Vous n'êtes pas identifié(e).
Alien Covenant. avant tout, j'aime bien Alien mais je ne suis pas un fan inconditionnel.
Pour bien faire les choses, j'ai revu Prometheus juste avant. J'ai beaucoup aimé Prometheus. Il n'est pas parfait, mais il c'est un bon film de SF. C'est vrai qu'il ne s'imbrique peut être pas parfaitement dans l'ancienne triologie Alien, mais bref.
Passons à Covenant. Déjà, dès le début du film, j'avais l'impression d'être devant un sous Alien/Prometheus: réalisation moins classe, casting de personnages lourdingue (on en parle de tenessee...? )... Une sensation d'être devant une serie B, d'être devant la suite du dernier Alien vs Predator.
Bon, je la coupe courte, la suite du film a bien confirmé cette sensation.
Les acteurs sont vraiment moyenasse, même Fastbender rame. On suit ça de manière décroché. Les contaminations revoient à AVP. le traitement réservé à l'Alien est très décevant, on dirait le mec de scream avec un déguisement d'alien. si si ^^
Pas de réelle tension, pas de suspense, on ne suffoque pas. L'histoire rame pour ne pas avancer (oui, c'est possible) et on passe son temps à voir ce qui aurait pu être largement mieux fait et a se demander pourquoi ça n'a pas été fait d'ailleurs.
La jonction avec Prometheus se fait mais elle est tellement poussive...
Bref, on était chaud chaud pour regarder ce dernier Alien, on a été plutôt déçu. Même les CGI sont Bof bof.
Bon, tout n'est pas négatif, mais je n'ai pas un point positif à vous faire ressortir, désolé...
Dernière modification par svan (12-10-2017 14:12)
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Je n'arriverai sans doute jamais à rendre aussi bien justice à l'oeuvre de Ridley Scott comme mon pote Francisco a su le faire alors je partage ici sa chronique tout en respectant ton opinion svan .
Chaque avis est bon à prendre et c'est tant mieux pour le cinéma !.
[spoiler]
- If you created me, who created you? ... You will die, i will not.
Comme souvent dans les grandes oeuvres, La scène d'introduction condense à elle seule le propos et le ton du film.
Il sera question de mort et de création.
Défier et dérober le feu des Dieux pour plus de vie.
Le mythe Prométhéen irrigue une grande part de la filmographie de Ridley Scott et particulièrement depuis Blade Runner. Dans la saga Alien, ce parcours de damné, résultant au final de la volonté de puissance, condamne l'ensemble des protagonistes, hormis Ripley. Seule survivante des carnages d'un Alien sans cesse "ressuscité", ce personnage de guerrière semble condamné à revivre sans cesse (quatre films durant) le même supplice. (je pense à Prométhée, attaché à son rocher et se faisant chaque jour dévorer le foie par L'aigle du Caucase avant que celui-ci ne repousse dans la nuit)
Subir les assauts du monstre jusqu'à porter les germes de la destruction.
Depuis Prometheus et aujourd'hui avec Alien Covenant les humains ne sont plus que des jouets. David, l'androïde, l'avatar des hommes, fruit du progrès technologique, a prit le dessus. (Bien vite nous allons réaliser à quel point ces nouvelles oeuvres tant décriées sont prophétiques et augurent d'un avenir presque immédiat où l'intelligence artificielle gouvernera totalement et définitivement nos vies )
A trop s'approcher de la création divine, les humains ont allumés le brasier de leur propre destruction. L'androïde, d'abord allié et outil d'exploration ne peut résister au désir de puissance. Il acquiert sa liberté et se fait lui même créateur et donne naissance à une créature d'apocalypse.
Alien Covenant nous confronte ainsi aux racines comme au mécanisme du mal.
