gérées, notamment les écrasements bruyants mais pas très voyants. Ray Harryhausen va s'améliorer par la suite et espérons que les acteurs aussi car on sent bien la série B pure et dure et ce n'est pas lié qu'au budget. Belle prouesse technique tout de même, les tentacules ne devaient pas être évidents à animer en image par image.
Les Soucoupes Volantes Attaquent (1956)
Inspiration suprême de Mars Attacks! et de nombreuses autres productions, Les Soucoupes Volantes Attaquent est une belle curiosité très kitsch et risible notamment à cause du design et comportement des aliens. Les soucoupes volantes sont évidemment bien plus simples à animer qu'un poulpe géant mais les interactions avec les décors sont encore une fois laborieuses. Il n'y a qu'à voir les raccords lors des crash et les effondrements saccadés sans compter les explosions rajoutées par-dessus ! Les monuments washingtoniens en prennent d'ailleurs sérieusement pour leur grade et les pauvres militaires se font vaporiser les uns après les autres sans que personne ne s'en soucie. Leur stratégie militaire n'est pas non plus très au point mais les extra-terrestres jouent à armes égales sur ce plan... On critique, on critique, néanmoins le film reste un bon divertissement plutôt bien fait pour son âge, qui marqua les esprits avec ses bruitages inquiétants et sans aucun doute tout le monde de la SF.
A des Millions de Kilomètres de la Terre (1957)
Les monuments emblématiques ont la vie dure ! Cette fois-ci, c'est le Colisée qui subit les foudres des protagonistes... et il est composé de pierres en mousse qu'ils arrivent à rattraper avant de se faire écraser avec. Hormis ces séquences risibles, Harryhausen a concocté un très joli "monstre", le Ymir, tout droit mis en boîte de Vénus – on allait sur Vénus à l'époque –, bien animé et surtout doté d'une humanité qui est le point fort du film. On se prend littéralement d'affection pour cette pauvre créature aux cris bovins qui n'a rien demandé à personne, non violente à la base mais se retrouvant acculée, forcée de combattre ces satanés humains ainsi qu'un éléphant en pâte à modeler. Belle prouesse d'avoir pu donner autant de personnalité à un "objet inanimé". La technique s'améliore d'ailleurs encore offrant des scènes constituées de 5 ou 6 plans : la démesure est donc à l'ordre du jour, une claire volonté d'en mettre plein les mirettes se fait sentir. Pari réussi car malgré ses défauts (acting, dialogues, invraisemblances, etc.) et son côté remake de King Kong, A des Millions de Kilomètres de la Terre est divertissant et dépaysant. J'espère que tu seras un jour vengé, mon bon Ymir !!
Le 7ème Voyage de Sinbad (1958)
Magique, c'est le premier mot qui vient à l'esprit en regardant Le 7ème Voyage de Sinbad. Ray Harryhausen joue encore avec volumes et perspectives pour nous illuminer de tout son art notamment à l'aide d'un cyclope géant ou d'une princesse minuscule. On a également droit à un dragon en laisse, un oiseau bicéphale bien coriace et pour la première fois, ce qui fera son chef-d’œuvre plus tard avec Jason et les Argonautes, un squelette bien retors. Cette fois-ci, on ne se trouve plus du tout à l'époque contemporaine mais dans le monde des Mille et Une Nuits mélangé à celui de la mythologie grecque. On voit clairement que le film a enfin été tourné en couleur et ça fait vraiment du bien aux yeux, de même que les paysages insulaires et le folklore arabe. La réalisation des effets spéciaux monte encore d'un cran, le maître maîtrise de mieux en mieux son "bébé" mais certaines scènes soulèvent bien la difficulté des comédiens à se battre contre du vent ou celle de Ray à bien positionner ses créatures pour rendre les interactions réelles. Dépaysante, cette merveilleuse aventure marque aussi un nouveau départ dans la carrière du monsieur qui restera ensuite dans ce genre et cette période plus propices aux voyages fantastiques.
Conclusion
Les effets spéciaux ont vraiment fait du chemin depuis 60 ans mais quelle patience il faut avoir pour le stop motion et encore plus englobé dans la dynamation. Ray Harryhausen était vraiment un génie et pourtant un des seuls à utiliser ce procédé. Les films n'ont évidemment pas un scénario très élaboré mais c'est ultra enrichissant de découvrir ces classiques, l'astuce avec laquelle ils ont été réalisés entre maquettes fixes, personnages articulés et pâte à modeler. Ray a tellement été inspirant pour tous les grands du cinéma tels Burton, Spielberg, Lucas, Jackson, Emmerich, Gilliam et sans aucun doute bien d'autres. Tout fan du 7e art se doit de découvrir l'histoire à travers lui... celui que doivent haïr la plupart des monuments célèbres.
