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THE WARD : L'HOPITAL DE LA TERREUR
bon...ben il fallait bien un film du maitre Carpenter que je rejetterai. et c'est celui-là...
l'idée de départ avec ce huit clos psychiatrique et ces personnages enfermées (pas trop en vérité... ]:D ) avait l'air un peu conventionnelle...et bien c'est le cas.
Sans dévoiler l'intrigue, j'ai vraiment cette impression dérangeante que ce n'est pas réalisé par Carpenter par moment.
Pleins de clichés, pleins de sursauts trop calculés, font de ce film une oeuvre très décevante.Pour le coup, je vais immédiatement me refaire un "bon" THE THING ou NEW YORK 1997 pour oublier...
100 % d'accord avec toi, j'en garde un très mauvais souvenir de ce film et puis qu'est ce qu'elle est mauvaise actrice Amber Heard pouah ]:D
Membre du C.A.S (Comité Anti-Steelbook) "I wanted to rub the human face in its own vomit and force it to look in the mirror"
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neo2011 a écrit :THE WARD : L'HOPITAL DE LA TERREUR
bon...ben il fallait bien un film du maitre Carpenter que je rejetterai. et c'est celui-là...
l'idée de départ avec ce huit clos psychiatrique et ces personnages enfermées (pas trop en vérité... ]:D ) avait l'air un peu conventionnelle...et bien c'est le cas.
Sans dévoiler l'intrigue, j'ai vraiment cette impression dérangeante que ce n'est pas réalisé par Carpenter par moment.
Pleins de clichés, pleins de sursauts trop calculés, font de ce film une oeuvre très décevante.Pour le coup, je vais immédiatement me refaire un "bon" THE THING ou NEW YORK 1997 pour oublier...
100 % d'accord avec toi, j'en garde un très mauvais souvenir de ce film et puis qu'est ce qu'elle est mauvaise actrice Amber Heard pouah ]:D
et oui ça je n'ai pas osé dire également que le casting était...comment dire... à ch*** ! ]:D ]:D ]:D
ma collection de Blu Ray
(en cours...) dont 344 steelbook / ??digibook / ?? 3D
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Long John Silver a écrit :Dracula 1931
Le film: une découverte pour moi et j'ai adoré Bela Legusi est extraordinaire, les acteurs jouant Van Helsin, Renfield tout autant. Musique au début du film et c'est tout! ( le Lac des cygnes !! Très bon choix). Seul défaut, 75 min! Trop court.
Le Blu-ray: belle restauration sans nul doute. Certains plans ( l'arrivée de la diligence descendant la colline jusqu'à l'auberge est magnifique, un enchantement pour les yeux, les plans larges dans le château sont stupéfiants). Mais tout n'est pas parfait (pas grave, soyons indulgents vu l'âge du film).
Remarque: sans trop savoir où j'allais, je me fais dans la foulée la version espagnole du bonus. Grande surprise: 30 min de plus, et que du bonheur. Renfield est encore plus impressionnant ( quelques minutes, de la 21ème à la 29ème n'ont pas été restaurées, bizarre!).Franchement, de telles films noirs et blancs, restaurés sur support Blu-ray, j'en redemande!
I am Dracula !!! ( Quand Legusi dit ça avec sa diction, on se dit qu'il le pensait vraiment )
Verdict: un 18/ 20, tout est dit !
Pour info, c'est "Béla Lugosi"...
C'est l'émotion!! Merci beaucoup!
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Interstellar
Ah pas de doute, c'est bien un Nolan. Un peu psycho à la façon Tim Burton, mais au moins on ne peut pas lui reprocher de ne pas avoir son style. Film agréable, les scènes extérieurs sont magnifiques, par contre il y à quelque chose que je n'ai pas compris, donc si quelqu'un l'a entièrement compris, j'aimerais beaucoup qu'on éclaire ma lanterne ]:D
Petit défaut : peut être un peu long... 2h45...
