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Merci pour ton avis, ce film est dans ma liste d'achat également mais j'ai vu cette semaine que film n'est plus disponible sur leur site.
Il commence à ce faire rare.
Oui c'est ce que j'ai vu aussi. C'est pour ça que chez les plus petits éditeurs (Le Chat qui fume, Spectrum, Coin de mire) ou dans les plus petites collections (Make my day), je ne traine pas trop sur ce qui m'intéresse car certains titres une fois épuisés se revendent à prix d'or en occasion.
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Film de braquage, gang, mafia, drogue, cartel mexicain, flics corrompus.
Le triple 9 est le code policier pour dire qu'un policier s'est fait tiré dessus.
Le casting est énorme, ça démarre bien et le rythme s'essouffle à la fin.
Sous-titres FR imposés en VO.
Éternel insatisfait.
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Grosse déception. Je suis pourtant un aficionado des films de Woody Allen, mais là il faut reconnaître que c'est très mauvais, son plus mauvais film sans aucun doute. L'histoire est non seulement inintéressante, plate et sans originalité, mais en plus non vraisemblable à cause de l'âge des acteurs. Les "hommages" à la nouvelle vague sont assez désespérants tant ils bousillent les références, aussi bien sur le fond que sur la forme (noir et blanc moche et sans relief).
Pas de bonus sur le blu-ray, mais pas besoin.
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Superbe comédie mais triste pour le drame.
2161 films DVD depuis 2002 dont 1653 Blu-ray , 595 UHD dont 272 Dolby Vision , 428 Steelbooks et 150 3D depuis juillet 2008.
OLED Panasonic LZ2000 65 "+ Panasonic UB820 & UB450 + Denon X3700H 7.1.2
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Monika et le désir
d'Ingmar Bergman racontant l'histoire ordinaire d'un jeune couple de Suédois à Stockholm et dans ses environs. A sa sortie, le film a fait sensation en raison du caractère osé d'une scène en particulier. Il était rare de pouvoir montrer un nu à cette époque. Justifié par le scénario et expliquant le titre français, il n'est néamoins pas suffisant pour en faire une oeuvre intéressante. Même si Bergman réussit à rendre ses personnages attachants, l'intrigue se révèle trop mince pour captiver. Je ne suis qu'un amateur mais pense pourvoir apprécier l'originalité et la beauté de certains cadres et plans. Cependant, il m'en faut plus et je ne pourrai donc recommander ce film. A noter malgré tout, un superbe travail de restauration et un long bonus instructif sur le réalisateur. Tout deux financés par les autorités suédoises ? En tout cas, une vitrine pour ce pays. Malgré une partie assumée d'auto-promotion, l'extra vaut le détour. L'admiration sincère exprimée par des metteurs en scène variés et parfois inattendus comme John Landis est dans l'ensemble communicative. On remarquera la filmothèque énorme de Bergman, apparemment un véritable cinéphile qui regardait trois films par jour.
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Un film de vengeance féminine qui rappelle un peu Lady Snowblood dans son ambiance.
Malheureusement, malgré de très beaux plans et une jolie science du cadrage, le film manque de choix entre l'orientation dramatique et celle plutôt jouissive du film d'action.
Au final j'en suis ressorti un peu déçu car sans avoir passé un mauvais moment, je n'ai pas été conquis.
Un peu comme le film du dessus, c'est la déception qui prime après le visionnage.
C'est très beau, la mise en scène est bonne, mais le film manque clairement d'émotion. Je n'ai pas du tout été embarqué malgré un casting plutôt bon.
Vu les commentaires unanimes et le fait que j'avais adoré Whiplash, j'espérais bien mieux. Ce n'est pas mauvais, mais relativement quelconque.
Très bon film d'aventure. Le duo Sean Connery / Michael Caine fonctionne à merveille alternant le comique et l'épique.
