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Tu parles de la scene du sous sol ou il est question de nourriture ? (pour rester vague) ... c'est la meilleure scene du film
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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Celle de Forrest Gump
Mais oui celle du sous-sol est magnifique. Toute la séquence des ruines avec la photo de Roger Deakins façon Skyfall
Dernière modification par Klinsmann (20-01-2020 11:53)
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Celle de Forrest Gump
Mais oui celle du sous-sol est magnifique. Toute la séquence des ruines avec la photo de Roger Deakins façon Skyfall
bizarrement pour la scene dont tu parles j'attendais quelque chose de plus épique ... enfin la scene en elle meme est réussie et la musique de Newman est comme d'habitude superbe, mais la finalité de la scene fait vite retomber le soufflé ... meme si le coté désenchanté n'est pas fait pour me déplaire... j'ai trouvé que ça tuait le coté épique dans l'oeuf
Dernière modification par Clement1138 (20-01-2020 11:59)
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Je précise au cas où mais je parle de la seconde séquence Forrest Gump (donc pas celle d’Escout). Et j’ai été transporté par la musique à ce moment précis. C’est très court mais très intense.
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Je précise au cas où mais je parle de la seconde séquence Forrest Gump (donc pas celle d’Escout). Et j’ai été transporté par la musique à ce moment précis. C’est très court mais très intense.
Je pensais bien à la meme scene, c'est un de gros morceaux du film.
En tout cas je ne descends pas le film du tout, j'ai tres hate de l'acheter, mais j'attendais un peu +
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yannickv a écrit :Content de te lire ici l'ami langeikki, bonne année et continue tes critiques, bises
C'est vrai que je me fais rare, mais j'essaie de passer de temps en temps pour parler ciné:) Surtout quand j'ai un coup de coeur ! Si tu ne l'as pas vu, je te conseille vraiment Ne coupez pas ! (one cut of the dead) C'est typiquement le genre de films qui devrait t'amuser mais il a une grosse réputation donc tu dois connaître Sinon Koko di koko da est un film de genre très particulier mais j'ai adoré. Il a été très peu diffusé en salles si je ne m'abuse juste dans 2 salles : (Luminor et lucernaire) Un film extrêmement émouvant (de mon point de vue) avec très peu de moyens. Arriver à ça en partant de la simple mélodie d'une comptine (le coq est mort) et illustrer ainsi le deuil insurmontable c'est vraiment magnifique. Belle année à toi aussi, j'espère que tu as la santé et que toute ta famille va bien Yannick À bientôt ici ou ailleurs.
Dommage d'ailleurs qu'il n'existe pas en Blu ray Ne coupez pas alors qu'en dvd c'est déjà une arlésienne
Donner coup pour coup, dédain pour dédain, trépas pour trépas, il pour il, bosse pour bosse! Faite de vous une terreur pour votre adversaire, et quand il aura eu ce quil mérite, il y réfléchira à deux fois avant de recommencer. Ainsi vous vous faites respecter durant toute votre vie, et votre esprit (votre esprit immortel) ne vivra pas dans un paradis intangible, mais dans les cerveaux de ceux dont vous aurez gagné le respect.
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An Elephant Sitting Still :
Qu'arrive-t-il quand on est déshabillé de son corps social, détaché de son corps familial et bouté hors de son corps moral ? Que reste-t-il à vivre ? Que reste il de nous ? C'est je crois ce qu'a voulu montrer Hu Bo dans An Elephant Sitting Still. En filmant au plus près des individus errants cherchant à se défaire d'une vie triste et vaniteuse, fuyant vers Manzhouli, paradis perdu où trônerait un Éléphant immobile et silencieux; Il matérialise sans aucun misérabilisme la désespérance des déchus, ceux qui n'ont et ne sont (plus) rien. Au bout des 3h54, après avoir suivi les quatre personnages principaux dans leurs déambulations, partagé leurs rencontres et leurs adieux, profité d'acteurs magnifiés et des elegies à la guitare de Hua Lun : Un geste cinématographique indélébile et puissant qui trouve son épilogue tragique dans le suicide de son auteur à peine la post production achevée. C'était beau et immersif, un plaidoyer contre le renoncement auquel Hu Bo à lui même succombé. In memoriam
Dernière modification par langeikki (21-01-2020 22:00)
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First Love : Le Dernier Yakuza
Mon premier fou rire ciné de 2020 est a mettre au crédit de Takashi Miike qui propose avec First Love un ovni qui commence comme un polar sombre de facture classique avant de rapidement se barrer en couille, faisant émerger tout un tas de personnages hauts en couleurs qui vont enchainer poursuites, quiproquos, mensonges, trahisons et alliances de fortune. Il y aura un peu de Kung Fu, du défonçage de cranes, un combat au sabre, des mandales par dizaines et pas mal de balles perdues mais surtout un coté cartoon (pas seulement au sens figuré ) vraiment fun et totalement décomplexé. Le scénario n'est pas follement original mais le sel de ce film ce sont les situations burlesques qui s'enchainent a un rythme effréné, parfaitement mises en "musique" par Miike qui n’hésite pas non plus a mettre des petits tacles "politiques" a bon escient (la scène avec l'infirmière saoule : Hilarante !) Ca tire un peu la langue sur la fin mais le plaisir ressenti passe volontiers sur certains rebondissements prévisibles et des gags recuits. Un très bon antidépresseur "naturel" a consommer sans modération
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Très drôle cette scène en effet. Dommage que tout ne soit pas du même tonneau. Mais film agréable.