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qu'est ce que tu n'as pas compris ? en spoiler bien sur
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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Je ne sais pas trop comment mettre en Spoiler, donc :
SPOILER !!!
Je n'ai pas compris comment a t'il pu être son "fantôme" si il était sur terre en même temps ?
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[spoiler]Il n'y est pas en meme temps en fait. Il est dans un lieu en 5 dimensions . les 3 dimensions que l'on connait. + le temps + l'amour de sa fille qui est quantifiable. ce qui fait 5 dimensions.
Il peut donc se déplacer dans le temps comme quand toi tu montes un escalier ![/spoiler]
Pour les spoiler regarde mon message et fait pareil : balises "spoiler"
Dernière modification par Clement1138 (26-07-2015 21:19)
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
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Interstellar
Ah pas de doute, c'est bien un Nolan. Un peu psycho à la façon Tim Burton, mais au moins on ne peut pas lui reprocher de ne pas avoir son style. Film agréable, les scènes extérieurs sont magnifiques, par contre il y à quelque chose que je n'ai pas compris, donc si quelqu'un l'a entièrement compris, j'aimerais beaucoup qu'on éclaire ma lanterne ]:D
Petit défaut : peut être un peu long... 2h45...
Une analyse interessante d'Interstellar que j'avais trouvé en fouillant le net à l'époque de la sortie du film :
http://oblikon.net/analyses/interstella … e-c-nolan/
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Film culte pour moi aussi, mais un peu peur de le revoir
-Changement pour le Samsung UE55ES6100 3D active
-home Cinema Philips Hts7200 3D
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The neverending storyyyyyyyyy
3799 films/saisons en BD dont 334 BD 3D ; 281 DB ; 450 SB
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Misterious56 a écrit :Interstellar
Ah pas de doute, c'est bien un Nolan. Un peu psycho à la façon Tim Burton, mais au moins on ne peut pas lui reprocher de ne pas avoir son style. Film agréable, les scènes extérieurs sont magnifiques, par contre il y à quelque chose que je n'ai pas compris, donc si quelqu'un l'a entièrement compris, j'aimerais beaucoup qu'on éclaire ma lanterne ]:D
Petit défaut : peut être un peu long... 2h45...
Une analyse interessante d'Interstellar que j'avais trouvé en fouillant le net à l'époque de la sortie du film :
http://oblikon.net/analyses/interstella … e-c-nolan/
Merci,
je viens de me chopper un mal de crane en lisant les 4 premières pages, mais je vais lire ça tranquille sur le canapé. ^^
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TRUE DETECTIVE saison 1
Au lieu de vous dire quoique soit sur ce génialissime récit, je vais juste vous dire que j'ai regardé les 8 épisodes...d'affilé !!!! ]:D ]:D ]:D
Matthew McConaughey est "fabuleux" !
Si vous hésitez à regarder encore cette série, un seul mot : FONCEZ !!!!!
ma collection de Blu Ray
(en cours...) dont 344 steelbook / ??digibook / ?? 3D
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J'avais de grosses attentes suite aux critiques fabuleuses et j'ai pas été déçu non plus.
Une interprétation, une écriture, et une réalisation au top
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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Tai chi zéro / Tai chi hero
Les 2 films: innovant, beaux combats, décors soignés, histoire assez classique mais pas du tout ennuyeux.
Le Blu-ray: excellent, HD impeccable à tout niveau.
Verdict: 15/20 !
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Tai chi zéro / Tai chi hero
Les 2 films: innovant, beaux combats, décors soignés, histoire assez classique mais pas du tout ennuyeux.
Le Blu-ray: excellent, HD impeccable à tout niveau.
Verdict: 15/20 !
J'hésitais à les prendre, les critiques n'étaient parfois pas tendres mais je me suis lancé du coup. Merci O:)
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Long John Silver a écrit :Tai chi zéro / Tai chi hero
Les 2 films: innovant, beaux combats, décors soignés, histoire assez classique mais pas du tout ennuyeux.
