Vous n'êtes pas identifié(e).
Idem, à part Sixième sens il n'y a pas de quoi crier au génie. En fait le gars à des fulgurances par moment dans ses films sauf que sur la longueur ça sonne toujours creux, artificiel et parfois bien cul cul à l'image de certaines séquences de Le village.
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Sinon à la fin du mois il y a la nouvelle fete du cinéma pour ceux qui pourraient etre intéressés de tenter à petit petits(3,50euros la seance).
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Mama
Vu ce soir. J'ai bien aimé, il est supérieur à la moyenne du genre. Par contre je ni sursauté, ni eu de frissons. C'est toujours bon signe quand ça m'arrive, ce qui est quand même assez rare, mais bref pas avec ce film. Je n'ai pas trop aimé le look de Jessica Chastain, c'est un peu du gâchis je trouve, mais bon ça reste un détail. Sinon les CGI sont assez bien faits, même s'ils restent assez visibles bien sûr. En tout cas j'aurais tendance à le recommander pour les amateurs du genre.
Par contre truc de fou pendant le visionnage du film, la fille juste derrière moi a poussé à 4 reprises des énormes cris de terreurs, je n'avais entendu ça de ma vie, ça a bien fait marrer les gens présents dans la salle. Je ne suis pas sûr qu'elle retournera de si tôt voir un film dans le genre !
Pas un seul sursaut ou frisson la belle installation de la salle!? (il y a un gros travail pour le son dans ce film)
PierRick, t'es un bonhomme
Oui, les amateurs ont appréciés!
Pour Diez/Guigoune, Connected est le remake HK de Cellular et le remake dépasse l'original.
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Je voulais savoir si c'était gênant de voir Fast and Furious 6 sans avoir vu les précédents?
*LCD Samsung 46LE676* / *Lecteur Blu-ray BD-P 1500* / *Ampli Denon AVR 1910* / *Pack 5.0 Davis Acoustics Matisse*
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Je voulais savoir si c'était gênant de voir Fast and Furious 6 sans avoir vu les précédents?
Non je ne pense pas même s'il y a pas mal de références à l'histoire des personnages. Je n'ai pas vu le 4 et je ne me rappelais plus trop des 3 premiers et ça ne m'a pas gêné.
TV OLED 4K LG 65G4 - ampli DENON AVR-X2400H - colonnes Klipsch RF-52 Mk2- centrale Klipsch R-25C - Sub Klipsch R-12SW- surrounds Klipsch R-15M- atmos KEF T101- lecteur multimédia Nvidia Shield TV 16go - lecteur blu-ray UHD Panasonic DP-UB820 - NAS Synology DS116 - lecteur audio Logitech Squeezebox - télécommande Logitech Harmony Ultimate
ma collection: http://c.mymovies.dk/djfeelip
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Je voulais savoir si c'était gênant de voir Fast and Furious 6 sans avoir vu les précédents?
Pour connaitre les subtilité du scénario principale non pas du tout, par contre pour comprendre la fin (après le générique) et le suivi de quelques personnages il faut que tu vois le volet 3 et 5.
VP : Sony Vpl290es - base 270 cm élite screen 5d
TV : Sony 65xf9005
Sources : Lecteur Panasonic DMP-UB820 Xbox one shield TV Zappiti one se 4k - Ampli Denon 2500h- Enceintes Focal Aria face avant Dôme surround et atmos.
Smyth Research Realiser A16
1700 Blurays 2K et 4K- PREMIUM Amazon pour les CG
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PierRick a écrit :Mama
Vu ce soir. J'ai bien aimé, il est supérieur à la moyenne du genre. Par contre je ni sursauté, ni eu de frissons. C'est toujours bon signe quand ça m'arrive, ce qui est quand même assez rare, mais bref pas avec ce film. Je n'ai pas trop aimé le look de Jessica Chastain, c'est un peu du gâchis je trouve, mais bon ça reste un détail. Sinon les CGI sont assez bien faits, même s'ils restent assez visibles bien sûr. En tout cas j'aurais tendance à le recommander pour les amateurs du genre.