L'histoire est bonne (basée sur une nouvelle de Kipling) et son traitement est bien vu avec notamment certains plans de toute beauté.
L'édition de Wild Side est accompagné d'un superbe livre retraçant la production du film. Très intéressant avec de belles anecdotes et des photos de tournage. Le seul défaut est la taille du coffret qui ne rentrera pas dans la collection. ^^
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J'irai encore plus loin que toi sur L'homme qui voulut être roi. Il est dans mon top 5 des meilleurs films de tous les temps. Il y a tout dans ce film: aventure, action, humour, romance, drame, des paysages magnifiques, une histoire de Kipling pleine de rebondissements, des acteurs ici exceptionnels dirigés par un grand réalisateur quand il est au sommet de sa forme (comme c'est le cas ici, ce qui n'arrive qu'épisodiquement). J'ai pris le Blu-ray allemand (avec ST anglais uniquement) mais retarde le second visionnage tellement j'ai peur de ne pas ressentir la même intensité pourtant initialement éprouvée sur une petite TV. Je l'ai fait découvrir à trois générations et dans mon entourage les avis varient de bien à exceptionnel. A voir absolument.
Dernière modification par Manu1544 (16-07-2023 19:15)
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Montparnasse 19 (ou Les Amants de Montparnasse)
Un Jacques Becker très mineur sur la vie du peintre Modigliani. Volontairement en noir et blanc, peut-être pour l'ambiance. Un choix inattendu étant donné que beaucoup des portraits étaient en réalité peints en couleur. Mais le film se concentre sur les relations humaines et le destin d'un artiste, qui soit-il, non reconnu de son vivant. Mon problème avec ce film est double. D'abord l'interprétation de Gérard Philipe, forcée car trop théatrale et ensuite l'histoire répétitive, prévisible et de fait assez terne. La seule exception consistant en une fin très réussie grâce a la prestation de Lino Ventura dans un petit rôle mais inhabituel pour lui et marquant par sa dramaturgie. Un long bonus Gaumont particulièrement informatif sur la genèse du film. Présent sur les disques français et anglais. L'édition Arrow que j'ai propose également une courte présentation qui permet d'apprécier quelques scènes sous un angle différent. Comme titres sur la peinture, je recommande plutôt La Vie passionnée de Vincent Van gogh de Vincente Minnelli ou Moulin Rouge de John Huston (pas du niveau de l'homme qui voulut être roi mais tout de même excellent par son traitement original et ses couleurs/décors splendides).
Mission: Impossible
L'épisode inaugural introduisant Tom Cruise. Brian de Palma a adopté un ton sombre surprenant qui compense une intrigue certes incluant des déviations par rapport à la série télévisée mais restant néanmoins assez quelconque. Le rythme faiblit à mi-parcours mais pas suffisemment pour que l'on décroche. Une brochette de stars délivrant des performances convaincantes sous la direction d'un réalisateur au savoir-faire indéniable. Cependant, quelques effets spèciaux vraisemblablement révolutionnaires à sa sortie en 1996 ont mal vieilli. Les trucages de certaines scènes apparaissant de façon visible sur le Blu-ray restauré et commercialisé en 2021. Je me dois donc de questionner l'intéret d'un 4K pour ce tout premier volet. Une tonne d'extras mais tous auto-promotionnels. L'un d'entre eux ayant la franchise ou la désinvolture de s'intituler Mission: Marketing.
Dernière modification par Manu1544 (17-07-2023 08:41)
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Pour moi, les avantages du 4K (qualité d'image et HDR) priment largement sur les défauts mineurs (SFX vieillissant et trucages visibles). Ça fait partie du charme du film comme les 10 Commandements par exemple.
TV : PANASONIC TX-65GZ1000 / AMPLI : DENON AVR-X1600H/ AUDIO : PACK FOCAL SIB & CUB 2 / LECTEUR : PANASONIC ULTRA HD 4k DP-UB820 + MI BOX S 4K + TELECOMMANDE HARMONY ELITE
Ma collection de BR : http://c.mymovies.dk/Guts59/ /600 Blu-ray et UHD.