Le Blu-ray: excellent, HD impeccable à tout niveau.
Verdict: 15/20 !
J'hésitais à les prendre, les critiques n'étaient parfois pas tendres mais je me suis lancé du coup. Merci O:)
En effet, des critiques par rapport aux incrustations (mais ces textes rajoutés ne sont pas gênants, avec parfois une touche d'humour), la musique hard rock ( au final pas si présente que ça, les autres musiques étant très agréables).
J'espère ne pas avoir été trop bon public par rapport à tes attentes !
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Personnellement, même si j'ai apprécié les chorégraphies de Sammo Hung et certains aspects de la réalisation qui donne au film un petit côté Stephen Chow, j'ai été globalement déçu.
Je ne me suis pas ennuyé mais j'espérais une histoire plus originale et folle que ça.
Et pour finir, je déteste les combats câblés.
Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin.
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La chute de la maison blanche
Assez plaisant et plutôt bien foutu. Fuqua est plus a l'aise avec l'action au sol avec ses personnages que dans le pyrotechnique aérien avec armes lourdes.
Rien à redire sur le BD.
GREED is EVIL + AvoId
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Dernier de mon integrale James Bond: SKYFALL.
Daniel Craig apporte vraiment beaucoup au personnage depuis son entrée dans la saga, rappelant le coté brut de Sean Connery.
Le film m'a happé du début à la fin, pas de temps mort ressenti malgré la durée du film (presque 2h30).
Niveau technique le blu-ray affiche une image magnifique en tout point, le rendu des details et des decors est parfait.
Apres Freddy, Indiana Jones, Saw, une autre integrale finie.
Mon avis general est que le travail de remastering effectué sur la saga est juste magnifique et bluffant, et plus particulierement pour les plus anciens.
Dernière modification par rainbow78 (31-07-2015 21:16)
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Vous l'attendiez ? ^^ Qui dit petite semaine de vacances dit occasion unique pour des films plus longs, beaucoup plus longs... Je devais rattraper quelques lacunes : "Les grands films de David Lean".
Le Pont de la Rivière Kwaï (1957)
Dénonçant brillamment l'absurdité et le cynisme de la guerre, Le Pont de la Rivière Kwaï n'a pas volé ses galons de chef-d’œuvre magistral malgré ses 58 ans au compteur. Même quasiment dépourvu d'action, il reste passionnant car la psychologie des personnages principaux est bien développée, évoluant vers une certaine folie propre à chacun, entre code de l'honneur, fierté et engagement. Le final est un des plus beaux moments de cinéma auquel j'ai assisté : un cadre sublime, une tension étouffante, un héroïsme suicidaire et une explosion spectaculaire se terminant sur des paroles qui en disent long... Le film entier est fantastique avec le rapport de force entre Saito et Nicholson, des décors naturels superbes, une photographie maîtrisée avec un magnifique Technicolor, une musique inoubliable, la dénonciation de la guerre, le jeu des acteurs – la "révélation" finale – ou encore la mise en scène qui sait tirer le meilleur parti des paysages et des comédiens en prenant bien son temps pour installer les ambiances. C'est là que l'on se dit que la démesure actuelle du numérique a retiré au cinéma une part de sa sincérité. On n'a plus l'air d'être capable de réaliser des films aussi forts tant narrativement qu'émotionnellement...