GREED is EVIL + AvoId
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1917 :
C'est assez déstabilisant de se croire dans un parc d'attractions quand on va au cinéma. C'est pourtant l'impression "subie" tout au long de 1917. Il aura fallu un peu moins de 30 ans pour voir arriver ce genre de films directement en salles. Est ce que c'est positif ? J'aurais tendance a dire que oui car je suis pour que l'éventail de genre et de choix soit le plus large possible; en tout domaines.
La démonstration technique est impressionnante il n'y a pas vraiment de débat la dessus. Reste tout de même a questionner le bien fondé de cette avalanche de prouesses qui a tout de même tendance a transformer la trame scénaristique en une simple succession de péripéties. L'horreur des usages de chair a canon reléguée loin, très loin derrière les cadavres sur fonds vert. Le vrai point positif du film allant pour ma part vers le biais sentimental qu'a choisi Sam Mendes pour illustrer la guerre. Pas niais comme Spielberg et son pathétique War Horse, mais bien sentimental et lyrique. Dans 1917 il interprète les souvenirs de son grand père en créant l'alchimie entre le fantasme héroïque et la crasse du réel, une poésie des images justifiant alors la débauche d'effets et le surréalisme des images proposées. A ce titre, 1917 s'ajoute a la liste des films qui font de la mémoire leur pierre angulaire, une marque indéniable de réussite.
Dernière modification par langeikki (24-01-2020 11:33)
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Je suis pas tout à fait d'accord quant au bien fondé de la forme du film.
Tous les films ne se prêteraient pas au plan séquence intégrale je suis d'accord, mais la c'est assez justifié je trouve. ça permet une bien plus grand immersion et sentir le danger constant de la guerre, ce que les coupes peuvent empecher ... Ici aucun répis, meme dans les moments calme tout peut arriver.
Apres ce que j'ai reproché au film, et je pense que c'est aussi le fond de ta pensée, c'est qu'on a l'impression que les gars se sont dit "bon on fait un film sur la 1ere guerre mondiale en plan séquence ... quel scénar irait bien ? ah ouais une mission urgente sur moins de 24h à suivre en temps réel !!!". Et le cheminement est pas le bon effectivement, partir du scénario me semble primordial.
Mais bon les dernier Mission impossible partent sur les idées de cascade et le scénar est construit autour et ça fonctionne du tonnerre ... Quand le talent est la finalement peu importe !
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Jésus :
Voila une petite fable initiatique délicate sur les premiers rapport a la réalité. Malgré ses 1h16, Jésus ne passe pas comme une lettre a la poste (Il faut dire que j'étais crevé ce jour la) Cependant, le fond du film est très intéressant car il aborde l'émancipation sensible des enfants. Surtout qu'ici, l'éducation parentale est passive et l'instruction prosélyte. Le Jeune Yura au fil de ses expériences et de ses jugements aura l'occasion de philosopher sur des notions abruptes pour son age (la religion, le deuil, la culpabilité, les apparences, la transmission) Tout est juste surligné et c'est la force du film. Hiroshi Okuyama met beaucoup de pudeur et de tendresse dans sa première œuvre, sans doute aussi un peu de son histoire mais surtout une colère rentrée; Comme un point serré par la découverte que chaque bonheur finira, que la vie est aussi une succession de souvenirs. Jésus aurait tout aussi bien pu s’appeler "A travers les yeux de Yura" C'est un premier film joli et modeste (au bon sens du terme) qui mérite des encouragements
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Je suis pas tout à fait d'accord quant au bien fondé de la forme du film.