Ma chaîne Youtube : https://www.youtube.com/channel/UC4Zisf … x1ZEl8slcw
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ça dépend quels effets ...
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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La lente arrivée de la paranoïa chez le personnage principal est bien retranscrite avec notamment quelques beaux effets de transitions.
Mais malgré un casting très solide, j'ai trouvé que l'interaction entre les personnages aurait pu être plus poussée. Elle reste bonne mais pas au niveau de la tension globale.
Une sorte de Forrest Gump à l'époque des westerns. Le personnage principal se retrouve embarqué dans pleins d'histoires différentes bien malgré lui. L'humour est très présent mais n'est malheureusement pas assez contrebalancé par de l'émotion dans les scène où il n'est pas là.
Comme Take Shelter, beaucoup de tension dans ce film qui est presque un huit clos dans une petite ville isolée du reste du monde. Pendant longtemps on ne sait pas vraiment où cela va nous mener et on est pris par cette histoire avec une très bonne fin.
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Take Shelter: je n'avais personnellement pas accroché du tout. Trop artificiel et psychologique pour moi. Peut-être avais-je des attentes indues.
Liile Big Man : Vraiment pas pour moi tant j'avais trouvé le scénario invraisemblable et le côté pastiche m'avait irrité au plus haut point. Je suis d'accord avec toi dans le sens où ce film n'arrive pas à concilier humour et drame Ce qui est d'ordinaire difficile à faire mais pas impossible. Il faut un John Huston dans l'homme qui voulut être roi pour y parvenir mais bon assez de promotion pour ce film. J'en remets une couche quand même si tu as vu les films dans cet ordre, il est sans doute normal que certains t'apparaissent relativement fades. Après un excellent film, le suivant peut sembler terne et vice versa.
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C'est vrai que l'ordre a pu jouer un peu, mais généralement j'arrive plutôt bien à faire abstraction des précédents films vus pour me faire un avis sur l'actuel.
Pour Little big man, je pense aussi que je n'ai pas été aidé par le côté indien que je trouve souvent trop manichéen au cinéma (soit ce sont les grands méchants, soit ce sont les gentils massacrés). Il n'y a peut-être que dans Danse avec les loups où je n'avais pas eu cette sensation.
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La Maison du Maltais
Une mauvaise pioche. Ce mélodrame présente peu d'intéret. On n'éprouve aucun dépaysement alors que l'action est censée se dérouler principalement à Sfax en Tunisie. Marcel Dalio offre un jeu très limité. Reste la présence en actrice principale de Vivianne Romance car mettre Louis Jouvet en seconde tête d'affiche relève de l'abus selon moi. Il n'apparait en effet que quelques minutes et mème si son intervention est la bienvenue, elle tombe dans le clin d'oeil éhonté avec un "comme c'est bizarre" emprunté à Drôle de drame tourné l'année précédente. A éviter. Un extra confirmant le tournage en studio, documenté mais pour un titre qui n'en vaut pas la peine.
Memories of Murder
Un film curieux. Ses points forts étant paradoxalement aussi ses faiblesses. Côté positif, une atmosphère glauque bien rendue par la pluie battante, des plans recherchés, une complémentarité physique et intellecteulle des deux détectives, une belle musique. Mais autant pour une pure fiction, cela ne me gène pas de me sentir au cinéma, autant pour un récit qui se veut réaliste (relatant un fait divers des années 80s), certains de ces choix m'interrogent. Dans ce contexte précis, j'estime un peu déplacées une telle mise en scène, dramatisation et stylisation. Au final, un sentiment ambivalent. Entre parenthèses, la critique de plagiat concernant La isla minima me semble exagérée car les similitudes se limitent à un thème commun, la recherche d'un tueur en série. En bonus, de trop longs entretiens du réalisateur et acteurs. Une importance démesurée donnée à des détails qui justement contribuent à l'artificialisation du traitement.