Dernière modification par GregBond007 (05-09-2015 22:02)
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en import italie, vu :
Hacker
bon film, image et son parfaits
blu ray 9/10
American sniper
Quel metteur en scène ce Clint Eastwood, excellent film
blu ray 10/10, le top démo
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Samba : difficile a finir, il y a bien 30 mn de trop sinon ca se laisse regarder sans que cela soit exceptionnel.
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Last days of summer
Le plus cool des évadés. Je fais le jardin pas loin de voisins branchés sur la chaine info. La bonne interprétation sans éclat sauve ce film tarte. Qualification qui trouve tout sa pertinence sur la fin.
TB BD mais c'est normal.
GREED is EVIL + AvoId
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Par cet apres midi pluvieux, Mon beau père et nous
Comédie sympa, ca se laisse regarder avec quelques séquences bien penser.
Une petite comédie Américaine a voir
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Papa et Maman :
Bonne petite comédie, qui va crescendo, a voir en famille.
Colt 45 je l'ai trouvé tres bon, quelques scènes que je ne m'attendais pas a voir, assez expéditive pour un film Francais mais également tres court 1h19
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Toute premiere fois :
voila finit mon petit marathon comédie
J'ai vraiment apprécié ce petit film certes assez convenu mais le genre de film qui détend apres une journée de taff sans se prendre la tête, les acteurs sont tres bons
Dernière modification par Pipin59 (07-07-2015 18:16)
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@faethor: je viens de le commander, tu me mets l'eau à la bouche! J'avais pas vu que c'était l’excellentissime Vaugh à la réal !
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Transformers, l'âge de l'extinction.
1 ou 2 séquences tout de même impressionnantes à HK et un S. Tucci en forme. Sinon les batailles parallèles sont horriblement mal gérées et le (trop) plein d'action n'est là que pour cacher l'énorme manque d'idées. Et les personnages en cgi sont tout simplement hideux (en yamakasi -le ciné fr. plus fort que les $ de Bay – pareil pour les poursuite en voiture en passant-, entre les mains des autobots).
BD très honorable mais pas formidable avec du grain très rare mais présent sans justification.
GREED is EVIL + AvoId
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L'aveu - collection Criterion - zone A
superbe restauration de ce film de Costa Gavras
l'image est superbe
la VF est claire , les sous titres anglais ne sont pas imposés et c'est tant mieux
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Inutile de réfléchir cette semaine, la chaleur ambiante m'aura donné tout cuit le thème qui parle de lui-même : "De l'eau à perte de vue".
En Pleine Tempête (2000)
Quelques notes et l'on sait déjà que James Horner va nous transporter tout au long d'En Pleine Tempête grâce à une superbe bande originale. On découvre ensuite le casting, impressionnant – Diane Lane ♥ –, et le personnage principal, l'océan, majestueux ! Puis vient l'instant du départ où l'on se demande si ce sera le dernier, jusqu'au bout... Le scénario prend le temps pour installer les marins, certains plus que d'autres, mais chacun bénéficiera d'un capital sympathie suffisant pour générer une inquiétude permanente à son égard. Tout ce petit peuple bringuebalé par les vagues s'engage donc au milieu d'une terrible tempête qui ne leur laissera aucun répit – les péripéties étant nombreuses –, sûrement un peu légère pour qui connaît la mer mais impressionnante à l'écran avec des effets spéciaux qui restent en globalité crédibles malgré le passage des années et quelques curieuses accalmies. Même si le film est excellent, on pourrait cependant regretter tout le pan de scénario à propos des sauveteurs qui sort un peu de nulle part et ne sert qu'à nous offrir des scènes aquatiques à taille humaine pour allonger sa durée. Majestueuse et saisissante, l'histoire des matelots de l'Andrea Gail n'inspire qu'un seul mot : chavirante !
Open Water : En Eaux Profondes (2003)
Avec très peu de moyens, Chris Kentis et Laura Lau ont réalisé sur leur temps libre week-endal un excellent film indépendant au succès inattendu. Open Water repose avant tout sur l'ambiance, l'angoisse d'être perdu et sans espoir dans l'immensité de l'océan, enfermé dans un décor sans aucun mur... Filmé à la mini DV et quasiment sans ajout de musique, l'aspect réaliste ressort immédiatement et rend l'ensemble très crédible même si les personnages prennent des décisions pas toujours réfléchies. Les requins voient d'ailleurs enfin leur image d'affamés mangeurs d'hommes tomber, ils sont finalement très "joueurs" et patients... On se laisse donc bercer par ce cauchemar au rythme de l'eau, sans réels moments d'action mais l'on ne s'ennuie pas pour autant, très soucieux du sort du petit couple de plongeurs qui aurait mieux fait de remonter à l'heure.
