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Faudra vraiment que j'essaye ... je ne suis pas du tout attiré par le style. ça sonne tres intello bobo je trouve ... mais je vais essayer pour voir ce que ça donne .
C'est vrai que c'est un peu "intello bobo" (encore faudrait-il définir un peu mieux cet adjectif) mais c'est un peu "djeune" aussi avec ses choix bien calculés de morceaux où l'on va voir les acteurs déambuler, mais je répète que les émotions qu'il veut nous transmettre sont très justes et non surfaits.
Si la question est : le film Mommy est-il destiné à un public intellectuel bourgeois-bohème ?
La réponse est : non, absolument pas.
Le film peut toucher n'importe qui, de n'importe quelle classe sociale et ne demande absolument pas un haut niveau intellectuel pour l'apprécier.
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Bien sûr mais je pense que Clement1138 utilisait ce terme pour parler de films qui plaisent beaucoup à Télérama et consort, et je te rejoins tout à fait dans le fait que la dramaturgie, les relations familiales et la nostalgie qui transpirent dans chacun de ces films peuvent toucher tout le monde.
Mais je maintiens que son dernier sera beaucoup plus difficile d'accès que Mommy à cause des longs silences de Gaspard Ulliel et le huit clos tout au long du film
Dernière modification par pak13 (25-09-2016 16:46)
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Oui c'est bien ce que je voulais dire.
C'est assez difficile a expliquer... J'aime différencier cinéma d'auteur (pas du tout péjoratif) et cinéma intello (péjoratif pour moi).
Un espece de cinéma prétentieux, nombriliste, qui donne l'impression de dire au spectateur et SURTOUT à la presse dite "intello" : "vous avez vu le génie que je suis ! ".
Le coté je filme en 4/3 avec une image dégueulasse, tres clipesque (je n'ai vu que la BA ... c'est pour ça que tout ça reste au conditionnel et que je ne critique pas le film mais que j'expose mon appréhension), ça fait pencher la balance selon moi du cinéma intello ...
Melancholia vu ton pseudo et certains messages que tu avais posté de mémoire, tu adores Lars von Trier, qui représente exactement un cinéma d'auteur pas intello (meme si on le qualifie de génie rapidement sur certains aspects : genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux ... mouais. Mais la n'est pas le débat).
J'ai eu un peu ce meme sentiment en voyant le débat autour de "la vie d'adele". Le peu que j'ai vu, c'est peut etre des situations plus réalistes que la moyenne, mais une caméra tremblotante à l'excès en train de filmer en gros plan une actrice en train de chialer la moitié du temps avec de la morve qui coule "pour que ça fasse vrai" ... ce n'est pas ma vision d'un bon film.
Ceci dit j'ai vu plusieurs interviews de Dolan (notamment dans on n'est pas couché), le gars est très intéressant à écouter, et n'a pas l'air d'avoir la grosse tete ... Son attitude me donner envie d'essayer son cinéma, mais clairement pas les bandes annonces
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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La première vidéo qui est montrée, quand je me remémore le "Triello" de Leone dans le bon la brute et le Truand, je me dis qu'il y a une différence entre le bon réalisateur et le mauvais réalisateur !
TV : LG50PK250 - Platine Panasonic DMP BD-35 - HC 7.1 Marantz SR5003 - HiFi Marantz PM8003+Marantz CD6005 - Vidéoprojecteur Optoma HD141X+Lumène Embassy 240
1295 blu-ray et 742 DVDs
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Oui c'est bien ce que je voulais dire.
C'est assez difficile a expliquer... J'aime différencier cinéma d'auteur (pas du tout péjoratif) et cinéma intello (péjoratif pour moi).
Un espece de cinéma prétentieux, nombriliste, qui donne l'impression de dire au spectateur et SURTOUT à la presse dite "intello" : "vous avez vu le génie que je suis ! ".Le coté je filme en 4/3 avec une image dégueulasse, tres clipesque (je n'ai vu que la BA ... c'est pour ça que tout ça reste au conditionnel et que je ne critique pas le film mais que j'expose mon appréhension), ça fait pencher la balance selon moi du cinéma intello ...