David, modèle d'intelligence artificiel, superbement incarné par le magnétique Michael Fassbender, échoué sur la planète des ingénieurs (créatures apparues dans Prometheus, à l'origine de l'apparition de l'homme sur Terre) a semé la mort et la désolation. Geste de subversion radical. Roi fou, il règne sur une terre ou ne résonne aucun chant d'oiseau ni cri d'animaux. Les seules sources de vie ne sont que les effluves microscopiques de germes tueurs. Inhalés, ils donnent naissance à la bête immonde, condamnant son porteur à une mort atroce et écumante. Amateurs de sensations fortes, soyez rassurés, le contrat gore du survival est ici respecté.
Véritable "Colonel Kurtz" des confins de l'espace, David, L'ex robot exemplaire, a donc consacré les dix ans de son isolement à concevoir le prédateur ultime. Celui par qui surgit l'horreur. (À propos de Kurtz, il plane d'ailleurs dans la nécropole les mêmes ombres et lumières que dans l'antre de "l'ogre"d'Apocalypse Now.) La seule survivante du Prometheus, que le spectateur s'attendait à retrouver, n'est plus de ce monde. La malheureuse a servi de cobaye à ce docteur Frankenstein.
Les repères s'effacent et l'espoir s'évanouit.
Débarqués dans cet univers aux cieux bas et lourds et prisonniers d'une lugubre nécropole peuplée de cadavres fossilisés, on comprend très vite que l'équipage du Covenant est d'emblée condamné.
Ce parcours de survival est écrit d'avance et s'exécute avec une logique aussi implacable que prévisible. Mais ce qui me fascine ici, au-delà du spectacle gore aux effets particulièrement aboutis, c'est la profonde et envoutante beauté de ce grand film morbide.
La direction artistique de l'ensemble est exemplaire. le travail accompli absolument gigantesque.
Esthétiquement, des paysages aux forêts opaques et silencieuses, aux lacs troubles et pâles jusqu'à la sinistre nécropole où sur la grande place centrale les cadavres fossilisés des ingénieurs semblent encore hurler de douleurs, l'obscurité et les ténèbres n'ont jamais été aussi belles!
L'admirable sens du cadre de Scott allié au talent phénoménale du directeur photo Darius Wolski (Prometheus, Dark City, Exodus) délivre, une fois encore, une somptueuse collection de tableaux de maître.
Wagner, Byron, Shelley.
Les citations et références à ces trois grands noms (figures majeures) du romantisme donne le ton.
J'insiste, côté musique (mythe prométhéen toujours) sur le segment l'Entrée des Dieux au Valhalla, issue de L'Or du Rhin de Richard Wagner...
Cet élan romantique traduit bien la soif d'absolu qui habite l'androïde David. Or, l'élan subversif aspirant à repousser les limites et à plonger dans l'inconnu a toujours été le berceau de l'inspiration visionnaire de Ridley Scott depuis ses débuts de cinéaste.
Défier la mort et le néant.
C'est d'ailleurs le mouvement romantique qui, à l'initiative de Byron et dans sa volonté de terroriser le bourgeois, donna naissance au roman gothique. Source de toute la culture Fantastique, SF et horrifique à venir. Un mouvement dont le Frankenstein de Mary Shelley (amante de Byron) reste l'emblème. Un roman dont le sous-titre était "Le Prométhée Moderne". Tout se recoupe et se rejoint. C'est cette fameuse permanence des mythes qui habite l'oeuvre de tous les grands créateurs (qu'ils en soient conscients ou non).
Ridley Scott est un homme de lettres, au grand désarroi des geeks intégristes et des bouffeurs de pop-corn qui ont sortis les armes devant ce survival pour esthètes.
Son film déroute et divise, comme tous les manifestes.
Je vois également Alien Covenant comme une oeuvre profondément nihiliste et enragée.