Par contre truc de fou pendant le visionnage du film, la fille juste derrière moi a poussé à 4 reprises des énormes cris de terreurs, je n'avais entendu ça de ma vie, ça a bien fait marrer les gens présents dans la salle. Je ne suis pas sûr qu'elle retournera de si tôt voir un film dans le genre !
Pas un seul sursaut ou frisson la belle installation de la salle!? (il y a un gros travail pour le son dans ce film)
PierRick, t'es un bonhomme
Oui, les amateurs ont appréciés!
Pour Diez/Guigoune, Connected est le remake HK de Cellular et le remake dépasse l'original.
Oui merci, je savais bien qu'il s'agissait d'un remake, mais comme je le trouve meilleur, je n'ai pas trouvé pertinent de le préciser...
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
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Gatsby
Absolument génial. Les acteurs sont très bons. Les décors grandioses. Faut absolument le voir celui là :8 8o
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The call
Une tension tout du long et une fin inattendue. Halle berry en prime, top
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Vu Fast and Furious 6 ce week-end.
J'ai bien aimé. Il est un poil moins bon que le 5 pour moi, mais dans la même continuité. Je prends du plaisir à retrouver cette petite troupe . J'ai été TRES impressionné par le son, ca promet une piste de fou en Blu-ray!
1500 Blu-rays
Plasma Panasonic TX-P65VT30 / Blu-ray Panasonic BDT500 / Ampli Onkyo TX-SR705 / Caisson Audience CGA 30 / Centrale JM lab Chorus CC700 / Colonnes JM lab Chorus 710 / Surrounds JM lab Chorus 705
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Et niveau scenes d'action ça va t'as pas trouvé ça "abusé"/"too much" en ce qui te concerne?
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Si, surtout une, c'est clair. Pour moi ca fait "baisser un peu la note finale", je reconnais, mais je n'ai quand même pas boudé mon plaisir ... (Noté 6,5/10 dans mon petit fichier Excel lol).
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ok, j'espere qu'il en sera de meme me concernant lorsque je le verrais.
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Pour Ff6, le côté "too much" des scènes d'actions est clairement assumé, le réal joue beaucoup là dessus, c'est comme on dit un grand WTF. Perso ça ne m'a pas derangé.
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Ben je suis pas tellement d'accord, seule un tout tout tout petit passage fait vraiment too much, néanmoins le reste, "ça peux passer" quoi, c'est vraiment impressionnant voire irréaliste mais pas pur autant "choquant" quoi
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
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Perso ce côté "too much" ça m'a clairement gêné pour vraiment apprécier le film. Je ne m'attendais pas à du réalisme, mais là ça frise souvent le ridicule.
TV OLED 4K LG 65G4 - ampli DENON AVR-X2400H - colonnes Klipsch RF-52 Mk2- centrale Klipsch R-25C - Sub Klipsch R-12SW- surrounds Klipsch R-15M- atmos KEF T101- lecteur multimédia Nvidia Shield TV 16go - lecteur blu-ray UHD Panasonic DP-UB820 - NAS Synology DS116 - lecteur audio Logitech Squeezebox - télécommande Logitech Harmony Ultimate
ma collection: http://c.mymovies.dk/djfeelip
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AFTER EARTH de M. Night Shyamalan
Après les explications éclaires de pourquoi la Terre n’est plus habitables, la relation tendue entre père et fils prend le dessus. Le fils c’est le meilleur de sa promo mais le chef ne veut pas le promouvoir, le père est le meilleur soldat et est jalousé par le fils, … On a connu plus original mais continuons et essayons de comprendre les origines de ce conflit familial. Bon avant il y aura un crash tout mou de vaisseau spatial, le cliché du papa et du fiston qui sont les seuls survivants et de grosses longueurs. Si nous résumons, nous venons de passer 30 minutes pour une ébauche de conflit et un accident. Voilà tout le problème du film, un rythme lent et souvent injustifié. Les nombreux flash-back viennent casser une structure déjà instable et empêchent dont tout suspense ou tension lié à la survie des deux héros. Une narration difficile à accepter pour de trop rares fulgurances.