Melancholia vu ton pseudo et certains messages que tu avais posté de mémoire, tu adores Lars von Trier, qui représente exactement un cinéma d'auteur pas intello (meme si on le qualifie de génie rapidement sur certains aspects : genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux ... mouais. Mais la n'est pas le débat).
J'ai eu un peu ce meme sentiment en voyant le débat autour de "la vie d'adele". Le peu que j'ai vu, c'est peut etre des situations plus réalistes que la moyenne, mais une caméra tremblotante à l'excès en train de filmer en gros plan une actrice en train de chialer la moitié du temps avec de la morve qui coule "pour que ça fasse vrai" ... ce n'est pas ma vision d'un bon film.
Ceci dit j'ai vu plusieurs interviews de Dolan (notamment dans on n'est pas couché), le gars est très intéressant à écouter, et n'a pas l'air d'avoir la grosse tete ... Son attitude me donner envie d'essayer son cinéma, mais clairement pas les bandes annonces
Tout d'abord, il faut savoir que l'expression "cinéma d'auteur" existe réellement, voilà sa définition : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Cinéma_d%27auteur
Le "cinéma intello" ça n'existe pas, mais je crois avoir compris ce que ça représente pour toi.
Malheureusement, c'est un avis subjectif, donc on ne peut pas comparer ta définition du cinéma "intello" avec le cinéma "d'auteur" qui représente quelque chose de concret.
Il faut que tu saches, comme tu peux le lire sur Wikipédia : "La notion de « film d'auteur » est née en France dans les années 1950 quand les critiques influencés par les théories de Louis Delluc, Alexandre Astruc et André Bazin, qui constitueront par la suite la Nouvelle Vague", en gros, tout ce qui doit représenter pour toi, si j'ai bien compris tes propos, le "cinéma intello" (François Truffaut, Jean-Luc Godard, Jacques Rivette, Claude Chabrol, Éric Rohmer,...).
Il y a donc une réelle incohérence dans tes propos...
Le film Mommy est majoritairement filmé au format 1/1, un carré parfait (et non 4/3 comme tu dis !), mais si tu avais vu le film, tu comprendrais qu'il y a une cohérence à avoir réalisé le film de cette manière... De plus, l'image n'est absolument pas dégueulasse, au contraire, la photographie dans ce film est juste magnifique.
Sinon, oui en effet, j'adore la majorité des films de Lars von Trier, et en effet, on peut le considèrer comme un génie !
Au passage, ça veut dire quoi "genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux" ???
À ma connaissance, Lars von Trier a utilisé du Ramstein seulement dans son dernier film Nymphomaniac et il n'y a rien de "génial", la musique correspond très bien à l'ambiance du film, rien de plus.
Mais encore une fois, il faut avoir vu le film...
C'est pas comme s'il nous avait mis du Ramstein entre du Wagner pendant son film Melancholia.
Et pour finir avec Lars von Trier, je suis très très étonné que ses films représentent pour toi " exactement un cinéma pas intello" !?!?
Encore une fois, es-tu certain d'avoir vu beaucoup de ses films ?
Je ne pense pas, sinon tu ne dirais pas cela, si j'ai bien compris ta définition de "cinéma intello".
Il suffit de te donner 2 exemples de ses films : Les Idiots et Le Direktør. Là, je pense concrètement, selon ta "définition", que tu pourrais dire que ce sont des films "intellos".
Il faudrait se renseigner un minimum avant de parler d'un réalisateur qu'on ne connait pas bien ou seulement de nom ! Sinon, ce n'est pas la peine d'en parler ou de l'utiliser comme exemple...