Lawrence d'Arabie (1962)
Jamais le désert n'a été filmé d'une manière aussi charismatique et intense. Chaleur étouffante, mirages tremblants, oasis salvatrices et dunes balayées, Lawrence d'Arabie est un monument du cinéma, et même LE monument du cinéma porté par un casting de rêve représenté notamment par les yeux perçants de Peter O'Toole, la moustache élégante d'Omar Sharif, le flegme permanent d'Alec Guinness et le profil inquiétant d'Anthony Quinn. Avec un seul et unique plan fixe non réel, c'est une prouesse technique impossible à reproduire aujourd'hui, menée à bien par une patience infinie et une équipe profondément investie dans sa mission. L'évolution psychologique de L'Anglais est sidérante et parfaitement dépeinte, tantôt émouvante et tantôt effrayante, chacune de ses réactions est compréhensible. La réalisation est encore une fois dantesque entre coupes astucieuses, magnificence des paysages, prises de temps infinies sur certains plans mémorables ou encore combats filmés sans trop en montrer, il est difficile d'y trouver le moindre défaut. On n'oubliera évidemment pas la direction parfaite de centaines de figurants et d'animaux, l'extraordinaire musique de Maurice Jarre ni la beauté des costumes sublimés dans cette version restaurée. Toute cette épopée pour mourir aussi bêtement... ah la la !
Le Docteur Jivago (1965)
La vie du pauvre Docteur Jivago n'a pas été des plus calmes et généreuses, les aléas de la vie lui ayant mis à plusieurs reprises la tentation dans son sillage : Lara. Tiraillé entre deux femmes, envoyé de gré et de force sur le front, sans cesse forcé de fuir, son histoire sous la caméra de David Lean prend une dimension épique et magnifique. Même si le fond de révolution russe parait quelque peu obscur pour les non-initiés, le récit se révèle passionnant et d'une puissance émotionnelle rare passant essentiellement par les yeux de l'extraordinaire Omar Sharif. Si le thème musical de Lara est entré dans la culture mondiale depuis 50 ans déjà, on retiendra également les somptueux paysages/lieux et les transitions toujours bien pensées. La photographie et la mise en scène ne laissent donc rien au hasard et permettent de s'émerveiller à tout moment d'un simple détail, même lorsque la narration se fait plus lente. Les 3h20 se déroulent ainsi rapidement et sans ennui tout en laissant une impression de grandeur, celle d'avoir accompagné un homme d'exception durant la majeure partie de sa vie.
La Route des Indes (1984)
Ultime production de David Lean, La Route des Indes exerce encore une fois une fascination sans pareille. L'Inde est absolument magnifique et fabuleusement mise en image autant dans sa nature profonde que dans les rues de Chandrapore. A cause d'un "voyage" qui n'est finalement qu'une sortie du dimanche, le film manque d'envergure par rapport à ce dont le cinéaste nous avait habitué mais le récit n'en est pas pour autant moins passionnant. La colonisation britannique est bien marquée, opposant systématiquement les anglais et les indiens, les premiers refusant de se mêler à la population locale en reproduisant leur vie quotidienne sur place. La culture indienne soulève brillamment le mystère et le désir, thèmes centraux du film au moment du passage des grottes. Œuvre profondément intimiste, sa réalisation est toujours grandiose, enchainant les plans cartes postales et les scènes mémorables comme la rencontre entre Mrs Moore et le Dr Aziz, le splendide final ou la montée vers Marabar. Le jeu des acteurs est par ailleurs criant de vérité et de sincérité, Victor Banerjee en tête, et l'on retrouve encore Alec Guinness, méconnaissable sous son grimage.
Conclusion
Une semaine fascinante avec 12h18 de films et 21 Oscars au compteur. Thaïlande, Arabie, Russie, Inde, David Lean aime les grandes fresques et les quêtes de personnages emblématiques capables de résonner dans tout le pays. Ses épopées seront toujours suivies par son acteur fétiche, Alec Guinness Kenobi, que l'on ne reconnait pas toujours mais qui reste convaincant autant en Américain qu'en Russe, Indien ou Arabe. On notera également le goût déjà prononcé d'Omar Sharif pour les animaux à monter tels chevaux et chameaux, et j'en profite pour lui rendre hommage. Découvrir ces monuments du cinéma (pas tous pour la première fois) en quelques jours a été une expérience très particulière : une avalanche d'images inscrites à jamais, des musiques cultes déjà connues et un émerveillement permanent face à autant de maîtrise de l'art.
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