L'effroi, l'horreur, la souffrance et la mort. Voilà ce qui attend l'équipage du Covenant. Une constante dans tous les films de la Saga sauf qu'ici l'équipage est essentiellement composé de couple. La notion de Deuil s'impose et je ne peux pas alors m'empêcher de lire ici (Ridley Scott travaille étroitement avec les scénaristes et propose souvent l'idée-racine du récit) le propre pessimisme et la propre colère de Scott.
Depuis la mort de son frère, Tony, avec qui il partagea toute sa vie la passion de l'image et avec qui il avait fondé sa propre société de production Scott Free, les films de cet immense cinéaste oscillent entre un côté sombre et violent (Cartel, Alien Covenant) et une recherche purement formelle (Exodus) débouchant parfois sur une profonde aridité scénaristique (Seul sur Mars).
Je fais peut-être de la psychologie de bazar, mais j'ai le sentiment, par cette succession de scène terribles où chacun voit son amour déchiqueté, que Ridley Scott exprime ici toute sa rage et son chagrin.
Alien, Blade Runner.
On n'avait pas fait mieux depuis le 2001 du génie Kubrick.
Thelma et Louise est un phantasme extatique de road-movie et le souffle épique totalement euphorisant de Gladiator a littéralement ressucité le péplum.
Oui, Ridley Scott est un immense cinéaste.
Un génie de l'image.
Même si ces derniers films n'ont pas la puissance des chefs-d'oeuvre que je viens de citer ils restent de grands moments de cinéma.
Au coeur de la noirceur de Covenant, je vois le refuge où Scott reprend souffle et inspiration. Je vais à mon tour citer L'Or du Rhin de Richard Wagner et faire résonner le dernier chant des nymphes :
Dans ces profondeurs seules
on est tendre et fidèle
Ce qui rit là-haut est perfide et lâche !
Francisco,
http://les-chroniques-cine-de-francisco.blog4ever.net/
[/spoiler]
Dernière modification par AntonChigurh (12-10-2017 12:22)
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Met vite un Spoiler STP (Moi j'ai vu le film mais beaucoup n'ont pas du le voir)
Membre du C.A.S (Comité Anti-Steelbook) "I wanted to rub the human face in its own vomit and force it to look in the mirror"
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Merci .
Quelqu'un peut m'expliquer comment mettre les balises spoiler en mp please ?.
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[spoiler]ton texte [/spoiler]
Dernière modification par Xav83 (12-10-2017 13:31)
Un titre défectueux?
Forum: http://bluraydefectueux.com
Blog: http://bluraydefectueux.com/blog
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La jonction avec Prometheus se fait mais le est tellement poussive...
"Le" quoi ?
2212 films DVD depuis 2002 dont 1707 Blu-ray , 656 UHD dont 303 Dolby Vision , 449 Steelbooks et 150 3D depuis juillet 2008.
OLED Panasonic LZ2000 65 "+ Panasonic UB820 & UB450 + Denon X3700H 7.1.2
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svan a écrit :La jonction avec Prometheus se fait mais le est tellement poussive...
"Le" quoi ?
"elle", pardon, j'ai corrigé
@Anto: merci pour cette critique! Honnêtement, je dois être intellectuellement trop limité pour écrire une critique sur un film sans faire de spoiler. C'est pour ça que je fais plutôt des retours et que je me délecte de lire les votres. Non, je n'ai pas une belle plume.
J'aurais sans doute du plus détailler. Mais bon.
J'ai donc lu la critique. bien écrite, riche en référence. En la lisant, je retrouve ce que j'ai vu dans le film. sauf que, et là encore ce n'est que mon avis, l'article le dit tellement mieux que le film!
Même si parfois l'auteur des lignes va un peu loin dans la recherche des références à mon sens, je confirme ce qu'il écrit. Oui on voit tout ça dans Covenant.
sauf que...