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La Maison du Maltais
mettre Louis Jouvet en seconde tête d'affiche relève de l'abus selon moi. Il n'apparait en effet que quelques minutes et mème si son intervention est la bienvenue, elle tombe dans le clin d'oeil éhonté avec un "comme c'est bizarre" emprunté à Drôle de drame tourné l'année précédente. A éviter.
Moi qui pensais le prendre juste pour Jouvet, je vais donc passer mon tour, merci de m'avoir servi de cobaye.
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Je suis un peu partagé sur cette version et n'avoir pas à savoir laquelle j'ai préféré entre celle-ci et celle de 1982 réalisée par Robert Hossein. Cette dernière avait l'énorme défaut d'avoir une scène sur les barricades totalement illisible car noyée dans une fumée trop épaisse et son Gavroche était insupportable. Mais, au risque de surprendre, j'ai trouvé Ventura et Carmet au-dessus de Gabin et Bourvil dans les rôles de Valjean et Thénardier (même si aucun ne déméritait, loin de là).
Par contre dans la version de 1958, j'ai préféré Javert joué par un excellent Blier qui le rend plus humain là où Michel Bouquet était peut-être trop monocorde. Pour rester sur le casting, les rôles féminins sont par contre loupés à mon sens dans la version de 1958. Rien à redire sur Cosette, mais Danièle Delorme et Silvia Monfort dans les rôles de Fantine et Eponine sont du même niveau que le Gavroche de Hossein.
Au final, ça reste deux bons films avec chacun leurs qualités et leurs défauts.
Un très bon casting, une ambiance géniale, mais malheureusement c'est trop long pour ce que ça raconte. Je pense que c'est le principal défaut des films de Paul Thomas Anderson et c'est d'ailleurs certainement pour cela que mon préféré de lui reste Punch Drunk Love car sa durée est cohérente avec son scénario.
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Decision to leave
Une bonne interprétation, une mise en scène parfaite avec beaucoup d'effets entre les scènes (une peu comme dans Voyage à deux de Stanley Donen mais le tout reste quand même bien confus pour être confus. A mon sens un peu plus de fluidité n'aurait pas fait de mal au récit.
Je partage le sentiment de confusion. Au delà de l'exercice de style (brillant ? je n'ai pas les connaissances cinématographiques pour en juger), je pense qu'il s'agit d'un test mémoriel. Il faudrait avoir les capacités d'un ordinateur pour le comprendre ou la possibilité de prendre des notes, faire une pause et pouvoir les relire au fur et à mesure . Ne disposant ni de l'un ni de l'autre une grande partie de l'intrigue m'a échappé. Il est peu vraisemblable également que je le revois car contrairement au Sixème sens, j'ai l'impression que ce film ne requiert non pas une mais plusieurs clés de lecture pour en saisir la complexité. Et donc la porte de la compréhension restera fermée pour moi. Une oeuvre prétentieuse ou exigeante ? Dans tous les cas, en tant que spectateur je préfère être sur-estimé que sous-estimé mais dans lidéal j'aimerais pouvoir franchir "l'épreuve". Un extra de Philippe Rouyer que je recommande car malgré un constat d'évidences du genre "un film qui requiert de l'attention", il m'a permis de relever des détails qui m'avaient échappé et d'enrichir mes connaissances quasi nulles sur le cinéma coréen. Je ne suis vraiment pas observateur car je n'avais même pas remarqué que l'acteur principal apparaissait aussi dans Memories of murder juste visionné.
Dernière modification par Manu1544 (20-07-2023 09:01)
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Serait-il possible de rajouter le titre du film dans les critiques ? cela permettrait de retrouver les commentaires des uns et des autres plus facilement avec une recherche google du type ""decision to leave" site:https://www.blurayenfrancais.com/forum/ De mon côté, j'essaierai de rajouter une photo.