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A Nos Amours :
C'est difficile de parler du cinéma de Maurice Pialat, on peut y etre totalement hermétique et le trouver chiantissime ou on peut au contraire être touché par sa "Grace" et y voir une sincérité rarement exprimée avec tant de vérité sur grand écran. Je fait partie de la seconde catégorie et j'apprécie doublement les films ou il a accepté de se mettre en scène (A nos amours donc et Sous le soleil de Satan) parce que Pialat était aussi un acteur de grand talent, n’hésitant jamais a s'impliquer et imbriquer sa propre histoire, ses propres doutes, ses colères d'homme et d'artiste lors de mémorables séquences toujours écrites (ou improvisées) avec le souci de "piquer" juste. Mais A nos amours n'est pas qu'un film de Pialat, il est un film pour Sandrine Bonnaire qui n'aura probablement jamais été aussi bien mise en valeur alors qu'elle n’était pourtant qu'une actrice balbutiante. Oui, elle n'aura jamais été aussi "évidente" et c'est cela aussi le cinéma de Pialat, un cinéma d'exigence mais aussi d'amour (L'amour presque paternel qu'il lui portait et qui le décidera pour incarner "Le Père")
Ce film la est sans doute le plus abouti de sa filmographie, lui l’éternel insatisfait qui dira qu'il n'y a "que" 40 minutes de mauvaises dans son film (un authentique compliment dans la bouche d'un tel perfectionniste) un film ou l'on ressent d'ailleurs l'influence grandissante du peintre Pialat, obsédé par l'éclairage et les jeux de lumière qui poursuivent inlassablement chaque saison des amours passagères de Suzanne. L'introduction aura donné le ton quand elle répète maladroitement du haut de ses 15 ans "On ne badine pas avec l'amour" Rien de bien mystérieux la dedans, juste un décor planté avec gout quand les scènes qui s'en suivront ne feront que donner un écho supplémentaire a ce constat qu'impose avec conviction l'homme derrière le réalisateur. Mais A nos amours c'est aussi Cold Song de Klaus Nomi et c'est surtout l'autopsie du malheur ordinaire des familles en crise, a coup de cris, de baffes et de canardages en règle comme lors de la scène du diner en toute fin de film, sans aucun doute l'une des plus puissante de l'histoire contemporaine du cinéma Français.
Privilégiant l'idée que comme une toile, un film peut prendre des directions contraires a l'objectif qu'on lui avait fixé, Pialat nous livre une œuvre dont le fil narratif s'est évasé dès le préambule quand le cinéaste s'est mis a aimer plus son actrice que son film et c'est bien cela qui lui donne une résonance et une place particulière dans le patrimoine culturel français.
"T'en as plus qu'une, elle est partie quand l'autre ? Non ? Ben t'avais 2 fossettes avant la"
- "Ouais j'en avais deux je sais..."
- "Et pourquoi l'autre elle est plus la ?"
- "J'sais pas... elle en avait marre elle aussi, elle est partie"
Attention, Chef d'œuvre.
Membre du C.A.S (Comité Anti-Steelbook) "I wanted to rub the human face in its own vomit and force it to look in the mirror"
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La 1ère vidéo, de "Mommy", postée hier soir à 23H32, je ne peux pas la voir, il y a un message comme quoi la vidéo inclut du contenu de Diaphana qui l'a bloqué pour des raisons de droits d'auteur
Tiens, voilà une autre vidéo de la même scène en question (j'espère que celle-ci marchera chez toi) :
[video=480,360]http://youtu.be/r33wfcPUXvE[/video]
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A Nos Amours :
https://images-eu.ssl-images-amazon.com … _QL65_.jpg
C'est difficile de parler du cinéma de Maurice Pialat, on peut y etre totalement hermétique et le trouver chiantissime ou on peut au contraire être touché par sa "Grace" et y voir une sincérité rarement exprimée avec tant de vérité sur grand écran. Je fait partie de la seconde catégorie et j'apprécie doublement les films ou il a accepté de se mettre en scène (A nos amours donc et Sous le soleil de Satan) parce que Pialat était aussi un acteur de grand talent, n’hésitant jamais a s'impliquer et imbriquer sa propre histoire, ses propres doutes, ses colères d'homme et d'artiste lors de mémorables séquences toujours écrites (ou improvisées) avec le souci de "piquer" juste. Mais A nos amours n'est pas qu'un film de Pialat, il est un film pour Sandrine Bonnaire qui n'aura probablement jamais été aussi bien mise en valeur alors qu'elle n’était pourtant qu'une actrice balbutiante. Oui, elle n'aura jamais été aussi "évidente" et c'est cela aussi le cinéma de Pialat, un cinéma d'exigence mais aussi d'amour (L'amour presque paternel qu'il lui portait et qui le décidera pour incarner "Le Père")
Ce film la est sans doute le plus abouti de sa filmographie, lui l’éternel insatisfait qui dira qu'il n'y a "que" 40 minutes de mauvaises dans son film (un authentique compliment dans la bouche d'un tel perfectionniste) un film ou l'on ressent d'ailleurs l'influence grandissante du peintre Pialat, obsédé par l'éclairage et les jeux de lumière qui poursuivent inlassablement chaque saison des amours passagères de Suzanne. L'introduction aura donné le ton quand elle répète maladroitement du haut de ses 15 ans "On ne badine pas avec l'amour" Rien de bien mystérieux la dedans, juste un décor planté avec gout quand les scènes qui s'en suivront ne feront que donner un écho supplémentaire a ce constat qu'impose avec conviction l'homme derrière le réalisateur. Mais A nos amours c'est aussi Cold Song de Klaus Nomi et c'est surtout l'autopsie du malheur ordinaire des familles en crise, a coup de cris, de baffes et de canardages en règle comme lors de la scène du diner en toute fin de film, sans aucun doute l'une des plus puissante de l'histoire contemporaine du cinéma Français.