Sauf que là, pour moi, il décrit une Clio comme étant une Ferrari. Oui la plastique (design) du film est sublime, c'est travaillé, mais c'est bien le seul aspect de la forme qui rend bien. Encore une fois, j'ai trouvé l'interprétation des acteurs vraiment pas terrible. (D'ailleurs, sauf si j'ai scrollé trop vite, il n'en parle pas beaucoup de la perf des acteurs.)
Dernière modification par svan (12-10-2017 14:23)
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[spoiler] Petit test balise, merci Xav' ! : [/spoiler]
Dernière modification par AntonChigurh (12-10-2017 15:10)
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@svan : Je t'en prie tout le plaisir est pour moi et honnêtement moi aussi je suis trop limité intellectuellement pour écrire une chronique comme celle de mon ami que j'ai posté en page précédente.
Après on est jeune, nous n'avons pas 30 ans d'expériences cinématographiques, littéraires et cie, il est normal qu'un tas de références de l'oeuvre de Ridley Scott puisse nous échapper (la musique de Wagner/le mythe prométhéen/le mouvement romantique etc) cependant ayant vu Apocalypse Now (redux) quelques semaines seulement (trois) avant Alien Covenant, la comparaison avec un certain personnage m'a également sauté à la figure...
Je partage son billet en tous points, Alien Covenant est une de mes plus belles expériences cinématographiques de cette rentrée 2017 avec Brimstone, Jeeg Robot, Wind River etc.
Je n'ai pas honte de le dire, de plus je suis persuadé que je ne suis pas le seul ici à l'avoir adoré (coucou Tyzef ! ).
Je ne serai pas aussi catégorique en disant que :
Ridley Scott est un homme de lettres, au grand désarroi des geeks intégristes et des bouffeurs de pop-corn qui ont sortis les armes devant ce survival pour esthètes.
Son film déroute et divise, comme tous les manifestes.
Mais puisque tu parles voiture, à mon humble avis ce métrage est bel et bien une Ferrari, il a de la force, de la puissance, de la fougue, du caractère...
Je pense que tu es passé à côté du film, chose qui m'arrive également...
Peut-être gagnerais-tu à le revisionner un jour ?.
Oui la plastique (design) du film est sublime, c'est travaillé, mais c'est bien le seul aspect de la forme qui rend bien.
Tu peux en dire plus please ?.
Encore une fois, j'ai trouvé l'interprétation des acteurs vraiment pas terrible. (D'ailleurs, sauf si j'ai scrollé trop vite, il n'en parle pas beaucoup de la perf des acteurs.)
Il parle de "tout le reste" ainsi que de la perf' de l'acteur principal .
L'interprétation de Michael Fassbender est juste excellente et flippante au possible [spoiler] (remember sa dégaine de parfait Androïd, début de film, sa façon de se tenir, marcher, son regard et faciès complètement déshumanisé quand il se trouve face à Guy Pearce son créateur et qu'il lui sert le thé, son sadisme froid, chirurgical et le sourire de "bâtard" sur son visage à la fin quand...). [/spoiler]
Que leur reproches-tu ?.
Billy Crudup, Katherine Waterston et les autres ne sont pas mauvais non plus...
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Vu ce soir Wonder Woman, alors je ne sais pas quoi penser. Ca ressemble beaucoup à un Captain America First Avenger. La beauté de Gal Gadot m'a laissé éveillé durant tout le film, même si pour moi, ça commence à partir en vrille vers la fin. Assez déçu de la qualité du blu ray à part sur certains plans.
Dans l'ensemble un peu déçu quand même, je m'attendais à autre chose. C'est ça d'avoir trop d'attente pour un film.
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WW ça ne sort que le 18 octobre.
2212 films DVD depuis 2002 dont 1707 Blu-ray , 656 UHD dont 303 Dolby Vision , 449 Steelbooks et 150 3D depuis juillet 2008.