Dernière modification par Manu1544 (20-07-2023 08:55)
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Je suis un peu partagé sur cette version et n'avoir pas à savoir laquelle j'ai préféré entre celle-ci et celle de 1982 réalisée par Robert Hossein. Cette dernière avait l'énorme défaut d'avoir une scène sur les barricades totalement illisible car noyée dans une fumée trop épaisse et son Gavroche était insupportable. Mais, au risque de surprendre, j'ai trouvé Ventura et Carmet au-dessus de Gabin et Bourvil dans les rôles de Valjean et Thénardier (même si aucun ne déméritait, loin de là).
Par contre dans la version de 1958, j'ai préféré Javert joué par un excellent Blier qui le rend plus humain là où Michel Bouquet était peut-être trop monocorde. Pour rester sur le casting, les rôles féminins sont par contre loupés à mon sens dans la version de 1958. Rien à redire sur Cosette, mais Danièle Delorme et Silvia Monfort dans les rôles de Fantine et Eponine sont du même niveau que le Gavroche de Hossein.
Au final, ça reste deux bons films avec chacun leurs qualités et leurs défauts.
Je n'ai vu aucune des deux versions des Misérables dont tu parles par contre j'ai pris celle de 1934 en Blu-ray. Il parait qu'Harry Baur et Charles Vanel y sont inoubliables. Dans un monde parfait, il faudrait que je compare les trois adaptations.
Dernière modification par Manu1544 (20-07-2023 09:18)
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Decision to leave
https://m.media-amazon.com/images/I/81X … SX342_.jpgpingouinal a écrit :Une bonne interprétation, une mise en scène parfaite avec beaucoup d'effets entre les scènes (une peu comme dans Voyage à deux de Stanley Donen mais le tout reste quand même bien confus pour être confus. A mon sens un peu plus de fluidité n'aurait pas fait de mal au récit.
Je partage le sentiment de confusion. Au delà de l'exercice de style (brillant ? je n'ai pas les connaissances cinématographiques pour en juger), je pense qu'il s'agit d'un test mémoriel. Il faudrait avoir les capacités d'un ordinateur pour le comprendre ou la possibilité de prendre des notes, faire une pause et pouvoir les relire au fur et à mesure . Ne disposant ni de l'un ni de l'autre une grande partie de l'intrigue m'a échappé. Il est peu vraisemblable également que je le revois car contrairement au Sixème sens, j'ai l'impression que ce film ne requiert non pas une mais plusieurs clés de lecture pour en saisir la complexité. Et donc la porte de la compréhension restera fermée pour moi. Une oeuvre prétentieuse ou exigeante ? Dans tous les cas, en tant que spectateur je préfère être sur-estimé que sous-estimé mais dans lidéal j'aimerais pouvoir franchir "l'épreuve". Un extra de Philippe Rouyer que je recommande car malgré un constat d'évidences du genre "un film qui requiert de l'attention", il m'a permis de relever des détails qui m'avaient échappé et d'enrichir mes connaissances quasi nulles sur le cinéma coréen. Je ne suis vraiment pas observateur car je n'avais même pas remarqué que l'acteur principal apparaissait aussi dans Memories of murder juste visionné.
Alors j'ai souvenir d'un film qui est assez difficile à suivre et qui fait expres de nous perdre justement, mais j'ai pas l'impression que c'est incompréhensible à ce point ... Je suis sur que j'ai raté 1 million de détails mais je pense avoir quand meme réussi à suivre correctement.
Matériel : VP Sony VPL HW40ES, Ecran Adeo Screen Plano 300cm , ampli Denon 6300H, Focal Aria 926 + Focal Aria SR900 + 4 Cabasse Eole pour le plafond . Caisson Velodyne Impact 12; TV Samsung UHD UE65RU8005
Collection : environ 800 blu ray dont 250 Steelbooks
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