Car, oui, des bonnes choses il y en a. Elles sont rares mais elles sont là. Un concept intéressant est abordé, celui de la peur, comme quoi elle serait irréelle car l’Homme a peur de l’avenir, de ce qu’il ne connait pas. Par peur de l’inconnu, il n’agit pas et se fige. Le danger est donc quelque chose de réel mais la peur une simple invention de l’esprit. Cette idée forte a malgré tous ses limites. En effet, le père est un homme sans peur donc peu expressif quand son fil est en danger. Le personnage est donc antipathique et ne dégage rien de concret pour le spectateur. Parmi les fameuses fulgurances on pourra citer une bonne demi-heure, au-dessus du niveau général du film, avant un final raté.
Shyamalan ne parvient jamais à attendre ses objectifs. L’introduction du drame familial est raté, la relation entre père et fils est survolée et faussement profonde, le parcourt initiatique de Kitai, est d’une pauvreté étonnante alors qu’il y avait tout un tas d’idées à développer. Un des grands défauts récurrents du metteur en scène est le tri dans ses idées liées au récit. On retrouve trop souvent des détails hors propos et par moment des séquences aberrantes à l’image de celle de l’aigle protecteur. Ce qu’il n’arrive jamais à installer, c’est une ambiance alors qu’il a tout de même du métier dans le genre. Reléguée en second plan, la sensation du film de survie n’est pas exploitée. A trop vouloir faire de cette histoire un drame qui se résume pourtant à pas grand-chose, l’ensemble n’est jamais crédible.
Le film est lent, ok, mais les quelques très rares scènes d’action (15 minutes en tout) n’en ressortent pas plus intenses. Bien au contraire, c’est soit souvent très flou soit très sombre. Pas de surenchère, normal c’est Shyamalan, mais quand il s’agit de faire dans l’action, il faut vraiment se bouger la caméra et prendre de vrais risques. La bonne science-fiction avec action minimaliste, environnement épuré ça existe. La preuve la plus récente est le très efficace Oblivion de Joseph Kosinski. Ce qui est surprenant c’est la manière de réaliser du metteur en scène. C’est entre le spectaculaire pour les paysages et les plans large et incompréhensiblement laid et irritant pour les gros plans et plans moyens. Alors que s’est-il passé ? Manque de temps ? Cadrage assumé ? En tout cas, le résultat est décevant.
Pour ne pas rajouter de l’huile sur un feu déjà bien engagé on va résumer la direction d’acteur à hésitante. Will Smith est donc inexpressif. Même si cela est dû à son credo, c’est l’impact final qui compte. Jaden Smith manque cruellement de charisme et a du mal à exprimer des émotions. C’est parfois très limite et même risible.
Mis à part quelques séquences réussissant à atteindre leurs ambitions et à une philosophie intéressante mais survolé, After earth se plante sur presque tous les niveaux (jusqu'à une campagne d'affiche de très mauvais gout). Néanmoins M. Night Shyamalan n’est pas le réalisateur perdu comme pense à le croire la critique US. S’il arrive à transcender ses idées, à maîtriser ses thématiques en les assumant jusqu’au bout, il est fort possible qu’un retour en force est à prévoir. Donc subsiste toujours une lueur d’espoir que l’on pensait disparut après le catastrophique Le dernier maître de l’air.
Dernière modification par diez (11-06-2013 20:37)
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critique trés interessante merci
401 blu ray dont 55 steelbook et 46 digibook au 19/11/2014
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Merci, je vais tenter un retour sur Pop rédemption si j'ai le temps. Film inégal dans bien des domaines mais méritant tout de même le visionnage pour bien d'autres choses.