Dérive Mortelle (2006)
Bien avant de commander l'USS Nathan James, Eric Dane officiait sur le Godspeed, un yacht parfait pour s'éclater entre potes. Sauf qu'une stupide erreur va faire basculer la petite sauterie dans une baignade prolongée où la fatigue physique et mentale seront les pires ennemies. Si la situation est tout bonnement horrible, les tentatives de "sauvetage" sont parfois complètement stupides et bien souvent exécutées sans une once de réflexion, nuisant à la crédibilité du métrage pourtant inspiré d'une histoire vraie. On a du mal à s'en faire pour les personnages tous très caricaturaux – et le bébé qui sert à rien –, c'est davantage la pensée de se retrouver dans leur condition qui nous angoisse terriblement. Le final est légèrement flou, à chacun de comprendre, mais malgré tous ses défauts, Dérive Mortelle demeure pleinement prenant et efficace sur le plan psychologique... c'est ce qui le sauve de la noyade.
The Reef (2009)
L'australien Andrew Traucki avait déjà réussi son coup avec Black Water, l'essai est transformé sur The Reef. Plus c'est simple et plus ça sonne réaliste, surtout quand le requin n'est pas en CGI mais bel et bien un vrai appâté pour l'occasion. On retrouve donc quelques amis contraints de rejoindre une île à la nage poursuivis par un gros squale qui aime faire durer le plaisir. Pour une fois, les personnages ne sont pas (trop) des idiots finis et l'on aura vite fait de s'attacher à au moins deux d'entre eux. Les images sont belles, la mise en scène intelligente mais le réalisateur abuse un peu trop des plans sous-marins en vue subjective du "héros" observant le prédateur car voir la mort en face, c'est quand même plus fun... Tension et suspense sont à fleur de peau, on examine en permanence le remous des eaux et les profondeurs pour essayer de distinguer un danger imminent qui engagerait encore une impressionnante scène d'attaque. Un film qui prend son temps et le fait très bien en misant beaucoup sur la suggestion et l'inclusion du spectateur.
All Is Lost (2013)
Racontant quelques jours de la vie de l'homme le plus malchanceux du monde, All Is Lost porte terriblement bien son nom. Robert Redford enchaîne problèmes sur pépins sans aucun répit et assiste, résigné, à l'épuisement de tous ses espoirs les uns après les autres. Affaibli, abattu et malgré toute la misère du monde, il se battra de toutes ses forces et deviendra un MacGyver de la survie en mer. Cette lutte constante et désespérée contre les éléments est mise en scène d'une façon impressionnante à l'aide de superbes vues éloignées, d'une extraordinaire bande son et surtout avec un seul et unique acteur qui ne dit que quelques mots et dont on ne connait ni le nom ni la raison de son voyage. Ces aspects sont les points d'ancrage d'un immense sentiment de solitude qui s'installe dès le premier accident du marin pour ne jamais repartir. Le spectateur ne peut alors que ressentir sa détresse, s'énerver de la fatalité – contrairement au personnage qui reste calme –, observer impuissant son infortune et admirer sa force de caractère qui surmonte malgré tout obstacle sur obstacle. Cette œuvre intimiste est une belle leçon de courage qui pourrait cependant ennuyer les moins impliqués et empathiques.
Conclusion
Que d'eau ! Que d'eau ! Et ça fait du bien après une canicule qui m'aura bien fait souffrir. Mis à part dans les films de guerre, je crois n'avoir jamais vu autant de morts en si peu de temps. Une future semaine slashers devrait néanmoins reprendre la palme... Tous à leur manière, ces cinq films de survie auront vraiment été intéressants, inspirants, facteurs d'un grand suspense et d'un dépaysement total qui rafraichait bien la tête. Seul All Is Lost (que j'attendais depuis longtemps) n'ai apparemment pas inspiré d'une histoire vraie mais j'imagine qu'elle a forcément dû arriver à quelqu'un. Encore une fabuleuse semaine qui m'aura bien donné envie de me baigner (eh oui !) et appris une chose : toujours déployer l'échelle avant de sauter d'un bateau... si on compte y remonter.
Dernière modification par GregBond007 (11-07-2015 09:11)
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En effet ce thème s'imposait
Pour moi Black Swan : ca fait un bail que je voulais le voir et c'est enfin fait alors je ne sais pas si c'est le fait d'avoir trop attendu mais un peu déçu, je ne m'attendais déjà pas a ce que l'histoire prend ce tournant, je l'ai meme trouver long, a voir quand meme mais une petite deception.
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747 en péril
content d'avoir revu ve film catastrophe
l'image est belle
les effets spéciaux sont désuets
film à revoir pour le plaisir
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Taken 3 : aie aie aie je m'attendais a pas grand chose mais c'est encore pire, Liam Neeson trop vieux pour faire du Bourne comme il l'avait fait de facon excellente dans le 1 n'arrange rien, on y rajoute une histoire sans queue ni tete et on se retrouve avec un des pires films de cette année niveau pur action.
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UN FLIC A LA MATERNELLE
super content d'avoir acheté cet incontournable comédie de Shwarzy !
mais voilà ! l'image est à ch*** ! granuleux tout du long ! dommage ! mais je l'ai et c'est ça le principal !
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(en cours...) dont 344 steelbook / ??digibook / ?? 3D
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