Privilégiant l'idée que comme une toile, un film peut prendre des directions contraires a l'objectif qu'on lui avait fixé, Pialat nous livre une œuvre dont le fil narratif s'est évasé dès le préambule quand le cinéaste s'est mis a aimer plus son actrice que son film et c'est bien cela qui lui donne une résonance et une place particulière dans le patrimoine culturel français.
"T'en as plus qu'une, elle est partie quand l'autre ? Non ? Ben t'avais 2 fossettes avant la"
- "Ouais j'en avais deux je sais..."
- "Et pourquoi l'autre elle est plus la ?"
- "J'sais pas... elle en avait marre elle aussi, elle est partie"Attention, Chef d'œuvre.
En effet, À nos amours est assurément le meilleur film de Maurice Pialat avec aussi Sous le soleil de Satan !
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Clement1138 a écrit :Oui c'est bien ce que je voulais dire.
C'est assez difficile a expliquer... J'aime différencier cinéma d'auteur (pas du tout péjoratif) et cinéma intello (péjoratif pour moi).
Un espece de cinéma prétentieux, nombriliste, qui donne l'impression de dire au spectateur et SURTOUT à la presse dite "intello" : "vous avez vu le génie que je suis ! ".Le coté je filme en 4/3 avec une image dégueulasse, tres clipesque (je n'ai vu que la BA ... c'est pour ça que tout ça reste au conditionnel et que je ne critique pas le film mais que j'expose mon appréhension), ça fait pencher la balance selon moi du cinéma intello ...
Melancholia vu ton pseudo et certains messages que tu avais posté de mémoire, tu adores Lars von Trier, qui représente exactement un cinéma d'auteur pas intello (meme si on le qualifie de génie rapidement sur certains aspects : genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux ... mouais. Mais la n'est pas le débat).
J'ai eu un peu ce meme sentiment en voyant le débat autour de "la vie d'adele". Le peu que j'ai vu, c'est peut etre des situations plus réalistes que la moyenne, mais une caméra tremblotante à l'excès en train de filmer en gros plan une actrice en train de chialer la moitié du temps avec de la morve qui coule "pour que ça fasse vrai" ... ce n'est pas ma vision d'un bon film.
Ceci dit j'ai vu plusieurs interviews de Dolan (notamment dans on n'est pas couché), le gars est très intéressant à écouter, et n'a pas l'air d'avoir la grosse tete ... Son attitude me donner envie d'essayer son cinéma, mais clairement pas les bandes annonces
Tout d'abord, il faut savoir que l'expression "cinéma d'auteur" existe réellement, voilà sa définition : https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Cinéma_d%27auteur
Le "cinéma intello" ça n'existe pas, mais je crois avoir compris ce que ça représente pour toi.
Malheureusement, c'est un avis subjectif, donc on ne peut pas comparer ta définition du cinéma "intello" avec le cinéma "d'auteur" qui représente quelque chose de concret.
Il faut que tu saches, comme tu peux le lire sur Wikipédia : "La notion de « film d'auteur » est née en France dans les années 1950 quand les critiques influencés par les théories de Louis Delluc, Alexandre Astruc et André Bazin, qui constitueront par la suite la Nouvelle Vague", en gros, tout ce qui doit représenter pour toi, si j'ai bien compris tes propos, le "cinéma intello" (François Truffaut, Jean-Luc Godard, Jacques Rivette, Claude Chabrol, Éric Rohmer,...).