Tous les films ne se prêteraient pas au plan séquence intégrale je suis d'accord, mais la c'est assez justifié je trouve. ça permet une bien plus grand immersion et sentir le danger constant de la guerre, ce que les coupes peuvent empecher ... Ici aucun répis, meme dans les moments calme tout peut arriver.
Apres ce que j'ai reproché au film, et je pense que c'est aussi le fond de ta pensée, c'est qu'on a l'impression que les gars se sont dit "bon on fait un film sur la 1ere guerre mondiale en plan séquence ... quel scénar irait bien ? ah ouais une mission urgente sur moins de 24h à suivre en temps réel !!!". Et le cheminement est pas le bon effectivement, partir du scénario me semble primordial.
Mais bon les dernier Mission impossible partent sur les idées de cascade et le scénar est construit autour et ça fonctionne du tonnerre ... Quand le talent est la finalement peu importe !
Justement, le cheminement de ma pensée penche pour le bien fondé de la démarche. J'ai dit que je me suis questionné, mais la suite de mon avis va dans le même sens que toi Pour l'immersion surtout et aussi pour le sentiment de n’être jamais serein je suis tout a fait d'accord avec toi mais aussi pour le coté lyrique, désenchanté et poétique ça marche très bien; Donc même si je trouve le procédé artificiel et ne masquant pas vraiment une segmentation de ces séquences d’où mon utilisation du terme "péripéties" ce n'est absolument pas hors de propos pour un film qui donne la priorité aux sensations plutôt qu'au fond (et ce n'est pas du tout une critique, car il faut une diversité de tons au cinéma) Pour résumer, j'ai bien aimé le film, j'apporte juste un avis plus nuancé qu'un simple "waouh, quelle claque"
Dernière modification par langeikki (24-01-2020 13:07)
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J'aime bien les nuances , et on est d'accord en plus donc raison de plus .
D'ailleurs j'ajouterai qu'un film monté comme celui ci n'est pas forcément contraint d'etre une suite de péripéties. Sur Birdman par exemple ce n'est pas vraiment le cas.
Par contre un film avec des coupes "standards" peut par contre n'etre qu'un enchaînement de péripéties : comme Gravity.
Mais des plans séquences comme ça permettent forcément moins de chose en terme de narration !
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J'aime bien les nuances , et on est d'accord en plus donc raison de plus
D'ailleurs j'ajouterai qu'un film monté comme celui ci n'est pas forcément contraint d'etre une suite de péripéties. Sur Birdman par exemple ce n'est pas vraiment le cas.
C'est exactement l'exemple que je voulais prendre ! Après ce n'est pas du tout le même genre de films mais je trouve Birdman d'une fluidité exemplaire ce qui n'est pas du tout le cas de 1917. Ca ne retire pas les qualités de ce dernier, mais je tenais a le signaler
Les grands esprits se rencontrent ]:D (Enfin pas trop quand même, on se séparera fatalement sur Mission Impossible Fallout par exemple )
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Dommage d'ailleurs qu'il n'existe pas en Blu ray Ne coupez pas alors qu'en dvd c'est déjà une arlésienne
Merci pour l'alerte l'ami, j'ai tenté de le commander en DVD, j'espère qu'il ne sera pas hors stock et que je le recevrais. Une vraie pépite dont je ne me vois pas me passer dans la filmothèque.
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Il est parfait ce Fallout
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Baba Yaga a écrit :Dommage d'ailleurs qu'il n'existe pas en Blu ray Ne coupez pas alors qu'en dvd c'est déjà une arlésienne
Merci pour l'alerte l'ami, j'ai tenté de le commander en DVD, j'espère qu'il ne sera pas hors stock et que je le recevrais. Une vraie pépite dont je ne me vois pas me passer dans la filmothèque.
Idem, je n'avais pas ait attention aux éventuels souci de stock et attendais sagement qu'il tombe dans l'habituelle offre 5 pour 30.
Dans le doute, j'ai également passé commande.
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Jojo Rabbit
Un petit bijou à ne pas rater 5/5
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The Gentlemen
The Gentlemen signe le retour de Guy Ritchie au sommet du film de gangsters. Avec un scénario excellent, une narration très « Ritchienne », un humour noir qui fonctionne très bien et un casting d’exception, on passe un succulent moment. Un TOP dans la filmo du cinéaste !
I'm BATMAN
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