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http://nsa34.casimages.com/img/2013/06/11/130611072928934424.jpg
AFTER EARTH de M. Night Shyamalan
Après les explications éclaires de pourquoi la Terre n’est plus habitables, la relation tendue entre père et fils prend le dessus. Le fils c’est le meilleur de sa promo mais le chef ne veut pas le promouvoir, le père est le meilleur soldat et est jalousé par le fils, … On a connu plus original mais continuons et essayons de comprendre les origines de ce conflit familial. Bon avant il y aura un crash tout mou de vaisseau spatial, le cliché du papa et du fiston qui sont les seuls survivants et de grosses longueurs. Si nous résumons, nous venons de passer 30 minutes pour une ébauche de conflit et un accident. Voilà tout le problème du film, un rythme lent et souvent injustifié. Les nombreux flash-back viennent casser une structure déjà instable et empêchent dont tout suspense ou tension lié à la survie des deux héros. Une narration difficile à accepter pour de trop rares fulgurances.
Car, oui, des bonnes choses il y en a. Elles sont rares mais elles sont là. Un concept intéressant est abordé, celui de la peur, comme quoi elle serait irréelle car l’Homme a peur de l’avenir, de ce qu’il ne connait pas. Par peur de l’inconnu, il n’agit pas et se fige. Le danger est donc quelque chose de réel mais la peur une simple invention de l’esprit. Cette idée forte a malgré tous ses limites. En effet, le père est un homme sans peur donc peu expressif quand son fil est en danger. Le personnage est donc antipathique et ne dégage rien de concret pour le spectateur. Parmi les fameuses fulgurances on pourra citer une bonne demi-heure, au-dessus du niveau général du film, avant un final raté.
Shyamalan ne parvient jamais à attendre ses objectifs. L’introduction du drame familial est raté, la relation entre père et fils est survolée et faussement profonde, le parcourt initiatique de Kitai, est d’une pauvreté étonnante alors qu’il y avait tout un tas d’idées à développer. Un des grands défauts récurrents du metteur en scène est le tri dans ses idées liées au récit. On retrouve trop souvent des détails hors propos et par moment des séquences aberrantes à l’image de celle de l’aigle protecteur. Ce qu’il n’arrive jamais à installer, c’est une ambiance alors qu’il a tout de même du métier dans le genre. Reléguée en second plan, la sensation du film de survie n’est pas exploitée. A trop vouloir faire de cette histoire un drame qui se résume pourtant à pas grand-chose, l’ensemble n’est jamais crédible.
Le film est lent, ok, mais les quelques très rares scènes d’action (15 minutes en tout) n’en ressortent pas plus intenses. Bien au contraire, c’est soit souvent très flou soit très sombre. Pas de surenchère, normal c’est Shyamalan, mais quand il s’agit de faire dans l’action, il faut vraiment se bouger la caméra et prendre de vrais risques. La bonne science-fiction avec action minimaliste, environnement épuré ça existe. La preuve la plus récente est le très efficace Oblivion de Joseph Kosinski. Ce qui est surprenant c’est la manière de réaliser du metteur en scène. C’est entre le spectaculaire pour les paysages et les plans large et incompréhensiblement laid et irritant pour les gros plans et plans moyens. Alors que s’est-il passé ? Manque de temps ? Cadrage assumé ? En tout cas, le résultat est décevant.
Pour ne pas rajouter de l’huile sur un feu déjà bien engagé on va résumer la direction d’acteur à hésitante. Will Smith est donc inexpressif. Même si cela est dû à son credo, c’est l’impact final qui compte. Jaden Smith manque cruellement de charisme et a du mal à exprimer des émotions. C’est parfois très limite et même risible.
Mis à part quelques séquences réussissant à atteindre leurs ambitions et à une philosophie intéressante mais survolé, After earth se plante sur presque tous les niveaux (jusqu'à une campagne d'affiche de très mauvais gout). Néanmoins M. Night Shyamalan n’est pas le réalisateur perdu comme pense à le croire la critique US. S’il arrive à transcender ses idées, à maîtriser ses thématiques en les assumant jusqu’au bout, il est fort possible qu’un retour en force est à prévoir. Donc subsiste toujours une lueur d’espoir que l’on pensait disparut après le catastrophique Le dernier maître de l’air.
J'en sors, je lis et je te réponds.
♣ On s’appelle, on s'fait des Quenelles !.. ♣
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