OLED Panasonic LZ2000 65 "+ Panasonic UB820 & UB450 + Denon X3700H 7.1.2
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Je confirme je l'ai vu hier
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Strictly Criminal (Black Mass) de Scott Cooper -2015 een VOST :
Très bon film de Scott Cooper, un scénario assez bien mené tiré d'une histoire vraie (inconnue pour ma part), on a pas le temps de s'ennuyer. Le seul regret est comme dans tous les Biopics, il y a des sauts et bonds dans l'histoire, du coup on passe parfois assez vites sur certains événements.
Côté acteur alors là rien à redire du lourd et du très bon, Johnny Deep en tête assez glaçant (la scène du repas est juste effrayante), Joel Edgerton époustouflant (a mille lieux de son rôle pathétique dans Moîse), Benedict Cumberbatch, Kevin Bacon.... Brefs je dirai que tous les seconds rôles sont vraiment bien joués.
Côté technique rien à redire un beau blu-ray et une VO au poil.
Dernière modification par TiCanaillou (15-10-2017 13:56)
TV : LG50PK250 - Platine Panasonic DMP BD-35 - HC 7.1 Marantz SR5003 - HiFi Marantz PM8003+Marantz CD6005 - Vidéoprojecteur Optoma HD141X+Lumène Embassy 240
1295 blu-ray et 742 DVDs
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Je viens de le racheter à une connaissance 2€ en me disant que je ne prenais pas un grand risque...
Xav' en avait dit beaucoup de bien aussi il y a peu, ajouté à ton retour ça donne très envie de le voir rapidement...
Et si le blu-ray est bon techniquement c'est encore mieux.
La dernière apparition de Depp que j'ai vu c'était dans Tusk de Kevin Smith, je l'avais trouvé franchement ridicule même si son personnage se devait d'être caricatural voire surjoué, c'était plus pathétique qu'autre chose...
Je te conseille The Gift et Warrior, Joel Edgerton y est vraiment très bon...
Dernière modification par AntonChigurh (15-10-2017 12:37)
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Pas mal de bons retours en ce moment sur ce Depp, j'attends le Black Friday ou autres il sera a tres bas prix (bon pas autant que Anton mais bon)
-Changement pour le Samsung UE55ES6100 3D active
-home Cinema Philips Hts7200 3D
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"99homes"
QOL inside! Pas eu de problème!
Le blu-ray (en 50i) délivre une image tout à fait lumineuse à la colorimètrie chaude qui reflète bien le lieu ou se situe l'action: la Floride!
Un très léger "frétillement" qui n'est pas du tout déplaisant visible sur quelques plans. Contrastes et définition sont de la partie
La VODTSHDMA 5.1 délivre des dialogues clairs et audibles sans aucun problème, l'immersion y est modérée.
Un "agent immobilier"/"Businessman" qui rachète des maisons sur saisies à tour de bras en expulsant ses habitants prend comme homme de main un ancien expulsé qui veut racheter sa maison celui-ci se retrouve de l'autre coté de la barrière et se met à son tour à expulser.
Un film qui fait froid dans le dos.
"Traque à Boston"
Le blu-ray délivre une image qui est top définition, piqué contrastes appuyés comme ils se doivent et noirs d'encre. Le film mélange très habillement image "cinéma" et image d'archives donc réelles.
La VODTSHDMA 5.1 délivre une bande son puissante, le blast (joué sous plusieurs angles) de l'explosion, la scène "de guerre" dans une rue de Watertown pour capturer un des frères Tsarnaev. Une immersion de qualité (je pense aux balles qui traversent l'habitacle d'une voiture par exemple) Belle clarté des dialogues sur la centrale.
Une descente heure par heure dans l'enquête visant à capturer les auteurs de l'attentat. Haletant, captivant!
"Brimstone"
Une image parfaite en tout point! Les noirs sont profonds la colorimétrie "froide" en phase avec l'aspect général du film (très noir), la définition offre une vision inégalée sur les superbes paysages parsèment le film.