Il y a donc une réelle incohérence dans tes propos...
Le film Mommy est majoritairement filmé au format 1/1, un carré parfait (et non 4/3 comme tu dis !), mais si tu avais vu le film, tu comprendrais qu'il y a une cohérence à avoir réalisé le film de cette manière... De plus, l'image n'est absolument pas dégueulasse, au contraire, la photographie dans ce film est juste magnifique.
Sinon, oui en effet, j'adore la majorité des films de Lars von Trier, et en effet, on peut le considèrer comme un génie !
Au passage, ça veut dire quoi "genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux" ???
À ma connaissance, Lars von Trier a utilisé du Ramstein seulement dans son dernier film Nymphomaniac et il n'y a rien de "génial", la musique correspond très bien à l'ambiance du film, rien de plus.
Mais encore une fois, il faut avoir vu le film...
C'est pas comme s'il nous avait mis du Ramstein entre du Wagner pendant son film Melancholia.Et pour finir avec Lars von Trier, je suis très très étonné que ses films représentent pour toi " exactement un cinéma pas intello" !?!?
Encore une fois, es-tu certain d'avoir vu beaucoup de ses films ?
Je ne pense pas, sinon tu ne dirais pas cela, si j'ai bien compris ta définition de "cinéma intello".Il suffit de te donner 2 exemples de ses films : Les Idiots et Le Direktør. Là, je pense concrètement, selon ta "définition", que tu pourrais dire que ce sont des films "intellos".
Il faudrait se renseigner un minimum avant de parler d'un réalisateur qu'on ne connait pas bien ou seulement de nom ! Sinon, ce n'est pas la peine d'en parler ou de l'utiliser comme exemple...
De Lars von Trier je n'ai vu que la fin de sa filmo (antéchrist, mélancholia, Nymphomaniac). Je donnais comme exemple le morceau de Ramstein de Nymphomaniac pour souligner que certains critiques aiment se croire "intello" et balancent des arguments completement debiles pour défendre certains films. Toi tu as pris ça comme un vrai choix artistique qui correspond à l'univers du film (à raison). Le probleme étant que beaucoup de gens soulignent le fait qu'il aurait utilisé ce morceau pour souligner son coté borderline et provocateur (le metal n'est pas vraiment un genre apprécié par pas mal de gens, et est meme pas mal méprisé).
Et meme si la définition de cinéma d'auteur est apparu en France avec la nouvelle vague, ce terme est devenu je trouve dans le langage courant bien plus large. De nombreux cinéastes qui ne sont pas du tout les héritiers de la nouvelle vague originelle sont cependant considérés comme des auteurs.
Maintenant quand on parle de cinéma d'auteur il s'agit simplement d'un réalisateur ayant une certaine récurrence et un caractere cyclique dans les themes qu'ils abordent (la trilogie officieuse de Inarritu Amour chienne/Babel/21 grammes par exemple; ou meme du cinéma plus mainstream comme celui de Nolan).
PS : pas la peine de prendre un ton hautain et prétentieux en présumant ce que je connais ou non ... ici on donne son avis et pas des leçons. Si tu avais bien lu et que tu me connaissais un peu plus, tu saurais tres bien que je ne critique pas ce que je ne connais pas. Pour Dolan j'ai dit expressément que je n'avais PAS vu son film et je parlais de mon appréhension quant à son cinéma. Je n'ai nul part critiqué le film....
Lars Von Trier je n'en ai vu effectivement que 3, mais j'ai vite compris que pour moi contrairement à toi il ne rentre absolument pas dans la catégorie des génies. Surtout que plus haut dans mes propos je ne parle pas de MON avis concernant ses films mais celui d'une presse bobo ...
Dernière modification par Clement1138 (26-09-2016 08:10)
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Je viens de finir ce film ! Ouah agréablement surpris !! Des airs de Fargo !
Vous l'avez déjà vu ? Je vous le conseille.
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BREF pour les intimes.
www.blurayenfrancais.com
www.blurayenfrancais.com/forum
www.ultra-hd-blu-ray.fr
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Effectivement, et tu as l'air de penser la même chose que moi
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J'avais failli le prendre quand il était autour de 5€ sur amazon mais des critiques plutôt tièdes m'avaient refroidi.
Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin.
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Oui c'est bien ce que je voulais dire.
Melancholia vu ton pseudo et certains messages que tu avais posté de mémoire, tu adores Lars von Trier, qui représente exactement un cinéma d'auteur pas intello (meme si on le qualifie de génie rapidement sur certains aspects : genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux ... mouais. Mais la n'est pas le débat).
Au passage, ça veut dire quoi "genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux" ???
À ma connaissance, Lars von Trier a utilisé du Ramstein seulement dans son dernier film Nymphomaniac et il n'y a rien de "génial", la musique correspond très bien à l'ambiance du film, rien de plus.
Mais encore une fois, il faut avoir vu le film...
C'est pas comme s'il nous avait mis du Ramstein entre du Wagner pendant son film Melancholia.
..
merci de ne pas massacré le nom du groupe Rammstein
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J'avais failli le prendre quand il était autour de 5€ sur amazon mais des critiques plutôt tièdes m'avaient refroidi.
Tu aurais du! Tu peux l'avoir pour 5 euros et quelques là sur amazon en premium.
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Je crois que c'est cette critique qui m'avait dissuadé de le prendre.
Tout dans la vie est une affaire de choix, ça commence par la tétine ou le téton, ça se termine par le chêne ou le sapin.
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Je crois que c'est cette critique qui m'avait dissuadé de le prendre.
Tu devrais vraiment le prendre. Car je suis sur que peu de personnes sont de son avis. Cédric et moi ne nous sommes pas ennuyé (je suppose pour Cédric vu qu'il a apprécié) mais le critique est beaucoup trop dur avec le film. Je le trouve vraiment trop dur avec le film, et ne suis pas de son avis, je pense (j'espère) ne pas être le seul à penser ça.
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Depuis quand tu te fies aux critiques, Yannick ? ]:D
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Clement1138 a écrit :Oui c'est bien ce que je voulais dire.
Melancholia vu ton pseudo et certains messages que tu avais posté de mémoire, tu adores Lars von Trier, qui représente exactement un cinéma d'auteur pas intello (meme si on le qualifie de génie rapidement sur certains aspects : genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux ... mouais. Mais la n'est pas le débat).
Au passage, ça veut dire quoi "genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux" ???
À ma connaissance, Lars von Trier a utilisé du Ramstein seulement dans son dernier film Nymphomaniac et il n'y a rien de "génial", la musique correspond très bien à l'ambiance du film, rien de plus.
Mais encore une fois, il faut avoir vu le film...
C'est pas comme s'il nous avait mis du Ramstein entre du Wagner pendant son film Melancholia.
..merci de ne pas massacré le nom du groupe Rammstein
À vrai dire, j'ai écrit le nom du groupe comme Clement1138 l'avait écrit, c'est à dire avec seulement un "m". Je ne suis pas allé vérifier l'orthographe. Faut m'excuser, je ne connais ce groupe que de nom (ou presque), je n'ai absolument pas l'habitude d'écouter ce genre de musique...
PS : Merci à toi de ne pas massacrer la langue française !
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Clement1138 a écrit :Oui c'est bien ce que je voulais dire.
Melancholia vu ton pseudo et certains messages que tu avais posté de mémoire, tu adores Lars von Trier, qui représente exactement un cinéma d'auteur pas intello (meme si on le qualifie de génie rapidement sur certains aspects : genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux ... mouais. Mais la n'est pas le débat).
Au passage, ça veut dire quoi "genre mettre du ramstein dans ce genre de film, tout le monde trouve ça incroyablement ingénieux" ???
À ma connaissance, Lars von Trier a utilisé du Ramstein seulement dans son dernier film Nymphomaniac et il n'y a rien de "génial", la musique correspond très bien à l'ambiance du film, rien de plus.
Mais encore une fois, il faut avoir vu le film...
C'est pas comme s'il nous avait mis du Ramstein entre du Wagner pendant son film Melancholia.
..merci de ne pas massacré le nom du groupe Rammstein
C'est vrai que j'aurais dû vérifier un ptit coup avant
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
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