M6 à fait un effort on dirait, aucun problème de volume sur la VODTSDMA 5.1 qui s’avérera parfaitement équilibrée et dynamique, surtout sur les dialogues, offrant un bon niveau d'écoute. Les coups de feu sonnent avec beaucoup d'impact. Tandis que la musique inquiétante baigne le film sur tout sa longueur.
Moi qui pensait (ce que j'avais dit à AntonC.) que c'était un film de recyclage pour quelques acteurs de GoT (genre un dtv), me suis bel et bien trompé, nous sommes en présence d'une belle pépite divisée en chapitre. Un 2ème visionnage s'impose.
Une jeune fille et traquée depuis sa prime jeunesse par un personnage balafré au comportement inquiétant qui s'annonce comme étant un révérend.
Un titre défectueux?
Forum: http://bluraydefectueux.com
Blog: http://bluraydefectueux.com/blog
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Content d'avoir pu te faire changer d'avis concernant Brimstone...
Ça aurait été dommage de passer à côté pareil métrage...
Traque à Boston a l'air pas mal du tout !.
Je l'acheterai un jour...
Dommage que 99 homes soit un QOL, le film doit être bon, jamais vu en occaz' pour ma part.
Dernière modification par AntonChigurh (15-10-2017 20:17)
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Oui, je l'ai vu sur une chaine de canal+ il y a quelques mois, je l'ai trouvé excellent.
Je me souviens par-contre de certains retours négatifs ici même, je ne sais plus qui n'a pas du tout aimé, je me souviens qu'ils étaient plusieurs. Et du coup avant de commencer à regarder le film, j'avais des à-prioris à cause des retours négatifs que j'ai lus ici.
Oui il y avait eu des avis négatifs qui m'a aussi a l'époque refroidi
-Changement pour le Samsung UE55ES6100 3D active
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Dark Crystal (The Dark Crystal) de Jim Henson & Frank Oz -1982 en VOST :
Bon ben je suis plutôt mitigé concernant ce film d'animation. Ce n'est pas tant l'animation en elle-même, l'oeil s'habituant assez vite à ces marionnettes, mais plutôt la trame narrative de l'histoire qui tombe quand même dans le simplissime et le convenu. Du coup on passe trop vite sur certains éléments de l'histoire, et parfois on passe trop de temps sur des choses futiles. Bref ce qui est dommage c'est qu'on soit à mi-chemin entre le comte pour enfants (grands quand même) et l'histoire d'aventure pure. De plus, même si l'univers semble fouillé, on n'est quand même déçu que les personnages se limitent à 10 Seksis, 10 Mystics et 2 Gelflins...
Côté technique on sent que le film a de l'âge et malheureusement on a du bon (notamment certains plans rapprochés ou dans la forêt) mais surtout beaucoup de plans qui accusent le coup (scènes extérieurs, intérieurs sombres), où le piqué fait défaut et ça fourmille pas mal... Dommage qu'on n'ai pas remastérisé ce film, ça lui aurait fait du bien !
Côté son par contre, si on regarde en VO (ne surtout pas regarder en VF), là on sent que le travail de masterisation a été correctement fait, les voix sont belles et présentes, avec une belle dynamique et une bande originale vraiment incroyable.
Conclusion : à voir comme une curiosité cinématographique, tant par l'histoire que par le style d'animation, mais ne vous attendez pas à être "émerveillés", que ce soit par l'histoire ni par la qualité du blu-ray.
Dernière modification par TiCanaillou (17-10-2017 15:20)
TV : LG50PK250 - Platine Panasonic DMP BD-35 - HC 7.1 Marantz SR5003 - HiFi Marantz PM8003+Marantz CD6005 - Vidéoprojecteur Optoma HD141X+Lumène Embassy 240
1295 blu-ray et 742 DVDs
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Pareil. Voir pire. Pas trop aimé à sa sortie et encore moins en BD.
GREED is EVIL + AvoId
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